Spring Breakers c'est d'abord une BO d'enfer pour planter l'ambiance et c'est ensuite quatre filles qui veulent s'éclater mais qui vont déchanter au contact d'un dealer à la petite semaine....... Une critique d'une jeunesse insouciante qui se trouve entraînée sur des terrains glissants. C'est presque moral..... Les quatre anciennes Disney jouent très bien leurs partitions et elles ont bien le droit de faire autre chose et même ce qu'elles veulent, n'en déplaisent aux puritains et autres pisses froids......... Il y a des nichons et des culs dans des maillots de bains et alors ????? Faut pas ? Surtout qu'il ne se passe rien mais vraiment rien, aucune scène trash ou graveleuse..... Non le seul point négatif c'est que ce film est très apprécié par les critiques médias et là...... je ne l'apprécie pas du tout pour les mêmes raisons car pour moi un pays qui se critique et qui est capable de faire ce genre de film et bien c'est justement pour çà que je n'ai pas envie de l'enfoncer........ existe-il une spring break français ? ben non.......... chut faut pas critiquer......
Défoncé à l'illusion d'un monde meilleur, hors limite, truffé de meufs canons et d'angelots au pénis dressé, le cadre s'ébroue, sortant sa langue fourchue à la moindre occasion, léchant avec avidité les gouttes de jeunesse diluées au plaisir, Snake Fellation sur ta croupe petite, l'alcool et la drogue sont "Maitres des lieux", majeur hissé en direction du Chef suprême, camé jusqu'à l'âme et for ever, les bikinis se frottent à la paroi du gouffre, léchant les cloisons embrumées d'un cul en transe, RESPIRE. L'immortalité est bien le sujet principal du film, planquée sous sa cagoule alcoolisée, glissant sur les corps foncedés, d'un mouvement de hanches putassier la voilà hors de portée( + ) ( + ) . A toi d'te démerder, esquive les ralentis à coups d'nibards, aspire les lignes néons sans sourciller et pour finir, allonge-toi doucement contre le flan malade d'une fille rêveuse, dont les songes débordent sur ses lèvres sucrées.
QUAND ON EST JEUNE ET CON. Les poupées de Disney dans un long clip répétitif. Y'a du soleil et des nanas, de l'alcool et un défilé de maillot de bain, a part provoquer, quel est le but d'Harmony Korine?
Il s'agit d'un conte, d'un conte contemporain. Les petits chaperons rouge rencontre le grand méchant loup : Alien, alias James Franco magistral. Le film dénonce a l'aide d'images sucrées (ambiance fluo) ce grand relâchement codifié et fantasmé : le Spring Break. Soupape de sécurité d'une nation puritaine? Grand défouloir d'adolescents? Peu importe, le film nous berce avec justesse et intelligence jusqu'au final ou les victimes deviennent les bourreaux. C'est esthétique, mon meilleur film depuis longtemps.
Dans ce dégueulis d’images fluo insipides, saupoudré de plans de culs et de nichons à saturation, la quête d’identité de ces cons d’ados ne décolle jamais, prend une tournure faussement trash, pour finir dans une dernière scène proprement ridicule. Critique complète :
Le film commence comme un teen movie sur de jeunes nymphettes qui vont s'éclater en Floride durant le Spring Break sauf que déjà, 1er élément pas banal, pour pouvoir partir, elles ont dues braquer un petit fast-food et financer le voyage avec la recette du jour de ce dernier. Sur place, rien de bien original avec en fond sonore du Skrillex et bien sûr de la débauche. Pas la débauche sordide ou encore drôle, non, la vraie. La trash et no limit qui caractérise cette nouvelle jeunesse US. Ça vire en suite au pur polar suite à un petit nid de poule du scénario qui gâche un peu la sortie des filles et après, on est dans un film à la limite de l'expérimental, qui recycle pas mal de tics agaçants du ciné indé US avec un J. Franco méconnaissable mais qui évite le piège du sur-jeu. Les actrices sont géniales de bout en bout, le fait que certaines soient d'anciennes égéries Disney rajoutant un supplément d'ironie mais c'est avant tout au service du propos du film qui montre l'envers d'un décor vraiment crade et pour le coup vraiment sordide. La lumière de B. Debie est l'autre gros point fort du film, sa maîtrise sans égale de l'éclairage au néon faisant péter l'écran de mille couleurs. C'est beau et tragique, même si le final vire un peu au ridicule pas franchement crédible ni très bien filmé. Une vraie découverte par contre.
Ce film a du sacrément décevoir tous ceux qui s'attendaient à une énième comédie vulgaire et décérébrée sur le fameux spring break américain. Au lieu d'un comique lourd et putassier, il préfère se coltiner avec une réalité radicalement différente de l'image qu'on nous offre habituellement de celui-ci. Au fur et à mesure de leur progression, les aventures de ces jeunes filles qui voulaient juste "mettre la vie sur pause" font rimer fun, sexe et défonce avec désillusions, et le film vire au glauque lorsque survient la figure du caïd Alien, interprété par un James Franco méconnaissable et génial, tout aussi flippant qu'hilarant. Malgré la surabondance de couleurs fluo, la virée s'assombrit considérablement, évoquant parfois du Sofia Coppola trash. Dommage toutefois que cette descente aux enfers soit un peu trop démonstrative, et s'enlise dans une imagerie trop arty. D'autant plus que de ce bad trip en compagnie de tueurs, de dealers et de putes émerge un sentiment ambigu: Harmony Korine éprouve-t-il finalement pour tout cela une sorte de fascination, ou de la révulsion?
Les toutes première images nous montrent déjà très bien l'esprit de ce film : Pognon, femme sexy, sexe, drogue, alcool, dépendance, vol.. fin bref, j'ai quand même tenter de le regarder mais j'ai abandonner au bout de 50 min. Pourtant le réalisateur a voulu nous montrer un beau message a travers ce film, mais il s'en est tellement mal pris, qu'on est obligé de chercher ce qu'il a voulu nous montrer. Au final un film très décevant et très très long : Les scènes choquante sont montrer bcp trop longtemps et ça traîne en longueur pour rien.
Un film tout droit venu des Etats-Unis! Drogue, Alcool, Sexe, Police, tout y passe, et au final, ça ne donne pas grands chose. De bons acteurs pas mis en valeur.
Spring Breakers est un mélange assez étonnant. En ne s’intéressant qu'au titre, on peut penser qu'un s'agit d'un énième teen movie qui ne parlera que de fête. Certes il y a de cela mais, à travers le parcours de ces quatre filles, Harmony Korine propose aussi une réflexion sociétale tout en alliant une ambiance planante. James Franco très bon dans son rôle de dealer.