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    Spring Breakers
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    1 642 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 12 octobre 2013
    Attention ce flim n'est pas un flim sur le cyclimse, merci de votre compréhension, cf classe américaine, et ce n'est pas non plus un film sur le spring break ! Du moins pas sur le fond ! Excellent film, la bande son colle parfaitement ( et pourtant la dubstep c'est vraiment pas mon truc), les plans sont superbes, les filles dénudées mais sans aucun voyeurisme. L'ambiance est froide et chaude à la fois, nostalgique et une fois le film terminé on ressent cette sensation que l'on a à la fin des vacances d'été quand on aurait aimé que ça dure encore un peu..
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 10 octobre 2013
    ce film est une daube monumentale.
    On vient pour les jolies paires de seins et fesses sur l'affiche, ça dure les 30 première minute, ambiance spring break. c'est tout
    la réalisation part dans un délire: film au ralenti, univers soit disant gansta/scarface/glauque/sombre, psychédélique? j'ai absolument pas compris quel était le but recherché. on est dans la tête, pensées des personnage. c'est bien sur 1 scène ou deux. mais tout le film, non ça le fait pas du tout... scènes mélangées, répétées. c'est vraiment n'importe quoi
    j'ai fini le film en avance rapide tellement je n'en pouvais plus.
    le scénario est assez minable.
    ce film rejoint le top 10 des navets que j'ai visionné.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 8 octobre 2013
    film brouillard, les acteurs sont bons mais pas plus que ça, l'histoire est nulle et la fin merdique.
    Très mécontente de ce film, qui pourtant paraissait comme "Projet X" façon féminine...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 12 octobre 2013
    Je suis agréablement surprise. Je m'attendais a un navet monumental. Tout le contraire.

    Un film maitrisé à la perfection, Korine a fait de l'excellent travail. Ce film dérange sur plusieurs points et je pense que c'est pour cela qu'il n'a pas récolté de très bonnes notes de la part des spectateurs.

    Mention spéciale à James Franco qui porte le film à lui tout seul, son personnage devient attachant au fil des minutes. Personnellement, je sens l'Oscar arriver.

    J'ai trouvé ce film excellent. A vous de juger.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 6 octobre 2013
    Un film qui pousse a bout le spring break. Surprenant mais déçue par la fin. A voir quand même il dimanche après-midi.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 6 octobre 2013
    Après des mois de curiosité je me suis enfin décidée à voir ce film. Quelle erreur... Le scénario est ultra prévisible, les acteurs tous mauvais (oui même James Franco caricatural et juste ridicule), sans parler de la place des femmes : des niaises qui incarnent le fantasme ridicule de la bande de copine en pleine expérimentation lesbienne sans aucune initiative personnelle à la merci du gros bad boy parce qu'elles n'ont que ça pour les faites rêver. Franchement en 2013 c'est limite... Vanessa Hudgens me fait peine, Selena Gomez est la seule crédible (ouioui). BREF ne perdez pas votre temps et partez plutôt vous affaler devant Secret Story il s'y passe bien plus de choses intéressantes (c'est dire...)
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 6 octobre 2013
    Après de longs mois de méditation, j'ai décidé de donner une chance à ce film. La pire erreur de ma vie. Il s'agit en effet d'un mix assez incroyable de scénario sans intérêt, réalisation bancale, acteurs non convaincants (mis-à-part James Franco, qui a néanmoins hérité d'un rôle probablement écrit par un gamin de 10 ans sous LSD). L'enchaînement de scènes vomitives est tel que jamais je n'aurais cru arriver à me sortir vivant de cette heure et demie de torture. Mis-à-part l'enchaînement de plans beaucoup plus cadrés sur les atouts féminins proéminents de la plupart des protagonistes, je peux vous assurer que 70% des scènes ne servent à rien et que ce film est aussi vide qu'il semble l'être. Au départ, je recherchai un navet relativement agréable à regarder (à la Projet X qui s'inscrit dans sa catégorie comme un bon film où il ne faut pas utiliser son cerveau). Mais ce film là nous agresse tellement de par son incohérence et sa débilité sans limite que son cerveau, il faut utiliser, ne serait-ce que par estime de soi. Je crois avoir perdu 30 de QI après la vision de ce film. Avis aux plus courageux : le post-it sur lequel le scénario est écrit dans sa totalité est encore recherché à l'heure actuelle. Moi, je vais aller boire pour oublier.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 5 octobre 2013
    Personellement je n'ai pas accroché à cet univers mais je peux comprendre les critiques de 0 étoiles et 5 étoiles . Je dirais réserver à ceux qui adore les film de ce metteur en scene et réalisateur
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 24 juin 2014
    Projet X aura peut-être posé les bases d'un nouveau genre : le film prétexte à de grandes fresques de fêtes sans limites. Spring Breakers suit ce shéma avec cependant le mérite de s'intéresser à un véritable phénomène culturel américain malheureusement bien vite oublié au profit d'une guérilla mafieuse d'un niais fort déplaisant et toujours masqué par de si nombreuses scènes d'exhibitions...
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 6 octobre 2013
    ce film est tout simplement une merde qu'on chie au toilette , si je pourrai mettre 0/20 meme -20/20 je l'aurai mis , pas de scénario , histoire bidon , VF j'ai jamais entendu cette merde auditif et spoiler: le moment ou alien meurt est encore pire que dans batman rises ou marion cotillard meurt
    faut pas exagérer , moi je m'attendait a de la fête et tous sa , et ben non je me retrouve avec de la merde au yeux .
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 30 septembre 2013
    Salut à tous !
    D’abord je tiens sincèrement à vous remercier car au moment où j’écris ces lignes, il y’a 164 fans confirmés sur le blog AJTPV, et, de plus en plus de lecteurs réguliers qui lisent mes lignes, et ça, c’est top-moumoute !
    Et en parlant de moumoute justement, aujourd’hui, j’ai décidé de donner un petit coup de pouce à ma page !
    Pour cela, il n’existe pas 36 solutions dans le milieu du marketing mais une seule, le SEXE !
    OUI, j’ai dit « SEXE » !
    Pas conséquent, et pour faire parler un peu plus de mon blog, on va parler de SEXE [oui le mot clé « SEXE » est l’un des plus tapés sur Google]
    Mais en plus de parler de SEXE, on va parler aussi de CULS, POILS, SEINS, FESSES et tout les autres trucs super cool que Steve Jobs n’a jamais inventés…
    A partir de maintenant, l’audience va GRANDIR, DURCIR, GROSSIR !

