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    Spring Breakers
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    2,2
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    1 642 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 19 juillet 2016
    Sans intérêt. Le réalisateur joue sur la folie violente et la pourriture du dealer, et son espèce de comportement antinomique avec les filles avec lesquelles il est protecteur et quasi affectueux au travers de sa folie. Mais c'est décousu, abuse du flash, sautant de lieux en lieux, et de moment en moments, ce qui rend le suivi difficile, d’autant que les événements sont violents, cinglés, mais d'une effarante banalité qui limite l'attention. Une photo montrant les 4 mousmées affalées, résume bien le film, un tas de bidoche féminine égaréee.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 9 août 2016
    Une scène que j'ai revu une dizaine de fois: le braquage sur du Britney Spears.
    Un film contemplatif, léché, qui parle peu mais montre l'amérique contemporaine, la pop culture, et ses dérives.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 10 juillet 2016
    Ce film avait l'air bien sauf que dès les premières minutes on ne voit pas des seins nus, des scènes mimant du sexe et ce même avant d'avoir vu les personnages principaux. Ensuite, on voit les 3 filles qui veulent aller en Floride mais qui n'ont pas assez d'argent donc elle braquent une banque et parte avec une autre jeune fille dont on ignore complètement ce qu'elle vient faire dans l'histoire ! Arrivées en Floride, elles se droguent, boivent... Avant d'être mises en détention et qu'un dealer vienne les sortir de là. C'est un film bizarre dans lequel on se perd quelque peu dans la chronologie, il y a trop de scènes de fête et pas assez d'histoire pour ma part.
    pierrre s.
    pierrre s.

    429 abonnés 3 305 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 25 juin 2016
    En plus d'être plat, ce film est mortellement lent... Rien ne se passe, pas d'action et aucun dialogue, que de la voix-off. Rien a sauver, si ce n'est un plan, celui du premier braquage, inventif et bien foutu.
    Ciné-o-Max
    Ciné-o-Max

    64 abonnés 307 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 juin 2016
    "Le film Spring Breakers nous raconte donc l’histoire de quatre filles un peu paumées, un peu désillusionnées qui en ont marre de leur vie bien cadrée et ennuyeuse et qui rêvent de voyager et de faire la fête.

    Pour réaliser leur rêve, elles vont donc commencer par braquer un fast-food, puis elles vont rentrer dans une spirale dangereuse faite d’alcool, de drogue et de violence.

    Je trouve la thématique du film très intéressante, avec un énorme potentiel. Malheureusement, cette thématique, et donc ce potentiel, ne sont pas assez exploités. Au final, le film n’amène pas grand-chose et ne se sert de cette thématique comme d’un simple décor.

    Finalement, j’ai du mal à comprendre où le film voulait nous emmener. Le film démarre comme un film dramatique sur les dérives de la jeunesse un peu perdue, et arrive sur une sorte de film de gangsters tout ce qu’il y a de plus classique. Finalement, le film perd sa thématique et tout son intérêt en cours de route.

    Heureusement, quelques bons rebondissements viennent apporter un peu de qualité à l’histoire du film."

    La suite ici :
    Dex et le cinéma
    Dex et le cinéma

    681 abonnés 186 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 juin 2016
    J’en suis encore tout estomaqué. Complètement retourné. Voici que ce film désavoué par nombre de mes connaissances qui, depuis plusieurs mois, me le vendaient comme un spectacle d’une hilarante vulgarité auto-masturbatoire, vient de me foutre un high kick d’expert en plein dans mon petit minois plein de préjugés.

    Harmony, même si ton nom m’évoque celui d’une stripteaseuse se déhanchant pour payer ses études, sache que tu as réussi à me surprendre. Et après avoir découvert ton film, voilà que je m’en veux. Je m’en veux de t’avoir jugé sans savoir, de t’avoir hué sans te voir. Car le fait est là, ton Spring Breakers défonce. Alors certes ne nous mentons pas, des postérieurs rebondis et des poitrines affriolantes se trémoussant sur du Skrillex, il y en a. Même beaucoup. Mais que veux-tu cher spectateur désormais dubitatif, la destruction de l’enfance se doit passer par le sexe, le sang et les larmes afin d’être complète... Et détruire l'enfance il n'y a que ça de vrai, n'est-ce pas cher Harmony ?

    Là où nombre de spectateurs semblent avoir vu de la provocation stupide et vulgaire dans le choix de ces 4 Disney Models que tu as armées et sexualisées à outrance, sans doute par pur plaisir sadique d'amener à la destruction des rêves de chaque petites filles qui les auraient un jour vénérées comme des idoles, je vois une impertinence à la fois brillante et délicieusement ironique. Car tu es un vilain garçon d'une insolente impertinence, et c'est exactement ça qui fait la force de ton film. Tu te noies dans un merchandising ricain tellement vulgaire qu'il ne provoque plus que le rire, pour mieux le déconstruire par la puissance de ton parti pris. C'est beau.

