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Blood Ties...Guillaume Canet est peut être très sympathique dans la vie de tous les jours, mais il faudrait lui faire songer à mettre un terme à sa carrière de réalisateur. J’avais déchiré «les petits mouchoirs» lors de sa sortie pensant qu’il ne pourrait pas faire pire. Ben si ! Et ça s’appelle «Blood Ties», remake du film «Les liens du sang» déjà pas terrible. Le pire a été d’aller chercher outre-atlantique des «cautions», des «légitimités», autant de paravents pour crédibiliser sa présence derrière l’écran : Clive Owen, James Gray (ah ah ah), pour ne citer qu’eux, genre je me cache derrière des intouchables, mais franchement quelle supercherie, quelle escroquerie même ! Je ne m’attarde pas sur Marion Cotillard qui depuis sa fameuse scène de trépas me semble être devenue la plus surestimée des actrices du monde, avec en prime l’impression qu’avec Guillaume Canet ils forment désormais le duo le plus célèbre depuis Laurel et Hardy.
Combien de films, de séries, avons-nous vus (de meilleure facture) où deux frères sont les antagonistes par excellence ? L’un flic, l’autre voyou, classique en somme, mais particulièrement indigeste dans le cas de ce film.
On recrée le New York des années soixante-dix, on utilise de la péloche à gros grain, on chope un chef-op pas mauvais, mais tout cela sonne Canada Dry. Ce film n’a aucun intérêt sinon nous faire perdre du temps. Je ne recommande pas du tout !
Combien de films, de séries, avons-nous vus (de meilleure facture) où deux frères sont les antagonistes par excellence ? L’un flic, l’autre voyou, classique en somme, mais particulièrement indigeste dans le cas de ce film.
On recrée le New York des années soixante-dix, on utilise de la péloche à gros grain, on chope un chef-op pas mauvais, mais tout cela sonne Canada Dry. Ce film n’a aucun intérêt sinon nous faire perdre du temps. Je ne recommande pas du tout !
selenie
Guillaume Canet passe outre-Atlantique après avoir refusé plusieurs projets pour mettre en scène un remake du film "Les Liens du Sang" (2008) de Jacques Maillto dans lequel ilk était acteur aux côtés de François Cluzet ; bon polar par ailleurs... Aidé par son ami James Gray ("La Nuit nous appartient" qui traite du même sujet) au scénario Canet réalise un film très seventies, hommage au cinéma qu'il aime (et nous aussi !). Porté par un casting prestigieux, international et hétéroclyte il réussit à créer une belle osmose, les acteurs sont tous impeccables malgré une langue anglaise parfois juste pour croire à 100% à des new-yorkais (un détail). De Billy Crudup (quel plaisir !) à Zoé Saldana en passant par Matthias Schoenaerts (charismatique) et James Caan (égal à lui-même)... A contrario du film original Canet s'attarde un peu plus sur les personnages secondaires et tissent au final un film choral admirablement bien écrit et ficelé. Malheureusement, pour une fois il pêche par la mise en scène. Vouloir se rapprocher au plus près du style seventies c'est "French Connection" (1971) de William Friedkin ou "Serpico" (1973) de Sidney Lumet et Guillaume Canet, qui s'en sort pas mal, n'arrive pourtant jamais à ce degré de nervosité, à cette atmopshère d'urgence, d'impact instantané (qu'il avait pourtant parfaitement rendu dans "Ne le dis à personne"). En résumé, pour une fois le remake est un peu plus réussi, ça reste un excellent polar mais il lui manque l'ampleur d'un James Gray ou d'un Friedkin. A conseiller touyt de même, ça reste un bon moment.
film très efficace, supers costumes, super musique année 70/80, relation entre frères et au sein de la famille bien complexe, film extra pour moi
Reconnaissons-le, Guillaume Canet ne fera jamais l'unanimité. Avec ce dernier "Blood Ties" encore moins que d'habitude.
