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    Antiviral
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    149 critiques spectateurs

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    Cinememories
    Cinememories

    485 abonnés 1 466 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 janvier 2021
    Un premier envol attendu pour Brandon Cronenberg, qui ne feint même pas la comparaison avec son paternel David. C’est avec une grande curiosité et une continuité saisissante qu’on finit par se jette dans les bras étouffants d’un nouveau cinéaste pour le grand écran. Tous deux cultivent ce style paranoïaque, qui ne brise pas toujours les esprits, mais qui reste dans les mémoires. Les exemples sont bien nombreux, mais c’est à une nouvelle palette dont nous avons à faire ici. Brandon opte ainsi pour une science-fiction, imbibée dans un univers viral, où la question d’idole est creusée à l’échelle de l’infiniment petit. Si les cellules définissent biologiquement un individu, on les détourne dans un récit qui appelle inévitablement la chair et le sang. Et de cette recette vitale et identitaire, on sent un réel désir de rupture avec la souche de l’obsession. L’idole n’est donc plus qu’une viande froide, dans un contexte où sa souffrance fait l’objet d’un commerce douteux.

    Nous pouvons, à raison, croiser ce portrait dystopique contemporain avec l’ombre d’un David qui plane. Tout comme les sujets de son récit, Brandon tente également la communion avec le cinéma de son père. Il est donc intéressant de ne pas prétendre immédiatement un détachement avec sa souche familiale et d’accepter cette œuvre comme une passerelle ou une forme d’approbation. Retrouvons alors Syd March (Caleb Landry Jones), figure symbolique de l’employé libéraliste, qui évolue dans une clinique, où l’herpès et autres virus des célébrités font l’objet d’une convoitise. Cette demande dépasse le constat spirituel du genre, car on n’impose plus de limites à l’incubation de maladies mortelles. Il s’agit d’une relation intime où la technologie se mêle au cannibalisme et vice-versa. Le corps n’a plus qu’à être partagé et assaisonné pour le plaisir d’un nouveau fan system, qui détériore à la fois l’identité et la légitimité même des consommateurs.

    On n’hésite donc plus à dévitaliser les personnages de leur éthique, mais c’est également dans ce type de développement que Cronenberg perd sans doute le contrôle. En laissant ses marionnettes humaines vagabondées dans un décor, qui a tout pour évoquer la fièvre dans une boîte de pétri, il en oublierait presque qu’il y a davantage de caractérisations qui les attends au-delà d’une fonction cellulaire. L’intrigue relâche un peu trop souvent la tension et se repose trop sur un concept qui s’essouffle à son premier tier. Ce qu’il nous reste à croquer vient de cette manière de présenter l’absurdité des idoles culturelles. On fantasme et on extrait de ces personnes l’empreinte même d’une existence qui n’a pas de sens dans un contexte de partage. Il s’agit d’une hallucination collective qui mène ainsi la majorité d’entre nous à hériter de cette obsession, vue alors comme la maladie la plus virale, où il n’y a que les idées reçues qui gagnent au jeu de l’excès. Mais une fois encore, cela manque d’être généreusement développé, à défaut de nous avoir fait germer cette piqûre de rappel.

    Bien qu’il ne s’agisse pas du même étalon que celui du paternel, « Antiviral » espère s’en approcher avec enthousiasme. En poinçonnant son parcours de dégoût corporelle, Brandon ne s’attend pas à restaurer « La Mouche » à travers sa gastronomie, non loin d’être incompatible, mais qui ne demande qu’à être perfectionné, en prenant la température avec ses aiguilles les plus stériles. Là où cela sonne creux par moment n’est qu’un teasing pour ce qu’il reste à venir, espérons-le fortement.
    Fabien D
    Fabien D

    182 abonnés 1 139 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 février 2013
    Brandon Cronenberg est bien le digne héritier de son père tant ce premier film organique, hybride et dérangeant rappelle des oeuvres comme Chromosome 3 et Vidéodrome. Même goût pour les scénarios tortueux, même obsession pour la chair frémissante, ce film a un côté si copier-coller qu'il en perd un peu sa personnalité (enfin celle de l'auteur). La mise en scène froide et sophistiquée évoque le récent Cosmopolis de son père même si visuellement le film vaut le détour. En effet, certains plans sont d'une beauté sidérante et la composition des plans évoque des installations d'art contemporain. Cette beauté glaciale est au service d'une intrigue dérangeante (transplation de virus de stars, oui curieux mais intéressante interrogation sur la fascination pour le star system) même si Croneberg fils abuse d'effets de style pompiers (ralentis un peu lourdingues, côté cyberpunk mal assumé). On peut regretter aussi une idée de base intéressante mais pas assez développée (trop d'ellipses narratives nuisent au film). Enfn, malgré le manque de personnalité de Brandon Cronenberg, ce premier film mérite d'être découvert car il regorge d'idées et de trouvailles visuelles comme scénaristiques et révèle un acteur très prometteur, Caleb Landry Jones qui livre une prestation assez hallucinante, au bord de la folie.
    Grouchy
    Grouchy