    Aujourd'hui, dans la rubrique "J'ai testé pour vous", j'ai testé pour vous: Spring breakers !

    Bah oui les amis, je sais c’est pas bien !
    Mais que voulez-vous, c’est bon le sexe quand même, non ? C’est bon pour le moral, bon pour la santé et comme le disait ce très grand philosophe t, de son prénom Franky ; « Alice, ça glisse, au pays des merveilles. Bravo Franky, je sens tes groseilles ».
    En effet, si l’homme était un fruit, il serait une banane et si la femme était un fruit aussi, elle serait une poire, un melon ou, une moule [hein ?].
    Et ça tombe bien car mon ex femme m’appelait « la frite ». J’ai jamais su pourquoi d’ailleurs mais elle me disait « avec toi c’est comme le McDo ; ça a l’air bon, c’est bien emballé mais y’a rien à manger. Et comme au fast-food, ça dure pas longtemps et on reste sur sa faim ! »
    Ah lala, les années bonheur avec elle… aujourd’hui elle est morte… électrocutée dans sa baignoire avec son sex-toy… pauvre sex-toy, obligé de subir toutes ces atrocités… en plus c’était un petit lapin rose.. vous savez comme dans la pub Duracell, avec de longues oreilles qui bougent indépendamment l’une de l’autre pour stimuler en même temps les NON MAIS OH ON SE CALME !

    Quoi ? la critique ? Oups… j’ai divagué quelque peu… en même temps, la fin de l’été, la fin des jolies filles légèrement vêtues et le retour des jeans larges et gros manteaux…
    La nostalgie s’est installée et comme les feuilles d’automne qui tombent sur le sol, ma libido d’homme me fait défaut…

    Alors ce film justement « Spring Breakers » ? Des jolies jeunes femmes en bikini tout le long de l’intrigue [au moins la production ne s’est pas ruinée en costumes], le soleil de Floride, la mer, la drogue, l’alcool… Bref tout pour plaire hein ? (bon ok presque tout)
    Quoi qu’il en soit, aux premiers abords, ce « Spring Breakers » semble surtout s’adresser à tous ces jeunes américains qui, pour fêter la fin de l’année scolaire et l’obtention de leur diplôme d’études secondaires (l’équivalent du BAC chez nous), s’en vont en vacances sur la côte Sud des États-Unis, ou la côte Est du Mexique. Là où tout semble permis.