    Magnifiquement coloré par les teintes délicieusement chuppashuppesques de notre ami à tous : le vénérable Benoit Debie, cet amoncellement de bikinis aguicheurs et d'armes automatiques encore chaudes se présente comme une réflexion des plus pertinentes sur l’émotion la plus désespérément humaine qui soit : le fantasme. Un long fantasme coloré et somnambule embrumé de substances illicites, illustrant avec un brio exemplaire ce désir typique de la frontière entre l’enfance et l’âge adulte que nous nommons adolescence, qu’est celui de ne plus être soit. C'est comme cela que j'ai perçu ton film Harmony, comme une illustration pop de cette indicible volonté que nous avons tous eu de plonger, et ce dans le plus simple appareil, au cœur d’un clip de rap ricain bien cliché agrémenté d’une légère touche de GTA, et de se laisser aller à la destruction de l’autre comme un moyen d'expression de ses souffrances intérieurs, quitte à en oublier que la réalité existe, et que ses conséquences nous attendent bien sagement à la maison. Mais tes personnages emplis de naïveté se refusent à atterrir. Ils planent toujours plus haut, ils s’aventurent toujours plus loin… Et finissent logiquement par descendre aux enfers. Et je les aime pour ça. Je les aime pour ce refus jusqu’au-boutiste du réel qui les plonge dans une sorte de léthargie onirique, et qui nous laisse à tous (spectateurs et personnages) un arrière-gout doux-amère en bouche...

    Ton film est beau, sombre et profondément mélancolique... Il m'a foutu le bourdon tout en m'émerveillant, et peu de films peuvent en dire autant. Harmony, j’ai réussi à apprécié un film avec des nanas qui se versent de la bière sur les boobs au ralentit sur de la dubstep… Je ne me reconnais plus... Comme quoi l’art peut prendre des formes bien différentes. Pas besoin de came pour planer, le cinéma est là pour ça. Ton film nous le prouve encore une fois, et je t'en remercie.

    Certains ont la mémoire courte...
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 19 mai 2016
    Étrange sentiment que fut le miens à la fin de cette œuvre relativement profonde mais malheureusement souvent obscurcie par des défauts trop récurrents...
    En effet, le film se veut une réflexion sur les paradis artificiels, la quête identitaire,... Concepts assez classiques finalement mais souvent des succès. Par ailleurs, certains éclairs de génie dans la mise en scène et le jeu de couleur (remarquable !) servent cette ambition avec brio (ambiance sombre pour le début, pour décrire un endroit terne qui leur déplait, puis plein de couleur pour leur "paradis",...) même si, de nouveau, les ressorts utilisés sont connus et reconnus, il faut saluer leur efficacités.
    Malheureusement, de trop nombreuses redondances scéniques alourdissent une histoire qui peine à décoller, la réalisatrice semble se focaliser trop sur des élément dépourvus d'intérêt et cette réflexion si intéressante que nous avons évoqué passe au second (17ème???) plan pour laisser place à... des fesses.
    Quant à la vulgarité si souvent critiquée dans le film, elle est assumée et du coup, la pilule passe plus facilement, il n'y a pas vraiment de "scènes de culs explicites", comme certains semblent le regretter (a-t-on vu le même film?). Ce n'est pas parce que j'ai trouvé cette "vulgarité" choquante qu'elle m'a déplu mais c'est parce qu'elle est utilisée à tord et à travers de façon extrêmement répétitive pour finalement desservir le film.
    On en vient à se demander si on assiste à un film d'auteur ou à un quelconque teen movie comme il y en a tant d'autres... Quoi qu'il en soit, les frontières sont (habillement?) brouillées, et c'est peut-être une réussite dans le chef de Korine, qui nous aura néanmoins habitué à mieux. Bref, curieux objet de cinéma, qui peinera sans doute à définir son public mais qui reste une œuvre intéressante et non dénuée de sens malgré les défaut évoqués.
    phanynie2684
    phanynie2684

    2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 avril 2016
    C'est un film sans temps mort qui met en scène la jeunesse américaine dans toute sa déroute . En effet ces jeunes cherchent à fuir l'ennui de leur vie quotidienne et pour ceci elles sont prêtes à tout pour partir au soleil de Miami pour le fameux springbreak et tous ses excès . Ce film traite de la décadence de la jeunesse américaine et de sa recherche de plaisirs et de vices . Les acteurs sont tous très bons en particulier James Franco dans son rôle de rappeur gangster et Vanessa Hudgens . La fin est surprenante . Film à voir et à revoir .
    Florent B.
    Florent B.