Et pourtant. La reconstitution de l'époque m'a parue bien vue, très fouillée, judicieuse et parfaitement appropriée. Ces papiers peints grossièrement imprimés et mal assortis à ceux des canapés ne peuvent que rappeler des souvenirs, à celles et ceux de mon âge, qui ont connu semblables décors dans les années 70.
Une belle réussite donc, pour le chef décorateur, Ford Wheeler.
Deuxième point positif pour Michael Clancy et ses costumes. Les détails sont au maximum de tout ce qui parait à peine acceptable aujourd'hui. Les larges cravates aux couleurs criardes "délicieusement" assorties aux chemises à carreaux, à rayures, voire les deux mélangés, accrochent l'attention tant le réalisateur semble se délecter de tous ces détails que l'on ne peut que remarquer au travers des gros plans longs et appuyés.
Je le regrette mais n'ai pas accroché à grand-chose d'autre.
Ou plutôt si, la belle photographie, aussi, du fidèle Christophe Offenstein.
James Gray, dont on ne peut que saluer ses précédentes réalisations et scénarios est coscénariste avec le réalisateur. Son écriture précise, vive, mordante, et bien trempée est ici bien loin des souvenirs que j'ai gardé de "Little Odessa" et "The Yards", entre autres.
"Blood Ties" n'est rien d'autre que cent cinq minutes de pellicule pour quinze minutes de film.
Et encore, faut-il attendre la fin, pour avoir un minimum de suspense, et porter un petit intérêt à cette histoire.
Les acteurs n'ont aucune possibilité pour s'imposer véritablement dans cette mise en scène lourde et trop présente.
Guillaume Canet s'est fait plaisir en oubliant celui du spectateur. Du mien en tout cas, puisque certains paraissent y avoir trouvé leur compte.
Et pourtant. La reconstitution de l'époque m'a parue bien vue, très fouillée, judicieuse et parfaitement appropriée. Ces papiers peints grossièrement imprimés et mal assortis à ceux des canapés ne peuvent que rappeler des souvenirs, à celles et ceux de mon âge, qui ont connu semblables décors dans les années 70.
Une belle réussite donc, pour le chef décorateur, Ford Wheeler.
Deuxième point positif pour Michael Clancy et ses costumes. Les détails sont au maximum de tout ce qui parait à peine acceptable aujourd'hui. Les larges cravates aux couleurs criardes "délicieusement" assorties aux chemises à carreaux, à rayures, voire les deux mélangés, accrochent l'attention tant le réalisateur semble se délecter de tous ces détails que l'on ne peut que remarquer au travers des gros plans longs et appuyés.
Je le regrette mais n'ai pas accroché à grand-chose d'autre.
Ou plutôt si, la belle photographie, aussi, du fidèle Christophe Offenstein.
James Gray, dont on ne peut que saluer ses précédentes réalisations et scénarios est coscénariste avec le réalisateur. Son écriture précise, vive, mordante, et bien trempée est ici bien loin des souvenirs que j'ai gardé de "Little Odessa" et "The Yards", entre autres.
"Blood Ties" n'est rien d'autre que cent cinq minutes de pellicule pour quinze minutes de film.
Et encore, faut-il attendre la fin, pour avoir un minimum de suspense, et porter un petit intérêt à cette histoire.
Les acteurs n'ont aucune possibilité pour s'imposer véritablement dans cette mise en scène lourde et trop présente.
Guillaume Canet s'est fait plaisir en oubliant celui du spectateur. Du mien en tout cas, puisque certains paraissent y avoir trouvé leur compte.
