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    Antiviral
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    2,4
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    149 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 23 août 2013
    Un sujet difficilement crédible mais porté par une mise en scène aussi fascinante que son acteur principal, contagieux!
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 1 février 2013
    J ai pas pu noter plus bas .... J ai hésité comme de nombreux spectateurs a l avant première a quitter la salle ou dormir... J ai attendu que quelque chose de sensé apparaisse mais je ne retiens que du gore et du sang. Choisissez un autre film.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 15 juin 2013
    Une histoire très originale! Mais originale à un peu qu'on ne comprend pas tout immédiatement. Même la fin reste un sujet à discussions. Je trouve que c'est la faiblesse principale du film, car on s'embrouille de ce qui se passe.
    deaq25
    deaq25

    8 abonnés 441 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 juillet 2013
    Le culte voué à la célébrité et les célébrités est sujet à son paroxysme avec "Antiviral". Oublié les potins dans la presse people ou les ventes d'enchères d'objets ou vêtements appartenant à des stars, aujourd'hui pour être au plus proche de son idole, on se fait injecter la maladie que contracte votre star. Voilà le point de départ de ce film OVNI réalisé par Brandon Cronenberg fils de David Cronenberg réalisateur du récent "Cosmopolis" un OVNI dans son genre également. "Antiviral" laisse place à des images qui mettent assez mal à l'aise et donne vraiment la sensation que Caleb Landry Jones est réellement malade. Pour une première réalisation, Brandon Cronenberg à un certain talent à revendre même si il semble tomber avec "Antiviral" dans la générosité d'images choc au détriment d'une histoire qui avait de quoi être traité avec intelligence et curiosité.
    A conseiller pour connaitre un réalisateur qui peut se faire une place dans le monde du cinéma même avec l'étiquette "fils de..." !!
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 23 août 2013
    Un chef d'oeuvre qui met parfaitement bien en scène une version potentielle du futur de notre espèce, là où les êtres ont répoussé les plus hautes limites de la bêtise sous une de ses formes les plus ignobles. Antiviral est un superbe film à regarder en mangeant un tas de pop corn.
    Gonnard
    Gonnard

    246 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 décembre 2014
    Avec un tel nom-référence sur l'affiche, on espère forcément monts et merveilles. Beaucoup d'espoirs donc, et forcément énorme déception tant le rythme décourage par sa lenteur. A tel point qu'on pourrait presque résumer le film en deux lignes. La pauvreté du scénario est accentuée par le blanc médical de l'esthétique d'Antiviral. Troublant dans les premières minutes, ce choix s'avère ensuite lassant, le regard n'ayant que très peu de points d'accroche. Tout cela est bien dommage, le contenu n'étant pas dénué d'intérêt, même si la caricature peut prêter à sourire.
    Toutou to you
    Toutou to you

    35 abonnés 599 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 mars 2013
    J'attendais avec impatience la bobine du fils de David Cronenberg. Sélectionnée à Cannes dans la catégorie Un Certain Regard et à la vue de certaines critiques, je sentais la curiosité m'envahir. Cet Antiviral prouve, malgré quelques points noirs, que Brandon Cronenberg n'est pas un manche et que le cinéma de genre peut compter sur lui. Loin des canons commerciaux, dans la droite ligne de papa, sa bobine s'affranchit de toutes compromissions.

    Syd March est un technicien qui officie au sein de la clinique Lucas. Celle-ci a fait fortune en inoculant des virus de stars à des fans transis. Syd lui-même s'en injecte et revend le tout au marché noir. Un jour, après qu'il s'est fait une piqûre, il apprend qu'il est en danger de mort. Commence pour lui une descente en enfer pour tenter de se sauver...

    Antiviral en jette esthétiquement : c'est bien filmé, le cadrage est clair, il jouit de l'excellent travail du directeur de la photographie Karim Hussain qui avait bossé sur un segment du The Theatre Bizarre. Le mec a du talent, pas de doute. Antiviral a choisi le ton blanc, morne qui est un écho au physique de son personnage principal. Astucieux. Le métrage de Cronenberg fils a, en outre, une base solide : son histoire, originale. La réflexion sur la passion qu'engendre les stars est traitée avec force intelligence. De même, la direction d'acteurs est un point qui joue en faveur du film. Mais, la pellicule s'embourbe dans un récit austère, froid comme la mort, ce qui peut rebuter si l'on est pas patient. Antiviral joue donc sur une distance pour le moins audacieuse et, à dire vrai, Brandon fait florès. J'attends ta prochaine oeuvre avec intérêt Brandon. 3/5
    Christophe L.
    Christophe L.