    72 abonnés 756 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 14 mars 2016
    Que c'est mauvais, un ensemble insipide et creux. Film sans saveur qui se perd dans une succession de scènes n'ayant ni queue ni tête. C'est du n'importe quoi, et on ne sait pas exactement ce que le film veut nous faire montrer. Encore il y aurait une morale, je ne dis pas, mais là rien, la réflexion est absente, et les images érotico-trash gavent au fil des minutes. James Franco, que d'habitude j'adore, est ridicule, et les 4 actrices principales, pour ne pas citer leur nom, mauvaises. A éviter.
    Django Retroman
    Django Retroman

    6 abonnés 36 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 mars 2016
    Spring Breakers n'est en aucun cas un Projet X sous les tropiques .

    Par sa réalisation son montage et son parti pris , le film d'Harmony Korine est expérimental .
    Nous sommes pris dans une spirale infernale d'1h30 .

    Ici , aucune question de morale pompeuse et convenue sur une jeunesse en perdition .

    Les protagonistes du film ne sont en aucun cas poussés à leurs décisions . Korine dresse le portrait au vitriol d'une certaine jeunesse qui se complait dans une forme de débauche vendue pour :" anarchie " .
    Le coktail sexe alcool drogue et défonce est bien entendu de la partie mais ce qui différencie Spring Breakers des autres productions c'est que justement , ce coktail n'est en aucun cas un :" faire valoir" , mais un but en soi à atteindre par les protagonistes tel un jeux vidéo .
    D'ailleurs la thématique du jeux vidéo est pleinement explicite par le biais d'un montage sonore et d'une photographie clipesque .

    Ainsi le Spring Break n'est ni plus ni moins que le dernier niveau d'une :" partie" .

    Un rite de passage , un moyen de se faire connaitre et de graver les échelons de la popularité .
    L'Arsenal d'Alien renforce cette thématique du virtuel pour réel .

    La thématique du jeux vidéo est également représentée par une bande originale et un montage sonore épileptique .
    La réalisation d'Harmony Korine n'est pas sans rappeller Terrence Malick par moment et Tony Scott dans d'autres .
    Le réalisateur ne cherche en aucun cas à dénoncer ou faire la morale , en allant bien au delà d'une certaine bien pensance , le réalisateur place la jeunesse en face d'un miroir déformant fait du fameux :" rêve américain" et rien d'autre .
    C'est justement cette superficialité planante tout au long du métrage qui le rends si percutant et viscéral .
    Ceux qui n'attendaient de Spring Breakers qu'un énième pretexte à des scènes de débauche seront fortement déçus .
    Et c'est peut être le but de Korine .

    Decevoir ces jeunes prétendant être porte drapeau d'une génération où la débauche est un but à atteindre .
    Les scènes érotiques alternent entre moments véritablement répugnants et grâce rarement atteinte de nos jours .

    Spring Breakers a également des airs de True Romance ; Bête et méchant sur la forme mais renfermant une romance profondément belle .

    Un film choc indispensable , là où des séries comme Skins ne servent au final que des propos victimisant et mélodramatiques , Spring Breakers ne nous montre que ce que les protagonistes ont en tête .

    Oubliez également les éternelles scènes de confrontation parents / ados .

    N'allez pas chercher le salut du film dans des morales et tirades philosophiques .

    Les amateurs de Projet X , d'orgies d'adolescents défoncés risquent d'être fortement dépaysés avec Spring Breakers ! En effet , si les beuveries et baisers lesbiens sont présents dans le film , il prends à contre pied ce coktail et propose un film terriblement glaucque .

    Le rêve américain à la sauce adolescente est ici revu et corrigé et dresse un portrait au vitriol d'une société à la recherche d'une identité propre à chacun .

    Les personnes croyant enfin se :" trouver" en participant à ces événements risquent d'être interpellées par les propos du film que j'ai trouvé très juste et bel et bien loin de la pseudo morale larmoyante que l'on trouve en général dans des films ayant pour thème l'adolescence .
    Chacun des choix pris par les protagonistes engendreront des situations innatendues jusqu'à un final qui je pense ne laissera pas indifférent .
    James Franco a l'apparence improbable est saissisant d'authenticité dans tout ce qu'il y a de plus :" crade" : Pervers , dealer , trafiquant de drogue et d'armes , avide d'argent .
    Paradoxalement c'est le manque de consistance de son personnage qui le rends on ne peut plus réaliste .
    Le quator d'actrices disney reconverties en filles délurées est tout à fait crédible .
    Il est bon qu'avec un sujet aussi polémique et :" casse gueule" le réalisateur ait osé prendre le risque .
    Toutefois je trouve l'interdiction aux moins de douze ans un peu légère étant donné les scènes érotiques et la violence de certaines séquences .
    La bande originale de Cliff Martinez alterne pistes dramatiques et pistes :" délurées" .
    Un film plus intelligent qu'il n'y parait .
    A condition de savoir lire entre les lignes . Et c'est peut être ce qui fait que Spring Breakers est un chef d'oeuvre .
    A bon entendeur !
    cinono1
    cinono1