Caine78
Bon, c'est vrai que c'est propret, et je ne doute pas de la sincérité de Canet lorsque celui-ci dit qu'il n'a pas réalisé le film qu'il aurait souhaité... Toujours est-il que ce remake des « Liens du sang » (polar correct, sans plus) s'avère bien longuet et laborieux... On sent tellement l'application d'écolier de la part de notre Guillaume national que cela en devient parfois pénible : la reconstitution des 70's a beau ainsi être soignée au possible, tout (ou presque) est figé, sans âme... Cela a beau reprendre à la lettre les grands classiques du genre, difficile de se captiver pour cette histoire pourtant écrite par James Gray, la faute à des personnages trop nombreux et surtout bien peu exploités, à l'image d'un casting en définitive aussi imposant que décevant (à l'exception peut-être de Billy Crudup et éventuellement de Clive Owen (allez, James Caan n'est pas mal non plus !). Si je suis toutefois (un peu) indulgent, c'est pour le dénouement. Différent de l'œuvre originale, tendue et fort bien mis en scène, soit un peu tout ce qui manquait à « Blood Ties » jusque-là... Il nous permet de rester sur une bonne note, mais cette parenthèse américaine pour l'auteur de « Ne le dis à personne » et des « Petits Mouchoirs » restera un non-événement, sanctionné par un lourd (et sévère) échec au box-office. Dommage.
Julien D
Alors que le film Les liens du sang ressemblait étrangement à une version made in France (à Lyon pour être précis) des films de James Gray, eux-mêmes déjà d’inspirations ouvertement scorsesiennes, avec son histoire de fratrie divisée entre flics et voyous, la version américanisée qu’ait allé en faire Guillaume Canet dispose en plus d’une participation dans son écriture de James Gray lui-même. Le piège du film réchauffé était inévitable. C’est bien un polar dans l’esprit de ce que nous a offert le nouvel Hollywood que Canet réussit à mettre au point, la question est justement de comprendre l’intérêt d’une telle entreprise de copier-coller. Au vu du scénario dénué de surprise, et même de volonté auteuriste, et des prestations assez limitées que celui-ci permet de faire aux acteurs conviés, et ce malgré leur talent notable, on ne peut que conclure que Blood Ties ne vaut que pour la qualité de sa reconstitution des années 70. Grâce à la décoration d’époque, à l’imagerie vintage obtenue par le chef opérateur Christophe Offenstein, complice de vieille date de Canet, et surtout à la superbe bande originale pleine de soul et de rock, le film nous replonge en effet dans une ambiance propre au cinéma des seventies mais malheureusement sans rien n’avoir de neuf à nous y faire découvrir.
Benito G
Guillaume C. se fait plaisir en réalisant ou il a toujours voulu le faire... Ajoutons à cela, une ambiance rendant le visuel assez années 70-80 ; mais qui est parfaitement bien mis en scène n'en fait pas trop de ce coté. Cela donne un petit plus, est donne à ce polar ; un coté ; ou l'on s'attache au film d'une autre façon. Comme certains films de l'époque. L'histoire met malheureusement longtemps à démarrer, et c'est là ; que la psychologie et la présentation permet de combler un peu ce vide. Mais malheureusement, cette première partie ; est assez fade ; une fois que l'on a fait le tour des personnages auquels ont aura à faire face. Pour la deuxième partie, le film prend un peu de rythme est chemine son cheminement (je me comprends) correctement. Faisant plaisir aux amateurs du style et de la photographie (ici de l'époque qui fait bien plaisir). Car reconnaissons le. Si la photographie avait été celle de maintenant, le film perdrait un charme c'est certains. Fort heureusement ce n'est pas le cas. Une première partie donc longue qui aurait pu être raccourci ou compléter pour pimenter un peu la chose (tout en restant un minimum dans le crédible que veut donner le film), et une deuxième partie qui s'accélère un peu et montre concrètement le déroulement, les surprises et péripéties en tout genre du film tel que le font les films de ce genre. Cette partie, remontre aisément la première partie qui pour certains fera lacher prise avant même que la seconde commence... Quelques fautes à revoir, mais dans l'ensemble ; le film tient la route et propose plusieurs bonnes choses. Pas exceptionnel dans le genre non plus, mais plaisant et divertissant une fois que l'on à passé la première partie (et c'est là, le plus grand défaut du film). Sinon, pourquoi pas.