    19 abonnés 59 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 10 janvier 2014
    Je vous en conjure, ne regardé pas se film, ses un conseil d'amis
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    Antiviral, j'ai fait cut, j'ai arrêté se supplice, la j'me suis dit sa suffit. Ses en tous cas le film 2013, qui a pris le plus les gens pour des cons.
    Des mecs qui payes pour s’ingérer des virus, de stars, tous sa pour avoir la même maladie que sa star préféré, ont nous prend pour des c**s, la sérieux, se scénario n'a ni queue ni tète.
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    Spoiler: Et un mec de la clinique qui s’ingère tous les virus, et y'a des bras de monstres qui sort de sont corps, non mes la ont n'a touché le fond des poubelles.
    ........................................................................................................................... J'en n'ait cut plein, des films depuis quelques temps, et aux moins ses films mérites un peut de mérite, et de reconnaissance
    Mes alors se film, (ANTIVIRAL),mérite juste,que personne d'autre ne regarde se film, et qu'il soit oublié dans les mémoires a tous jamais
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    Manuel valls, aurait du saisir le conseil d'état, pour interdire se film, pour non respect de la dignité humaine, en raison d'un foutage de gueule, puissance 10,que nous propose se film, et sont scénario, incohérent, et d(une débilité profonde.
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    Ma Note : Se film ne mérite même pas d’Être noté, j'ai pas envie, de usée ma touche "0", pour sa
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    Par contre si vous voulez regardé un très bon film de virus, sur le corps humains, ses le chef d'oeuvre "PERFECT SENCE" (conseil d'amis)
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 24 juin 2013
    Un film qui sait associer fond et forme d'une façon sublime, et magnifie des traits très abjects de notre époque : le spectacle, le mépris pour le corps humain, l'obscénité, grâce à la performance de ses acteurs (celle de l'acteur principal, Caleb Landry Jones atteint presque la perfection) et à la précision d'une photographie à couper le souffle.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 176 abonnés 5 175 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 mai 2017
    Glauque morbide et malsain pour le thème. Mais il est vrai que le traitement démontre avec précision et efficacité les excès d'un monde effrayant où les manipulations génétiques sont une arme aux effets quasiment infinis et dévastateurs.
    "La vie après la mort, ça devient vraiment pervers" dit un personnage et c'est dérangeant au plus haut point; témoin cette dernière scène immonde qui met un point final à ce film qui s'apparente parfois à un vrai film d'horreur.
    gnomos
    gnomos

    54 abonnés 660 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 octobre 2013
    Je suis très subjective quant à ma critique et ma note, car je n'ai regardé que dix minutes. Sans lire le synopsis, j'ai quand même compris tout de suite que des fans payaient pour se faire injecter des virus venant de leurs idoles. L'idée du film est intéressante, le rapport de certains fans à leurs idoles me semblant souvent relever de la psychiatrie, mais le film m'a semblé trop ennuyeux, pas le courage de suivre ce héros au charisme d'endive dans ces décors cliniques. J'ai bien essayé de faire " avance rapide " pour voir s'il y avait plus d'action par la suite, mais c'est toujours le même type et la même blondasse, on tourne en rond, semble-t-il . Cette fille qui représente l'idole des foules n'est pas crédible, c'est une parfaite inconnue, très quelconque, de surcroît. Rendez-nous Marilyn. Eh bien, oui, moi aussi, j'ai une idole, mais n'essayez pas de me refiler ne serait-ce qu'un de ses rhumes, je n'en veux pas, merci bien. Ah, je vois sur l'affiche que c'est le fils Cronenberg. Bôf, pas une référence pour moi, les derniers films du père n'étaient pas géniaux, et je suis gentille.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 302 abonnés 7 537 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 février 2013
    Premier long-métrage pour Brandon Cronenberg (fils de David), qui réalise ici un drame horrifico/sociétal dans lequel une clinique privée commercialise des virus prélevés sur de stars afin de les commercialiser et les inoculer à leurs fans. Un scénario brillant et original où Antiviral (2012) fut présenté dans la section Un Certain Regard lors du 65ème Festival de Cannes 2012. Une première réalisation qui ne passe pas inaperçue (fils de, oblige), avec ce thriller d’anticipation au combien glaçant (en grande partie grâce aux comédiens, dont Caleb Landry Jones). Traiter d’un sujet tel que le "commerce de virus" ou "les dérives de la science" est une idée formidable en soit, utiliser à des fins politiques, terroristes ou tout simplement comme substitue aux habituels autographes auxquels les groupies se ruent. Brandon Cronenberg fascine mais déstabilise par la même occasion, parfois choquant ou dérangeant, le jeune réalisateur persiste à réaliser une œuvre aseptisée et glaciale auquel on reste imperméable malgré une certaine ambiance électrisante.
    ► http://qr.net/ivn ◄
    ffred
    ffred