    302 abonnés 2 055 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 octobre 2018
    A travers une mise en scène sensitive faites de couleurs flashy, d'un montage ciselé et précis, une plongée dans la tête de quatres "bébés-femmes" bien décidées à profiter des feux de l'été. Mise en scène d'une jeunesse qui grandit trop vite, pressé d'endosser les habits sexy de leurs ainées et leurs gouts des paradis artificiels, incapable de résister aux sirènes des tentations. Léger, grave, vulgaire, repoussant, stimulant, déluré, attirant, dangereux, le film a le mérite de ne pas juger ses héroines mais de valoriser leurs vies qui pourtant les mènent dans les situations périlleuses et dans lesquels leurs jeunesses pourraient s'abimer. C'est un film sur la frénésie, les sensations, la vitesse un objet filmique très inspiré, avec une musique au diapason, qui offrira des avis très tranchées, mais qui réussit à faire passer ses questions sur les modes de vies de ces chers chérubins sans offrir de réponses trop faciles.
    Lucas L (LeBigKalu sur SensCritique)
    Lucas L (LeBigKalu sur SensCritique)

    87 abonnés 386 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 mai 2016
    Jamais je n'aurais pensé dire que ce film est un chef d'oeuvre, ou même qu'un film acceptable, sur le papier ça a l'air totalement débile et nanardesque, quatre filles qui pour partir en spring break braquent un restaurant et finissent par tomber sur un type qui les fait sortir de prison pour tapage nocturne, juste ça ça me faisait rire, mais j'ai vécu une expérience juste que je n'avais quasiment jamais ressenti avant, les acteurs sont épatants, au niveau de la réa c'est juste incroyable chaque plan est un tableau, et puis c'est super coloré, y'a une relation entre les couleurs et les sentiments que le personnage éprouve, et puis c'est en me vendant ce film comme un teen-movie totalement débile que j'en arrivé à cette conclusion, un des meilleurs films que j'ai vus.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 26 janvier 2016
    Un pur trip psychédélique, érotique et punk. Avec une photo digne des plus beaux giallo.
    Que demander de plus ?

    Attention néanmoins, si vous êtes fan de cinéma social, parce-que la critique de la société moderne c'est votre vie : fuyez ! La morale n'existe pas plus dans ce film qu'elle n'existe dans la réalité ;)
    rogerwaters
    rogerwaters

    142 abonnés 1 089 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 janvier 2016
    Tourné comme un clip vidéo et monté comme un film de la nouvelle vague (on n’est jamais très loin de Godard), Spring Breakers a déchaîné les passions parce qu’il n’entre dans aucune des cases qu’on lui destinait. Tout d’abord, malgré son titre et son casting qui pouvait attirer les amoureux de la fiesta, le long-métrage dénonce au contraire la vacuité totale de cette jeunesse qui n’a plus d’autre repère moral que le fric facile et l’hédonisme de bazar des boites échangistes. Bref, une déroute totale que le cinéaste se plaît à exagérer encore un peu plus, histoire de ridiculiser chacun de ses personnages, tous caricaturaux à l’excès. Malheureusement, de tels abrutis existent bel et bien et le portrait des Etats-Unis que brosse Harmony Korine est loin d’être laudatif. On plonge ici dans une société incapable de nuances, qui chante à la fois les louanges du Seigneur Jésus tout en se vautrant dans la pire débauche. Un grand écart que le réalisateur nous sert brut, avec un montage en forme de trip sensoriel, aussi beau qu’irritant. Tout ceci est kitsch, bruyant et en même temps foncièrement gonflé. Les acteurs se retrouvent dans des contre-emplois bien destroy et mettent ainsi en danger leur carrière, pour le plus grand plaisir de ceux qui aiment l’art dégénéré. Alors, oui le scénario tient sur un ticket de métro et tout ceci est un peu facile, mais il faut saluer la démarche qui est de faire un grand doigt d’honneur au bon goût.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 14 janvier 2016
    Un très bon film, étonnant qu'il ait reçu autant de mauvaises notes ! Après je peux comprendre que les spectateurs soient déçus par le fait que la promotion du film ait été quelque peu trompeuse, en effet il ne s'agit pas là d'un enième film stupide "Mdr c tro koul 2 fer la fait !" mais bien d'une véritable descente aux enfers. Un trip halluciné et une grosse critique du rêve américain qui mérite une bonne note aussi bien pour ses différents degrés de lecture que pour la qualité de sa mise en scène ! Pour moi, c'est l'un des films des années 2010 les plus sous-côtés avec Only God Forgives, ni plus ni moins.
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