    125 abonnés 1 033 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 avril 2014
    La mode de se passer le poste de réalisateur dans la famille n'est pas nouvelle. La fascination et le mystère du corps humain est transmise par Cronenberg à son fils, dans un univers futuriste où la maladie des stars est devenue une drogue populaire. Jusqu'à ce que des organisations criminelles s'en servent et prennent le héros comme cobaye, ce qui donne lieu aux déformations et à des crises physiques multiples, sans rentrer dans le gore. Le fils Cronenberg n'a pas gardé la linéarité des histoires de son père et a crée un style expérimental propre. Le film reste intéressant par son ambiance blanc pâle, à l'esthétisme proche d'une pub pour médicaments, même s'il est un peu trop poussé dans son ambition artistique, assez simple dans son découpage, comme réalisé par un étudiant en cinéma.
    Patrick Braganti
    Patrick Braganti

    93 abonnés 423 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 février 2013
    Bon (ou mauvais, peut-être) sang ne saurait mentir. Autrement dit, on attendait, l’œil aux aguets et la langue déjà vipérine, le premier long-métrage de Brandon Cronenberg, le fils de David, le réalisateur canadien sulfureux, observateur acéré des névroses et phobies en tous genres de la société occidentale. Loin de nous l’idée d’étayer ici une comparaison hasardeuse entre le père et le fils, mais plutôt l’envie de voir l’influence évidente du premier envers le second, mais aussi comment ce dernier parvient à s’en extraire et à faire œuvre personnelle. S’il y a une continuité entre les deux hommes, elle est d’abord à chercher autour des thématiques abordées.
    Dans Antiviral, elles concernent d’une part notre rapport de fascination, confinant à l’obsessionnel et au morbide, que les célébrités exercent sur nous et d’autre part la menace sérieuse et terrifiante, représentée par la mise au point et la propagation de virus, instruments redoutables et efficaces parce qu’invisibles et mutants d’une guerre bactériologique dont on s’étonne qu’elle n’ait pas encore eu lieu. Le scénario, en charge de mettre en jeu les marottes de Brandon Cronenberg : quel aspect revêt une maladie et comment vit-on avec un organisme extérieur qui envahit, puis détruit, le corps, s’avère complexe et tortueux, ne parvenant pas à explorer les pistes ébauchées jusqu’au bout. La communion avec les stars, qui repose donc sur l’injection de virus les ayant infectées par leurs fans vampiriques (et, somme toute, particulièrement stupides) ne sert que de long préambule à l’ensemble. Antiviral devient ensuite un thriller glacial et effrayant dans lequel entrent en scène des laboratoires tout-puissants, employant des hommes de main cruels et cyniques.
    Formellement accompli et rigoureux, le film travaille pour l’essentiel sur les contrastes : certaines parties offrent une image très blanche et clinique, reflétant la déshumanisation de la société, tandis qu’à d’autres moments, il épouse des tons nettement plus sombres et organiques. Cependant, il n’évite pas toujours la complaisance, sinon la délectation, à répéter des scènes choc, provoquant le malaise chez le spectateur qui va ainsi assister à une dizaine de piqûres, prises de sang ou injections filmées en plan rapproché. Même s’il semble se situer à l’époque actuelle, Antiviral possède une dimension d’anticipation, dessinant un monde toujours plus technologique et barbare, dans lequel le retour du cannibalisme témoigne de la fascination ultime. L’objet final a quelque chose de fascinant et répulsif, à l’aune de son acteur principal, le jeune Caleb Landry Jones, diaphane et éthéré, à la fois innocent et pervers, emprisonné dans les rets de manœuvres machiavéliques. Par ailleurs, il se révèle aussi quelque peu ennuyeux et vain, n’offrant après tout guère de neuf dans la vision d’un monde sans repères, où l’apparence et le physique auront définitivement supplanté l’intériorité et le mental. En fait, le côté scientifique de cette affaire échappera en grande partie au néophyte, davantage pétrifié par l’horreur qu’il découvre que chahuté dans ses propres convictions. En clair, le film aurait gagné à épaissir le fond et à ne pas se limiter uniquement à une stylisation qui joue un peu trop de l’effet et de l’esbroufe. Brandon Cronenberg a de toute évidence du potentiel et des idées qu’on espère honnêtement le voir développer et affirmer dans la suite de sa carrière.
    Uncertainregard
    Uncertainregard