Canet en Amérique, je passe. C'est simple, les trois premiers quarts du film semblent avoir été écrit avec les pieds. Seul le dernier, plus rythmé, et le talent des deux têtes d'affiche parvient à sauver l'honneur (Cotillard, c'est une catastrophe). Je ne sais pas ce qu'il en était de la version française ("Les liens du sang") mais "Blood Ties", qu'est-ce qu'on s'emmerde !! Une belle grosse tâche au palmarès du réalisateur de "Ne le dis à personne".
Après un début assez laborieux, plutôt lent et guère emballant, ce film monte quand même peu à peu en puissance. Il est fort long (plus de deux heures qui auraient pu, sans aucun mal, être raccourcies d'une petite demi-heure...). Cette histoire de deux frères antagonistes (l'un est flic, l'autre truand), que tout oppose, mais qui sont terriblement liés par les liens du sang, est une bonne idée qui aurait sans doute pu être mise en scène de manière plus nerveuse. C'est assez mou : il y a relativement peu d'action, enfin je veux dire de l'action comme on a l'habitude d'en voir dans les films américains "pur jus". Il y a quelques scènes violentes, rien de bien méchant, mais suffisamment pour réserver ce film à des personnes pas trop sensibles. Aller voir ce film ? Pourquoi pas ? Mais ce n'est sans doute pas une nécessité : il y pas mal d'autres trucs plus intéressants à voir en ce moment !
WutheringHeights
Canet a le souci du détail et la reconstitution du New York des années 70 est très précise, grâce au concours pour le scénario de James Gray, cinéaste new-yorkais amoureux de son Brooklyn natal. Malheureusement, après un premier quart d'heure efficace, le film sombre dans une absence de rythme qui vient à bout de la patience du spectateur (2h07 de film). Si Canet a choisi une image volontairement sale, typique du polar des seventies (on ne saurait lui en tenir rigueur), il ne propose aucune vraie idée de mise en scène, si ce n'est un déroulement en pantoufles, sans surprises et sans aucune tension dramatique. "Blood Ties" devient alors un remake aussi inutile que le film dont il est adapté. En élève appliqué, Canet respecte les codes du genre à la lettre sans jamais y apporter une touche personnelle. L'omniprésence des musiques additionnelles est, en outre, insupportable, soulignant, malgré elle, l'absence d'inspiration. C'est d'ailleurs un reproche que l'on peut faire aux précédents films du réalisateur, "Ne le dis à personne" étant sa seule véritable réussite en la matière. En tourner un film à New York Guillaume Canet réalise un rêve de gosse mais un film sans intérêt.
Guillaume Canet devrait s'en tenir à ce qu'il sait faire: des films frenchies comme Les Petits Mouchoirs, par exemple. En s'essayant au pseudo polar vintage américain, il en fait trop, ou pas assez, on ne sait plus. On dirait un exercice de style, sans saveur, sans force, trop travaillé, sans personnalité, trop lent. Heureusement que les acteurs sauvent largement la mise et arrivent à nous emmener avec eux! (et je ne parle sûrement pas de Marion Cotillard!)
Donc un peu d'humilité, et on arrête de se prendre pour Scorsese quand on en n'a pas l'étoffe.
Donc un peu d'humilité, et on arrête de se prendre pour Scorsese quand on en n'a pas l'étoffe.
Un film ambiance 70, esprit "pur cinéma ricain", réalisé par un frenchy. Bravo à Guillaume Canet qui à réussi un excellent film. La bande son est mortelle et le casting de choix. A voir absolument en VO
Alain D.