    Si dans les années 80 on aurait dit « Sea, Sex and Sun », et que dans les années 90 c’était plutôt « Sex, Drogue et Rock&Roll »… Aujourd’hui c’est plutôt « Sex, Sex et euh…Sex »…
    Alors me direz-vous, pourquoi en faire tout un film alors qu’aujourd’hui on a tous un compte premium sur Youporn [Quoi ? vous n’avez pas le votre ?], pourquoi vouloir raconter les déboires de jeunes filles d’une intelligence physique si prononcée ?…

    En fait, « Spring Breakers » - et à ma grande surprise - c’est plus PROFOND que ça !
    Pour tout vous avouer, j’avais vraiment dans l’idée de vous faire partager ce film dans un but lucratif [une audience accrue de mon blog]. Mais… passées les 10 premières minutes du film, montrant des strings, des plages et des filles qui s’embrassent sur de la techno [en fait 2 minutes mais je me suis repassé la scène plusieurs fois], le film commence à se révéler vraiment intéressant.

    L’histoire est celle de quatre copines qui, las de leur vie, de leurs études et de leurs habitudes, décident de partir en vacances pour faire le fameux spring break.
    Le souci : elles sont jeunes et n’ont pas d’argent pour payer leur voyage.
    Sur un coup de tête (ou de seins), elles décident d’aller braquer un restaurant pour payer leurs billets. Le braquage se passe sans encombres et les quatre voleuses partent pour la Floride, où elles passent leurs vacances comme il se doit… Sauf que dans « Sex, Drogue et Rock&Roll » il y a « drogue »… Nos quatre héroïnes [« héroïnes>drogue>humour>rigolage] se font donc arrêter par la police et c’est un gangster encore plus malsain qui leur sauve les miches en payant leur caution en prison… mais pas sans quelques services en échange [et non pas « sévices »]…

    Le scénario n’est pas super original, certes, mais la mise en scène, elle, est extrêmement bonne comme Vanessa Hudgens.
    Pardon, comme Vanessa Hudgens donc, les couleurs des paysages, des costumes, des personnages sont magnifiées.
    Comme Séléna Gomez, la douceur des filles tranche radicalement avec la violence du film.
    Comme Rachel Korine, le rythme du film est aussi soutenu qu’un Wonderbra, mais aussi tendu qu’un string.
    Et comme Ashley Benson, le film pue le sexe facile mais en même temps, l’ambiance malsaine a vite tendance à refroidir la moindre quéquette enflammée !

    Vous l’aurez compris, l’argument « bonnasse » n’est en fait qu’un déguisement pour masquer une violence extrême dans ce film. La drogue, l’alcool, les règlements de compte, les guerres de gangs et les meurtres sont joliment habillés dans ces bikinis sexy, ces plages ensoleillées et ces voitures de courses, mais elle est bien là !

    Le film, de plus, est aussi parfaitement maquillé d’un design sonore magistral !
    La musique, d’abord, rythme parfaitement le film. Entre rap, techno ou dubstep pour les parties hardcores, mais à coté de ça, les thèmes représentant les filles sont doux, tristes et coupent radicalement le film en deux équipes. Celle de la douceur des jeunes femmes et celle de la violence des mecs.
    Les transitions scéniques de ces deux équipes sont ponctuées de bruitages particulièrement travaillés comme des coups de feux qui ont vite tendance à faire monter… la pression et ainsi tenir le spectateur durant les 90minutes du massacre !

    Que l’on soit bien clair, ce film n’est PAS tout public… Il est très violent et le choc de voir les princesses Disney que sont Séléna Gomez et Vanessa Hudgens changées aussi radicalement en criminelles met un coup.
    Mais les images de violences sont crues, directes, le film ne fait pas dans la dentelle Aubade et même si la fin laisse sur sa faim justement [un peu comme à la fin de cette soirée où vous aviez raté une occaz’ de pécho la petite Emilie et ses gros nichons], le film va franchement vous laisser un goût amer.