    1 720 abonnés 4 019 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 février 2013
    Tel père tel fils. Brandon Cronenberg se lance dans la réalisation en emboitant le pas de son illustre père. Qui aurait très bien pu mettre en scène Antiviral au début de sa carrière. Même univers, même ambiance, même thèmes glauques. La comparaison ne peut être évitée. Le moins que l'on puisse dire est que le film met très mal à l'aise...
    Yetcha
    Yetcha

    891 abonnés 4 406 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 août 2013
    Forcément, on compare papa et le fiston. Côté idée barée et cradingue, il a la fibre, côté scénaristique et réalisation, il a encore du chemin à faire. Un début prometteur c'est certain, mais ici on s'ennuie et on s’empêtre dans un méli-mélo d'idées et un fil conducteur difficile à suivre. A noter que l'acteur principal a une vraie "gueule" et j'espère le retrouver très bientôt... Il me fait parfois penser à Charles Dance dans ses rôles les plus sombres, à suivre...
    Benito G
    Benito G

    676 abonnés 3 162 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 octobre 2013
    Putain! L'idée de départ était pourtant bonne et pourquoi pas intéressante. Jouant en quelques sortes sur le terrain de la science fiction l'on sent une certaine critique de ses aficionados de stars ; qu'ils considèrent presque parfois comme de véritable nouveaux dieux modernes. Preuve faite ici, dans le pitch ; ou par mimétisme extrème (faut dire ce qui est) ou imitation. Les êtres s'injectent les maladies de leurs idoles... (je n'en dirais pas trop pour ne pas spoilers). Un principe complètement fou, qui ; s'y l'on réfléchit un peu. S'avère être un regard "acude" sur l'extrème bétise humaine de nos sociétés qui sont souvent plus rongées par un manque d'idole religieuse (idolâtrant plus les stars, a défaut d'aller à la messe le dimanche^^ Ironie bien sur, mais je me comprend en disant cela). L'ambiance se veut malsaine, maladif... aux nuances blanchâtres (surement pour le coté médical de la chose) ; ou même l'écoeurement arrive à nous atteindre. MAis il est sur, que l'on sent la patte Cronenberg. Pour le reste, c'est tout de même assez longuet, tournant un peu et frénétiquement autour d'un thème et de son héros. Mais de ce coté le but est atteint, en partie. On va dire. Amenant le spectateur à ce sentir plutôt fébrile après la projection. Bien qu'un peu rigide, la réalisation est pourtant prometteuse, très organique... (merci papa^^). Mais voila, le film aurait pu et du (sans aucun doute, puisque l'ensemble est par conséquent remplit de pas mal de longueurs) s'ouvrir un peu plus. Par là, j'entend le principe qui aurait du être poussé un peu plus loin. Comme rester sur l'aspect social ou alors en faire un vrai thriller (avec un scénario à l'idée de base original, cela aurait tout à fait pu être possible et rendu le film bien meilleur). Car du coup, la dernière demi heure s'avère presque insupportable... Et l'on se détache peu à peu de l'œuvre et on est bien content quant le générique de fin arrive sur notre écran. Cronenberg aurait pu mieux faire. Dommage.
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