    116 abonnés 1 285 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 janvier 2014
    Dans la famille Cronenberg, j’appelle le fils ! Brandon, un jeune talent qui promet au regard de ce 1er film très étrange. C’est bien le fils de son père vu le thème abordé et les nombreuses similitudes avec ses œuvres fantastiques. L’idée de départ est vraiment très bonne, originale et la mise en scène et le talent du jeune Caleb Landry Jones nous envoutent dès les 1ères minutes dans cet univers froid, glacial et fascinant. Des décors aux couleurs blanches fades et cliniques, des séquences « Lynchiennes » avec une musique prenante pour casser ce rythme parfois lent. Au final, cette histoire n’est pas extraordinaire mais Brandon aura démontré qu’une enfance sur des plateaux de cinéma lui ont apporté des compétences et une assurance loin d’être ridicule et j’espère qu’il persévèrera car comme son père, son cinéma m’intéresse…
    kibruk
    kibruk

    149 abonnés 2 568 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 août 2016
    Le postula de départ est bien improbable et c'est finalement ce qui plombe l'intégralité du film car le scénario n'arrive jamais à rendre la chose crédible. Si "Antiviral" est très soigné visuellement et sait 'séduire' par son ambiance malsaine digne de papa Cronenberg, l'histoire se perd aussi dans des longueurs pénibles, des incohérences, et même dans une certaine confusion.
    Charles G
    Charles G

    34 abonnés 627 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 mars 2013
    Austère, dérangeant, léché, le premier long-métrage du petit Cronenberg a beaucoup d'atouts pour ce film de genre "Cronenbergien". L'esthétique y trouve une place importante, alors que tout le monde cherche à s’inoculer des virus de stars en évoluant dans un milieu blanc immaculé. Si le personnage principal, magnifiquement interprété par un Caleb Landry Jones (à suivre !), nous transporte de bout en bout tout en étant rongé de l'intérieur par une variété infernale de maux, le film souffre par contre d'un problème de rythme ; à trop vouloir être sans arrêt perturbant, le spectateur n'a pas de temps de repos et c'en devient lassant. L'univers malsain, finalement interprété au mieux par la propriétaire des lieux, figure maternelle du rouquin complétement insouciante et détachée de faiblesses physiques du rejeton, marque les esprits. On n'est en fait pas si loin de cette société. La vie telle que nous la connaissons pourrait facilement, à coups de quelques décision politico-économiques, basculer dans des eaux troubles comme ceci. De bonnes idées pour un débutant qui a de l'avenir et qui, semblerait-il, a pris le créneau d'un certain Andrew Nicoll, aux abonnés absents depuis le gâchi Time Out et sa collaboration au nouveau projet Les Âmes Vagabondes...
    David S
    David S

    24 abonnés 54 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 août 2016
    j'aime bien les films un peu spécial mais làdésolé as accroché... trop spécial et pas vraiment de raison d'accrocher, j'ai eu du mal à le finir tellement cela tourne en rond avec musique et atmosphère glauque mais ça ne suffit pas à faire un bon film. Encore faut-il un "vrai" scénario et là... ça pêche. on finit par se lasser et c'est dommage la base était bonne.
    morn
    morn

    17 abonnés 370 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 novembre 2017
    Le fils de David Cronenberg suit les traces de son père et il s'en tire plutôt bien. L’épuration des décors donnent une ambiance glaçante au film. L'acteur principal interprète à la perfection son personnage de drogué à la maladie des stars. Le film pose pas mal de question sur le fansystème et sur l'emprise des stars sur les fans. Il y a quelques longueurs mais l'ensemble est cohérent. note 7.4/10
    cylon86
    cylon86

    2 539 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 février 2013
    Brandon Cronenberg, le fils de David, est sans aucun doute influencé par le travail de son père. Dans "Antiviral", on y ressent cette fascination pour le corps humain dans toutes ses formes, même virales. Mais Cronenberg fils ne se contente pas de se reposer sur le nom de son père et il impose une véritable esthétique à son film, aussi fascinante que repoussante. Tout y est aseptisé, le blanc prime sur tout, le rythme est lent mais le scénario dépeint une société tellement effrayante (où les fans ont la possibilité de se faire inoculer le virus qu'ont contracté leurs idoles) qu'on finit par entrer dans l'univers pour y décrocher à quelques reprises cependant sur certaines longueurs mais dont le propos s'avère déroutant. Il y donc du talent chez Brandon Cronenberg et aussi du goût car Caleb Landry Jones est parfait dans son rôle d'employé revendant les maladies qui tombe malade.
    Julien D
    Julien D