    Au final, regardez ce film si la violence gratuite, la misogynie et la jeunesse actuelle ne vous font pas peur. Regardez ce film si vous aimez les films basés sur une certaine esthétique, basés sur une beauté plus importante que celle qui remplit les soutiens gorge, basés sur une réalisation qui rendrait beau Franck Ribery.
    En conclusion, regardez ce film mais… faites attention car, parfois, même derrière un écran, le sexe peut laisser des traces…
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 30 septembre 2013
    Le nouveau Project X ? Pas du tout. Un Twilight déglingué, en plus sexy ? On en est loin. Et pourtant la promo du film a réussi un coup de force : celui d'attirer le public ado désireux de voir du nichon et à recaler les détracteurs de teen-movies. Quelle ne fut pas ma surprise lorsqu'un pote cinéphile m'explique qu'en réalité Spring Breakers se veut le portrait au vitriol d'une jeunesse en pleine illusion bercée par une société de l'American Dream. C'est donc avec grande curiosité que je me suis lancé au visionnage du dernier Korine, chef de file du ciné indépendant américain. D'abord, il y a le casting. James Franco frappe fort dans un rôle qui va à l'encontre de tout ce qu'on a pu voir de l'acteur, c'est un type vraiment talentueux. Quant aux actrices choisies en partie pour leur plastique de bombass, elles ne déméritent pas. Pour le coup, elles vont aussi à l'encontre de ce qu'elles ont pu faire chacune dans leur parcours, de quoi faire un pied de nez à Disney, tout en enrobant le film d'un écran de fumée genre "ouais Spring Breakers c'est trop cool!". Rien à dire sur les choix musicaux, ils correspondent bien à l'ambiance. Aussi l'esthétique du film est superbe ! Des plans et des couleurs à tomber par terre, un peu dans l'esprit de Drive avec les couleurs en plus. Enfin le plus important, l'histoire même du film. Une intrigue assez simple, pas de quoi halluciner. Mais le message en filigrane qui s’égrène au fil de la mise en scène est déterminante pour apprécier l’œuvre du réalisateur. Un message que je résumerais ainsi (parce que je l'ai compris comme ça) : en quoi le phénomène extrême et nouveau du Spring Break, phénomène délirant et sans précédent, permet à une jeunesse sous pression de lâcher prise ? En quoi pourrait-il devenir l'échappatoire, extrême et déconnant, mis au service de vraies personnalités déviantes ?
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 30 septembre 2013
    Je ne pouvais pas passer à coté d'une critique de ce film qui m'a joué un joli tour avec une bande annonce allez accrocheuse je dois l'avouer. Que dire de ce film si ce n'est que j'ai enfin trouvé l'un des pires films que j'ai pu voir dans ma vie. Une succession de scènes sans liant et sans aucun intérêt, des ralentis et des scènes identiques à répétition "Spring Breaaaaak...Spring Breaaaak". Harmony Korine film avec ses pieds et nous pond un film ou mêmes les plus indépendants et perchés d'entre eux auront du mal à lui trouver des circonstances atténuantes. En bref, le pire film que j'ai pu voir depuis 15 ans..au moins...
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 30 décembre 2013
    0/20 : Avec l’exécrable SPRING BREAKERS, le réalisateur Harmony Korine nous plonge dans la débilité et l’obscénité profondes. Pendant 1h32, nous nous sommes retenus d’appeler le Docteur Emmett de « Retour vers le Futur » pour que celui-ci nous concocte un moyen de pénétrer dans le film SPRING BREAKERS afin d’exterminer tout cette vermine qui déambule dans cette bouse cinématographique.
    Le film commence par une scène horripilante et écœurante, semblable à un clip musical diffusé par la chaine MTV où nous y voyons une multitude de jeunes gens pitoyables accumulant des gestes abjectes. Les filles se comportent comme de véritables salopes (excusez-nous de l’expression, mais il faut dire ce qui est) passant leur temps à exposer leur poitrine, leur arrière train et à sucer des glaces de manière provocante. Les hommes sont tout aussi lamentables, à faire couler de l’alcool sur les seins des filles ou à mettre des canettes de bière au niveau de leur pénis pour y verser le contenu dans les bouches des demoiselles (allongées sous leur entre-jambes). La plupart des jeunes réunis dans le Spring Break, ne se connaissent pas mais ont la fâcheuse habitude de se toucher sans aucune gène. Bienvenue au Spring Break, l’endroit idéal pour y rencontrer des spécimens d’une inintelligence exorbitante.
