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Un visiteur
1,5
Publiée le 13 décembre 2014
Vol 7500 : aller sans retour flirtait bon le film d’horreur à la japonaise avec un esprit tueur dans un avion, le tout réalisé par Takashi Shimizu à l’origine des excellent The Grudge 1 et 2 version original et des moyens remakes américains.
Tous les ingrédients étaient présents pour faire un film d’horreur efficace et intéressant. Mais malheureusement, on comprend assez vite que le film est limité. Pourtant avec sa bande annonce alléchante, on s’attend à un vrai film d’épouvante-horreur, et l’on se retrouve avec un téléfilm qui ne fait pas peur, et dont les ficelles sont usées depuis bien longtemps. Un énième film qui ressemble à Reeker, et on le sent bien avant la fin car on comprend vite l’absence d’apparition spectrale. La fin est également bâclée, pour ceux qui décrochent avant la fin, ils ne comprendront pas forcément le final, et ceux qui ont suivis se poseront la question du choix de cette fin. Loin est l’époque où Takashi Shimizu nous faisait trembler dans le noir…
L'avantage du film, c'est qu'il dure même pas 1h30, donc le spectateur arrive à garder une certaine attention. Car si l'idée est somme toute intéressante (bien que le huis clos dans l'avion est un peu à la mode), la mise en scène est plus que laborieuse. On part déjà dans un profond ennui qui va durer bien trop longtemps, et les quelques soubresauts feront vite pshit. Il ne se passe rien pour booster le palpitant, et nous sommes obligés de supporter un casting de téléfilm moyen qui est, en plus de cela, au service de personnages déconcertants. L'épreuve propose pourtant une facilité à entrer dans une sphère psycho-sociale qui peut être intéressante, mais non... Et on va d'incohérence en incohérence, toujours sans rien pour nous exciter vraiment. Pour aboutir sur une fin mal fagotée... Une sorte de téléfilm à voir comme tel, sans trop attendre ni exiger.
Takashi Shimizu, avait démarré une carrière prometteuse avec un téléfilm des plus efficace (Ju-on, une histoire de maison hantée) avant de se perdre dans des remake japonais et américain tous plus inutiles les uns que les autres... Avec ce film d'horreur d'ambiance dans un avion, il y avait de quoi se réjouir, tant le monsieur avait montré son savoir faire efficace dans le genre huit-clos angoissant. La déception arrive très vite. La réalisation est neutre et ne tire jamais partie des lieux et le scénario, au lieu de jouer à fond le film catastrophe avant d'opérer un virage vers l'horreur, se contente du stricte minimum, à savoir une enquête pour trouver un tueur potentiel dans l'avion. Au final on dirait un épisode de série télé, mais un mauvais cette fois ! La boucle est bouclée...
Le film se décompose comme une équation : il faut une moitié pour qu'il se passe quelque chose, encore un quart pour arriver dans une pseudo situation apocalyptique, et finalement un dernier quart pour faire comprendre le pourquoi du comment... Ca laisse pas beaucoup de temps pour s'endormir tout ça, et pourtant on y arrive très bien, comme quoi les maths...
Le scénario s’annonçait plutôt intéressant, un esprit surnaturel dans un avion... Le début n'était pas mal puis le film devient subitement incohérent. Sans parler de la fin qui s'est terminée en un véritable fiasco.
Takashi Shimizu (The Grudge ) ne propose pas ici son meilleur film. Malgré un petit côté "Stephen King" le scénario regorge de passages moins crédibles les uns que les autres, dommage car l'idée de départ n'est pas mauvaise, pour ce qui est des comédiens là non plus ce n'est pas de la haute voltige, heureusement cette réalisation ne dure qu'environ 90 minutes ce qui permet au spectateur (pas trop exigeant) de ne pas sombrer dans l'ennui total.
Sur la base du huis-clos aérien, le réalisateur de "The Grudge", Takashi Shimizu, signe là une œuvre plutôt fantasque. Si ce n'est pas le film d'horreur-frisson de l'année (les jump-scare manquent un peu de "pep";spoiler: je les ai trouvés un peu "sabotés" par des effets sonores plutôt "plats" et une mise en scène peut-être un tantinet rabotée et quelques scènes un peu décalées voire loufoques (Miss "test de grossesse" qui se retrouve systématiquement enfermée dans les toilettes...) , j'ai trouvé la critique en général plutôt sévère, car pour moi, la trame est vraiment prenante, ceci agrémenté de passagers aux personnalités tant diversifiées que stéréotypées. Ca va crescendo dès le début, et au fil de l'histoire.... Bref, j'ai accroché, et la fin ne m'a pas déçue !
Vol 7500 : aller sans retour est une petite déception dont on était en droit d’attendre beaucoup plus étant donné les attentes qu’il y avait derrière le tout nouveau film de Takashi Shimizu. Il y a de bonnes idées mais cela part à un moment un peu trop dans tous les sens et le film finit par devenir illisible. La mise en scène est quant à elle un peu trop plate à mon goût alors que justement il aurait été judicieux de se servir de tout cet univers et du côté huis clos pour faire quelque chose d’un peu plus surprenant et d’un peu moins soupe au lait. Cependant sa courte durée permettra au spectateur de ne pas trop souffrir de l’ennui qui aurait clairement pu nous faire passer un mauvais moment.
Des fantômes dans l'avion !!! Que c'est mauvais... Il est loin le Shimizu de "Ju-on" ou même de son remake "The Grudge", Vol 7500 est un (télé)film complètement raté qui met 45 min (sur une durée totale de 1h15, générique compris !) à nous présenter une galerie de personnages tous aussi caricaturaux les uns que les autres (l'hôtesse qui sort avec un pilote marié, du jamais vu, haha) avant de démarrer un semblant d'intrigue autour d'un twist final risible (déjà utilisé de meilleure manière à maintes reprises et devinable au bout de 5 minutes) émaillé de quelques apparitions fantomatiques qui ne font plus peur à personne depuis les années 90. Seule consolation un casting de têtes connues assez hallucinant : Ryan Kwanten (le grand dadais de "True Blood"), Jerry Ferrara ("Entourage"), Amy Smart ("Justified"), Scout Taylor-Campton (les "Halloween" de Zombie), Leslie Bibb ou la sublime Jamie Chung... Mais qu'est-ce qui a bien pu les attirer dans cette galère ? C'est le seul mystère de ce vol 7500...
L'idée était bonne et la fin surprenante (mêmes si l'on finit par s'en douter). Toutefois, pourquoi nous faire croire pendant tout le film que spoiler: le passager qui meurt dans l'avion est celui qui tue les autres passagers? Je n'ai pas compris. Finalement, il n'a pas vraiment de rapport avec ce qui se passe. La fin arrive brusquement alors que je commençais seulement à trouver ça intéressant. En clair, il s'est passé le meilleur dans les 20 dernières minutes même s'il n ya pas eu clairement d'explications.
Des passagers embarquent à bord d'un vol pour Tokyo. Une période de turbulences plus tard et un homme mort nous plongent dans une intrigue qui n'en dit pas assez pour nous captiver. Le twist final est surprenant sans être totalement imprévisible. Plusieurs questions restent en suspend mais Vol 7500 ne restera pas dans les mémoires assez longtemps pour entamer un semblant d'analyse.