    1 210 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 février 2013
    Cet exercice de style particulièrement macabre au style léché démontre que le fils Cronenberg partage la fascination techno-organique de son géniteur tout en utilisant une mise en scène qui rappelle davantage des œuvres de David Lynch. Le concept de pousser jusqu’au paroxysme le plus morbide les excès du star-system s’étire à travers une narration lente et décousue qui transforme son ton dérangeant en une réelle gêne, voire une sensation d’illisibilité, chez le spectateur. La photographie glaçante ainsi que le look littéralement cadavérique de Caleb Landry Jones ne sont finalement que ce qui restera dans les mémoires du public.
    Christoblog
    Christoblog

    832 abonnés 1 681 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 février 2013
    Antiviral est d'une beauté confondante. L'univers visuel qu'il propose est bluffant, enthousiasmant. Antiviral est un magnifique tableau, dont on regrette vite qu'il dure plus de 5 minutes.



    Parce que malheureusement, Antiviral n'est pas un film. Il est l'idée d'un film.



    Il est permis de penser que le rejeton Cronenberg (trop visiblement élevé au lait de son père) se soit follement amusé à .... la suite ici : http://0z.fr/KZpdT
    Acidus
    Acidus

    732 abonnés 3 717 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 avril 2013
    Brandon Cronenberg marche assurément dans les pas de son père puisque, outre le fait qu'"Antiviral" soit un film de science fiction (genre auquel David Cronenberg à amplement contribué), les thèmes médicaux, psychologiques et les rapports entre humains occupent une place importante dans ce long métrage.
    Si "Antiviral" possède un bon concept de base, celui-ci n'est toutefois pas assez travaillé et développé pour etre crédible. Le film fourmille cependant de nombreuses bonnes idées (comme le marché de viandes de stars) ainsi qu'une bonne réflexion (jusqu'où serait-on prêt à aller pour ressembler à ses idoles?). De plus, l'ambiance froide qui se dégage du film sert parfaitement son histoire.
    Le problème vient surtout d'un mauvais choix de casting ainsi qu'une mauvaise écriture du scénario, rendant ce dernier longuet et pas toujours intéressant.
    Le jeune Brandon Cronenberg sera attendu au tournant pour son prochain film. A surveiller de près....
    Laurent C.
    Laurent C.

    259 abonnés 1 133 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 février 2013
    Voici un film étrange et envoûtant. La musique est enivrante et renforce l'intensité narrative du scénario. Toutefois ce dernier manque de cohérence et de profondeur plongeant
    le spectateur dans un état d'ennui.
    Hastur64
    Hastur64

    228 abonnés 2 289 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 février 2014
    « Antiviral » est un film qui est assez intéressant au début, mais qui rapidement perd en intérêt au fur et à mesure que l’histoire progresse et ce parce qu’il utilise un paradigme intéressant pour confectionner une intrigue banale et parfois confuse. Le point fort du film est en effet son postulat de départ qui nous fait nous retrouver dans une société où l’adulation des foules pour les célébrités est telle que des entreprises vendent les germes que ces dernières ont attrapés à leurs fans. Il existe même des boucheries qui vendent des steaks faits à partir du matériel génétique des ces mêmes stars. Le film utilise et pousse donc à l’extrême une composante de notre société et il en fait un paradigme vraiment intriguant. Il l’inclut dans une ambiance très froide avec ces décors aseptisés (peu de couleurs, utilisation d’une lumière forte et omniprésente) et des personnages qui n’expriment aucune émotion, autre que la peur, particulièrement le personnage principal Syd March qui ne semble humain que quand il est malade. La suite se révèle par contre beaucoup plus décevante par l’utilisation que le réalisateur fait de ce matériau de départ qu’il galvaude dans une intrigue assez banale (un pirate industriel qui se retrouve piégé) avec des longueurs qui finissent par perdre l’attention d’un spectateur qui ne peut pas non plus se raccrocher aux personnages évidemment peu sympathiques. Caleb Landry Jones est assez convaincant dans son rôle, mais sa performance ne parvient tout de même pas à secouer l’ennui qui nous gagne inéluctablement. Bref une première réalisation pleine d’inspiration dans son sujet et dans une grosse partie de la mise en image, mais qui montre au niveau de son histoire des limites dommageables pour le film. À voir néanmoins pour son sujet qui exagère à peine une réalité peu reluisante de notre société.
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