    Tous les personnages de ce film sont navrants : les quatre actrices principales sont pitoyables. Sorties des séries Disney, Vanessa Hudgens (Candy) et Selena Gomez (Faith) prennent ici leur revanche pour casser cette image lisse et proprette en interprétant deux pétasses qui vivent comme bon leur semble et se foutent de tout. Vanessa Hudgens (qui est une très mauvaise actrice), a l’air de prendre son pied à jouer la pouffiasse avec ces gestes provocateurs. Elle est tout simplement pathétique et agaçante, comme ses deux camarades nommées Brit et Cotty interprétées par Ashley Benson (la blonde) et Rachel Korine (la pouff’ aux cheveux rose qui est en réalité la femme du réalisateur). Ces quatre imbéciles braquent un McDonald non pas pour dénoncer la malbouffe, mais seulement pour emmerder les gens et leur voler un maximum d’argent afin de partir s’éclater au « Spring Break’ ». De plus, ces filles sont flattées par les propos grossiers et irrespectueux lancés par les garçons. En réagissant ainsi, ces petites garces immatures se salissent elles mêmes en tant que femme, se dévalorisent et maintiennent cette image de « femme objet » que les clips de rap ont souvent l’habitude de renvoyer. Sans oublier le talentueux James Franco, qui ici se ridiculise en incarnant Alien, LA caricature même du dealer « bling-bling » aux faibles neurones.
    Les dialogues du film sont catastrophiques et assassinent nos tympans par des « J’kiffe grave », des « Hey meuf’s », des « Yo’ », des « J’suis une grosse baltringue, sa race qui chie dessus », etc…
    Les scènes sont répugnantes par leur grossièreté poussée à l’extrême et ridicules par leur pauvreté scénaristique affolante :
    1) Cotty, entourée de plusieurs hommes (qui ont pour but de coucher avec elle), s’adresse à l’un d’entre eux : « non, tu ne l’auras pas ma chatte » en touchant ses seins.
    2) Candy, Brit et Alien sont nus et copulent ensemble dans la piscine. La caméra filme en détails et avec précision l’acte sexuel (gros plan sur les fesses et sur les parties intimes des acteurs) où nous y voyons Alien prendre par derrière Candy qui gémit dans les bras de sa copine Brit.
    3) Candy et Brit prennent des revolvers et commencent à traiter Alien de « petit enculé », en introduisant l’embout de ces armes dans la bouche d’Alien qui a l’air d’apprécier et de s’en amuser, puisque celui-ci continue à sucer lentement et longuement, ce qui le fait sourire. « Je vous adore les filles » dit-il.
    4) Alien est au piano, accompagné de Candy, Brit et Cotty,et chante avec elles le refrain de la chanson minable de Britney Spears « Everytime ». Nous devons donc nous coltiner la chanson dans son intégralité, accompagnée par des images au ralenti nous montrant ces trois gamines danser connement, cagoules rose sur la tête et armes à la main.
    5) Le malfrat (l’ancien ami d’Alien qui est à présent son ennemi) pénètre une femme en lui lançant : « ouais c’est bon ça bébé, c’est tout bon, ouais ça me plait ouais. C’est le rêve américain, j’suis en plein dedans. J’veux plus que ça s’arrête. J’kiffe tes seins, j’kiffe ton cul, j’kiffe ta chatte. P’tain bébé, c’est comme si tu m’jouais du piano sur ma queue.
    Comme si tu m’jouais du Mozart. » L’acte sexuel est montré sans aucune pudeur.
    Durant le visionnage, la haine et le dégoût nous envahissent face à ce foutoir dénué de sens et d’intérêt.
    Bête et abjecte, SPRING BREAKERS est une véritable daube. L’un des pires films de la décennie.

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    693 abonnés 2 746 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 avril 2014
    Beaucoup de personnes ne trouveront aucun aspect artistique dans ce long métrage qui pourrait effectivement paraître très débile, mais pourtant l'art est bien la, à travers certains plans, certains cadrages géniaux, certains jeux de lumière a la NWR, et même si le film, peut être par moment surfais, voir superficiel, on prend incontestablement une claque visuel et sonore! "Spring breakers" est excitant, paralysant, entraînant, vide, rythmé, saccadé, délirant, dérangeant, fatiguant, rebutant, critiquant, insubordonné, insolent, affligeant, hypnotisant... Nombreux sont les qualificatifs pour le décrire, mais quoi qu'il en soit "Spring breakers" reste toujours d'une certaine façon intéressant ; tout comme l'interprétation parfois mitigée de James Franco! Et se pourrait-il qu'à travers toute cette perversité et cette violence, surnage, parfois, une certaine poésie, une poésie naïve et touchante, se pourrait il qu'a travers certains plans, certains silences ( rares, trop rares ), Korine exprime quelque chose de plus profond?!
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