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Jens Lien [raconte son histoire] avec un humour, une subtilité et une poésie qui vont de pair avec une bonne dose d'ironie, incarnée par John Lydon (le Johnny Rotten des Sex Pistols), dans son propre rôle de porte-parole plein d'autodérision.
La critique complète est disponible sur le site Première
De ce sujet pour le moins déjanté, Jens Lien fait un film dont le classicisme formel peut surprendre. (...) Servie par un casting bien choisi, l'histoire ne tombe à aucun moment dans les pièges attendus : aucune tentation de mélodrame, aucun pathos.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Tout cela traité sous forme de vignettes rigolotes, avec filmage clownesque, montage idoine (...) . Heureusement, il reste la musique, tonique (les originaux des Sex Pistols, what else) et l'esprit punk bien tempéré, qui sauvent de l'endormissement et atténuent l'obscène reconstitution jaunasse des seventies.
Sans jamais rivaliser avec la réussite de l'énigmatique "Norway of Life", qui l'avait révélé en 2006, Jens Lien ne démérite pas dans son observation sensible d'une époque révolue.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le cinéaste ne regarde jamais ses personnages en moralisateur : il ne s'agit pas de juger des dangers d'une éducation ultra permissive, mais de confronter la théorie (du bonheur) à la pratique (du deuil)...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Plutôt pénible, Une éducation norvégienne déçoit par son incapacité à prendre à bras le corps un sujet pourtant séduisant pour ne livrer qu'une comédie mineure, un brin fatiguante.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Pas haïssable mais terriblement anodin. (...) sous couvert de frivolité, Liens suggère le malentendu entre un père et son fils avec autant de poésie que d'oppositions manichéennes et de clichés et n'évite pas le piège de la nostalgie dorée.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Ce film rétro gentiment drôlatique, sans plus, est placé sous le parrainage du chanteur des Sex Pistols, Johnny Rotten, lequel sert de caution à la reconstitution historique. Cela n'empêche pas cette farcette de se noyer dans le pittoresque.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Représentant, à partir d'une relation père/fils, l'opposition entre générations hippie et punk, "Une éducation norvégienne" bascule joyeusement dans la caricature, mais reste finalement très conventionnel.
Le talent des acteurs, beaucoup de folie et un zeste de poésie lui permettent de pousser ce portrait de famille très loin du réalisme, vers des sommets tragi-comiques. Sauf que parfois trop, c'est trop.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
"Une éducation norvégienne" décrit, avec doigté, le paradis perdu dont il faut bien se déprendre.
Première
Jens Lien [raconte son histoire] avec un humour, une subtilité et une poésie qui vont de pair avec une bonne dose d'ironie, incarnée par John Lydon (le Johnny Rotten des Sex Pistols), dans son propre rôle de porte-parole plein d'autodérision.
TéléCinéObs
Une approche sensible et inventive du deuil, doublée d'un tableau de famille aussi décalé que poignant.
L'Express
Voir le site de l'Express.
Le Monde
De ce sujet pour le moins déjanté, Jens Lien fait un film dont le classicisme formel peut surprendre. (...) Servie par un casting bien choisi, l'histoire ne tombe à aucun moment dans les pièges attendus : aucune tentation de mélodrame, aucun pathos.
Le Point
Voir le site du Point.
Les Inrockuptibles
Tout cela traité sous forme de vignettes rigolotes, avec filmage clownesque, montage idoine (...) . Heureusement, il reste la musique, tonique (les originaux des Sex Pistols, what else) et l'esprit punk bien tempéré, qui sauvent de l'endormissement et atténuent l'obscène reconstitution jaunasse des seventies.
Libération
Sans jamais rivaliser avec la réussite de l'énigmatique "Norway of Life", qui l'avait révélé en 2006, Jens Lien ne démérite pas dans son observation sensible d'une époque révolue.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Télérama
Le cinéaste ne regarde jamais ses personnages en moralisateur : il ne s'agit pas de juger des dangers d'une éducation ultra permissive, mais de confronter la théorie (du bonheur) à la pratique (du deuil)...
Ecran Large
Plutôt pénible, Une éducation norvégienne déçoit par son incapacité à prendre à bras le corps un sujet pourtant séduisant pour ne livrer qu'une comédie mineure, un brin fatiguante.
Excessif
Pas haïssable mais terriblement anodin. (...) sous couvert de frivolité, Liens suggère le malentendu entre un père et son fils avec autant de poésie que d'oppositions manichéennes et de clichés et n'évite pas le piège de la nostalgie dorée.
L'Humanité
Ce film rétro gentiment drôlatique, sans plus, est placé sous le parrainage du chanteur des Sex Pistols, Johnny Rotten, lequel sert de caution à la reconstitution historique. Cela n'empêche pas cette farcette de se noyer dans le pittoresque.
Les Fiches du Cinéma
Représentant, à partir d'une relation père/fils, l'opposition entre générations hippie et punk, "Une éducation norvégienne" bascule joyeusement dans la caricature, mais reste finalement très conventionnel.
Paris Match
Le talent des acteurs, beaucoup de folie et un zeste de poésie lui permettent de pousser ce portrait de famille très loin du réalisme, vers des sommets tragi-comiques. Sauf que parfois trop, c'est trop.
Critikat.com
Six ans après le surprenant "Norway of Life", Jens Lien continue de saper l'art de vivre norvégien. Sans convaincre cette fois.