Yen York, 1974. Chris sort de prison ; Il a pris 9 ans pour un règlement de compte. Frank, son frère protecteur, est venu le chercher. Frank est flic, il le loge chez lui et lui trouve un boulot. Chris a retrouvé sa femme et ses gosses avec qui il ne vit pourtant pas. Malgré quelques réunions de famille autour de son père malade, Chris à le blues ; va t-il renouer avec son passé ?
Le casting est très relevé : dans les rôles de premiers plans, une attention toute particulière pour Clive Owen dans le rôle de Chris, le repris de justice, ainsi qu'à Billy Crudup qui interprète le rôle de son frère Frank. Marion Cotillard, que l'on ne voit pas assez à mon gout, est aussi excellente dans le rôle de Monica, la femme de Chris et James Caan dans le rôle de Léon, le père de Chris et Frank.
Après un début très lent, le scénario nous délivre une belle histoire sur la loyauté et le "lien de sang" de ces deux frères, l'un flic et l'autre voyou. La bande son de Maxim Nucci est remarquable. Rétro à souhait, elle évoque bien les années 70 : Louis Prima, les Rubettes avec le fameux "Sugar Baby love", le groupe Cream avec "Sunshine of your Love"...
Un bon, policier de Guillaume Canet.
Le casting est très relevé : dans les rôles de premiers plans, une attention toute particulière pour Clive Owen dans le rôle de Chris, le repris de justice, ainsi qu'à Billy Crudup qui interprète le rôle de son frère Frank. Marion Cotillard, que l'on ne voit pas assez à mon gout, est aussi excellente dans le rôle de Monica, la femme de Chris et James Caan dans le rôle de Léon, le père de Chris et Frank.
Après un début très lent, le scénario nous délivre une belle histoire sur la loyauté et le "lien de sang" de ces deux frères, l'un flic et l'autre voyou. La bande son de Maxim Nucci est remarquable. Rétro à souhait, elle évoque bien les années 70 : Louis Prima, les Rubettes avec le fameux "Sugar Baby love", le groupe Cream avec "Sunshine of your Love"...
Un bon, policier de Guillaume Canet.
bsalvert
Ce qui est fascinant avec Gulllaume Canet c'est que le temps de ses films on es plongé dans un histoire, on vit avec ses personnages, on est transporté dans un lieu,une époque, les décors, musiques sont soignés, les acteurs ne surjouent pas, ils nous accompagnent.
PLV : un bon moment de cinéma.
PLV : un bon moment de cinéma.
Je n'ai pas vu "Les liens du sang" ou jouait le réalisateur de ce film Guillaume Canet avec François Cluzet mais le remake Américain m'a beaucoup plu !! Déjà, le co-scénariste s'appelle James Gray, pas n'importe qui qui est à peu prés de la même génération que Guillaume Canet (Ils sont nés tout les deux dans les années 70, je crois) mais on sent la patte de cinéphiles adorant le cinéma Américain de cette époque, Coppola, Scorsese, Sidney Lumet, Jerry Schatzberg et les décors, les voitures, l'atmosphère de ce dont on voyait dans ces longs métrages se voient ici. Puis, le cinéma parlant de famille qui est chère au cinéaste James Gray que j'adorais, Guillaume Canet la retransmit dans ce film avec des différences entre deux frères, l'un dans la police, l'autre truand sortant de prison et le climat est soit à tension, soit touchant. Puis, ce qui m'a frappé, c'est que les personnages principaux et les seconds roles sont vivants, bien écrits, bien valorisé que ce soit du coté masculin que féminin. Guillaume Canet a réunit un casting royal comprenant, Clive Owen, Billy Crudup, Marion Cotillard, Zoé Saldana, Matthias Shonaerts, Mila Kunis, James Caan, Lilli Taylor, Noah Emmerich, je dois en oublier mais des acteurs qui brillent. Guillaume Canet, pour ma part, a déjà son passeport pour l'Amérique s"il veut encore y retravailler.
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