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Roub E.
955 abonnés
4 997 critiques
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0,5
Publiée le 20 mars 2015
Autant l avouer j ai un peu de mal avec les têtes couronnées et je ne peux pas dire que la vie de la princesse de Galles m ai passionné ni que sa disparition tragique m ait touché. Mais je me suis tout de même lancé dans le film par curiosité, hélas mes pires craintes ont été retrouvées à l écran. A part être une ménagère lambda qui aime les romans à l eau de rose, les téléfilms de début d après midi de M6 et les feux de l amour je ne vois pas comment on peut supporter un film d une telle mièvrerie. Oh la pauvre petite fille riche qu on arrête pas d embêter mais dont l amour brisé survivra aux drames. Son combat contre les mines anti personnel aurait été intéressant à développer mais le scénario préfère s attarder sur les minauderies. La mise en scène est d une platitude incroyable, c est aussi beau à regarder qu un exemplaire de Closer et le portrait de Diana est tellement glorifiant (on est à la limite de la béatification) que cela devient vite insupportable.
Aucun mais alors AUCUN intérêt. Perso, la vie de cette femme ne m’intéresse pas particulièrement je ne peux donc m'en prendre qu'à moi--même, je n'avais qu'à pas y aller mais j'ai toujours aimé Naomi Watts et ses choix d'actrice donc je ressentais quand-même une certaine curiosité. C'est putassier, c'est Closer et Voici réunis. L'histoire entre Diana et un médecin pakistanais avec un peu d'actions humanitaires en vague toile de fond et des paparazzi. Voilà, c'est tout. Aucune performance d'actrice, Naomi Watts reste elle-même, n'a rien de Diana à part le brushing dont elle est affublée.
C'est vrai qu'on s'ennuie un peu dans ce film. Je n'ai pas trouvé l'interprétation de Watts convaincante. J'ai en en fait trouver l'ensemble du film un peu mièvre. Peut-être que ça s'est passé comme ça dans la vraie vie, en tout cas ça ne fait pas vraiment rêver si c'est le cas. Il y a cependant de bons moments dans ce film mais ce n'est pas assez pour tout rattraper.
D’un sujet qui exigeait une frontière poreuse entre temps de l’apparition publique et temps de la vie privée au nom d’une reconquête de l’intimité, Oliver Hirschbiegel tire une œuvre surchargée d’effets esthétiques et mélodramatiques parfaitement réalisés, mais au clinquant excessif. Un ralenti sur la princesse faisant de la course à pied, un gros plan sur une casserole en train de bouillir, rien de tout cela ne fait sens, accole de façon maladroite un style de type publicitaire à la réalité sensible. L’ombre médiatique qui plane sur Diana suffisait à incarner la paranoïa d’une femme subissant davantage son destin qu’elle ne le dirige selon son bon désir. Et du désir, que dire sinon qu’il brille par son extrême banalité ? Le film s’inscrit dans la très actuelle vague artistique dont l’objectif est de contrebalancer le destin extraordinaire de grands hommes et de grandes femmes par une plongée dans leur quotidien morose : une princesse normale qui cuisine des pâtes, commande Burger King et regarde le football avec son amant. Réussir cette entreprise d’humanisation demande une capacité à proposer, derrière le fard médiatique et historique, une profondeur émotionnelle. Sur ce point, Diana n’est pas Jackie, et son mélodrame souffre de tous les écueils du genre, n’ayant pas grand-chose à raconter, exception faite d’un enchaînement de scènes tantôt touchantes tantôt blafardes, aux répliques assez mal écrites. Après la banalité du Mal que portait La Chute, remarquable huis clos dans les entrailles de la folie nazie en plein déclin, Hirschbiegel capte la banalité de la vie de princesse avec un éclat moins certain. Pourtant, reconnaissons au film une lucidité quant à son approche mélodramatique : la clausule fonctionne, tout comme la relation entre les deux protagonistes principaux. Le principal problème réside dans la déviation que Diana fait subir à son récit : en se concentrant sur la passion amoureuse au sein d’une société qui l’interdit plutôt que sur cette même société empêchant deux amants de construire un destin commun, il recycle les artifices de la romance et généralise la grandeur qu’un tel sujet offrait. À l’image de ce très beau plan-séquence initial au terme duquel Diana se retourne, comme terrifiée à l’idée que son ombre médiatique la poursuive, mouvement en forme de cassure que la caméra traduit à merveille par un subit travelling arrière ; or il n’en est rien, car on apprendra plus tard que ce n’est pas tant son ombre que l’héroïne guettait mais l’élu de son cœur...
J'y suis allée craintive mais intriguée par le débat suscité au Masque parmi les critiques. Et bien il y a certes de quoi discuter . Discutable pour moi le choix des acteurs qui modifie le rapport aux personnages devenus stéréotypés : Hasnat à l'esthétique valorisé joue imperturbable et glamourisé; Diana parait plus par son physique une "college girl" déçue mais sympathique qu'une aristocrate profondément blessée en recherche de vengeances compensatrices amoureuses et multi media , malgré toute sa sensibilité Naomi Watts rayonne solaire et volontariste, pour moi Diana était plus nocturne et mystérieuse: La beauté de la princesse de GALLES portait les traces observables et attractives de sa quête d' amour . Par contre je ne m'offusque pas du parti pris "feuilletonesque" de cette romance car le film est plutôt conforme a l'idée que l'on se fait de l'imaginaire de la vraie Diana. En conclusion Naomi Watts s'en tire plutôt bien et rend la princesse sympathique excusable de ses cotés manipulateurs . Cela aurait fait un bon télé film.
Ce film a déchaîné beaucoup de haine... Je me demandais s'il fallait aller le voir ou non...Maintenant que je l'ai vu je ne comprends pas toutes ces critiques négatives. Au final un très bon film une belle histoire d'amour, une princesse telle qu'on se l'imaginait, séduisante, généreuse, compatissante, amoureuse, un peu manipulatrice avec les photographes (c'était de bonne guerre). Une naomi watts "perfect princess" après "perfect mothers" Naomi une actrice qui "monte". J'ai beaucoup aimé. Bravo à toute l'équipe du film pour nous avoir fait revivre ces moments émouvants. Vive Diana, vive Naomi.
J'attendais pas grand chose du film (bien que j'aime bien Diana) et j'ai pas été trop déçu, l'histoire se laisse suivre, y a quelques bonnes scènes d'humour (avec les gardes de la maison) après difficile de jugar si tout est vrai ou non. Naomi nous livre une bonne interpréation, quand au perso masculin, le docteur, il a juste le charisme d'une huitre ...
Beau film sentimental à la mémoire de cette Princesse, ambassadrice mondiale des causes justes. Centré autour de cette relation et de son rôle dans l' humanitaire,et des erreurs commises vis à vis de son amoureux, cardiologue...
Vu en avant première en présence des acteurs (naomi est superbe en vrai mais elle a même pas parlé une seconde lorsqu'elle est venue,c moyen),ça m'a beaucoup plu. Je tiens à préciser que je ne l'ai pas regardé comme un film sur un morceau de vie de la princesse mais comme un film sur une histoire d'amour impossible,et c'est ça que j'ai aimé. Après pour un film sur la princesse je pense qu'il aurait fallu faire sur une plus longue période pour que ça puisse intéresser plus
Un bon film, meilleur que les mauvaises critiques lues. On y découvre les deux dernières années de la vie de Diana et on rend bien compte de la difficulté pour elle d'avoir une vie privée. Son histoire avec le chirurgien est bien décrite.
Une vraie découverte. En se concentrant sur la véritable histoire de Diana à travers sa relation avec un médecin, loin du portrait hagiographique ou de l'étude médiatique, le film nous fait vivre une bouleversante histoire d'amour impossible, d'autant plus touchante que la fin est connue de tous. Naomi Watts et Naveen Andrews incarnent avec pudeur et sensibilité ce couple unique.
. J'ai bien aimé l'histoire c'est vrai il y a pas d'action mais l'histoire vaut vraiment le coup d'aller le voir pauvre Diana avec tout ce qu'elle a vécu