Knight of Cups
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128 critiques spectateurs

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anonyme
Un visiteur
1,0
Publiée le 28 novembre 2015
Et bien avec Knight of cups on touche fond !!!
J'avoue avoir eu du mal pour "The tree of life" mais là....
C'est simple il n'y a pas de scénario, c'est d'une lenteur.
Je recommande si.....vous voulez faire la sieste au ciné.
Bref un film tout pourrit !!!
selenie
selenie

6 597 abonnés 6 278 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 26 novembre 2015
Le titre fait référence à une carte du tarot (le chevalier de coupe) qui signifie changement amoureux qui montre toute l'ambiguité du personnage principal de Rick, interprété avec charisme et sobriété par Christian Bale. Un vrai défilé de mode, comme une continuation de sa vie inepte et superficielle. Malick impressionne toujours par sa maitrise, son envie, la beauté de ses images, mais il se laisse sans doute parfois trop allé pour frôler de temps à autre la gratuité pompeuse du superflu. Néanmoins ça reste un film d'une poésie évidente qu'il faut prendre le temps de savourer.
anonyme
Un visiteur
2,0
Publiée le 26 novembre 2015
Difficile de définir Knight of Cups, tant le film sort des sentiers battus. Terrence Malick gâte nos sens (certaines scènes sont sublimes !) au détriment du schéma narratif, quasi inexistant. Pas ou peu de dialogues, mais une voix off, celle du personnage principal joué par Christian Bale. De chapitre en chapitre, il nous livre ses états d'âme et ses incertitudes. Très beau, mais abscons, et finalement ennuyeux ... Dommage.
Jonathan N.
Jonathan N.

14 abonnés 6 critiques Suivre son activité

0,5
Publiée le 26 novembre 2015
L'un des films les plus naze que j'ai jamais vu. Une longue, très longue, trop longue torture qui dure deux heures.
Un film vide, sans réel histoire, rien.. même pas de dialogues.. Ennuyeux à mourir. De la masturbation de cerveau pour bobos pseudo-intellectuels
En me forçant énormément, je n'ai pu voir qu'une heure du film avant de partir de la salle avec mon ami et déranger tout le rang tellement c'était insupportable à suivre.
À éviter de toute urgence!
poet75
poet75

282 abonnés 703 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 26 novembre 2015
« Je suis un étranger sur la terre ; ne me cache pas tes volontés »
Cette citation trouvée dans le psautier (118 ; 19) pourrait fort bien être mise en exergue de ce film de Terrence Malick. A nouveau, après les sublimes «The Tree of Life » et « A la Merveille », le réalisateur américain à la légendaire discrétion nous offre un de ces films-poèmes dont il s'est fait une spécialité. A nouveau également, nous avons droit à un film frisant avec l'excellence, même si, à nouveau, il paraîtra abscons à certains spectateurs et insupportable de prétention à d'autres.
Pour ce qui me concerne, pas la moindre réserve : ce nouveau film de ce qu'on peut désigner comme une trilogie m'a fasciné autant que les deux films précédents. Qu'un cinéaste nous propose autre chose qu'une œuvre classiquement narrative n'est certes pas pour me déplaire. Et qu'un film, ou plutôt que trois films se présentent à nous comme des poèmes à la fois visuels et sonores me ravit. D'autant plus que ces films sont constamment la manifestation du talent et de l'intelligence.
Il me semble d'ailleurs que l'hermétisme tout relatif de la trilogie malickienne s'éclaire à l'occasion de ce film qui, dès son ouverture, donne des clés qui ouvrent à une meilleure perception ou compréhension des trois œuvres. Le psaume que j'ai cité correspond à la première des clés : celle du pèlerin. Le mot revient fréquemment dans « Knight of Cups », ouvrant un champ de signification qui s'accorde parfaitement avec nombre de textes bibliques : nous sommes des pèlerins sur la terre.
La deuxième clé, le deuxième mot qui se fait souvent entendre au cours du film, c'est le mot « perle ». Le réalisateur le dévoile dès l'ouverture du film en contant une parabole, celle d'un prince envoyé par le roi, son père, sur une terre inconnue pour y trouver une perle de grand prix. Arrivé au pays de sa quête, le prince entre en songe et ne se souvient ni d'où il vient ni ce pourquoi il est là. C'est en somme l'inverse de ce qui est raconté dans l'évangile de St Matthieu : au lieu de trouver la perle et de l'acheter, le prince oublie jusqu'à l'objet même de sa recherche.
Le personnage joué par Christian Bale dans « Knight of Cups » se dévoile néanmoins, assez souvent, comme un être pensif qui semble percevoir qu'il n'est pas là par hasard et que sa vie n'est pas qu'un simple jeu de loterie. On perçoit nettement que c'est un homme en quête, mais en quête de ce qu'il ne sait peut-être pas clairement nommer. Pris dans un univers de faux-semblants, errant de Los Angeles à Las Vegas, incapable de se lier vraiment aux femmes qu'il fréquente, il ne parvient qu'à vivre des « expériences d'amour » mais pas à aimer en vérité. Même si c'est St Augustin qui est cité au cours du film et non l'auteur des « Pensées », le film s'imprègne, me semble-t-il, par moments, d'un ton pascalien. Beaucoup de ceux et celles qu'on voit évoluer dans « Knight of Cups » ne songent qu'à se divertir afin de mieux oublier qui ils sont, ce qu'ils font sur la Terre et ce à quoi ils sont destinés.
Le personnage joué par Christian Bale, lui, comme d'autres personnages évoluant dans les deux films précédents du cinéaste, se débat dans sa nuit mystique. Le qualificatif peut sembler incongru, mais il l'est d'autant moins que les films de Terrence Malick s'inscrivent délibérément dans le cadre d'une quête au sens religieux du mot. On oublie d'ailleurs trop facilement que le mot « mystique » ne s'accorde pas uniquement à « extase » mais aussi à « nuit ». Les mystiques sont peut-être d'abord et avant tout des poètes de la nuit. Et l'on peut sans trop d'audace affirmer que Malick, dans ses trois derniers films, se fait poète de cette nuit-là. Ses personnages en errance, blessés intérieurement, évoluant au gré de leur mémoire, ne perçoivent rien de plus que des bribes de ce qu'au fond d'eux-mêmes ils cherchent tous : l'amour, la compassion, la joie.
La perle recherchée est pourtant là, visible, apparaissant aux yeux des protagonistes qui semblent comme empêchés de la voir. Dans « A la Merveille », elle se dévoilait quand le personnage du prêtre joué par Javier Bardem visitait des prisonniers ou se dévouait pour les pauvres de sa paroisse. Ici, dans « Knight of Cups », elle apparaît de même, mais fugacement, quand le réalisateur nous montre une infirmière soignant des malades aux membres hideusement atteints. Oui, la perle est là, toute proche, mais le monde est tel et les êtres qui s'y trouvent sont si perdus qu'ils ont du mal à la désigner (s'ils ne passent pas leur vie entière sans même se douter qu'elle existe).
Il y a tout cela, et bien plus que cela, dans ce nouveau poème filmé de Terrence Malick. Un ravissement pour l'esprit, un enchantement pour les yeux et pour les oreilles, tant le réalisateur soigne chacun de ses plans et chaque élément de sa bande-son. Dans « Knight of Cups », les images sont peut-être moins immédiatement séduisantes que dans les deux films précédents, car la caméra évolue essentiellement en milieu urbain, mais elles sont extrêmement soignées, comme l'est le montage du film. Le cinéaste-poète Terrence Malick a fait merveille une fois encore. 9/10
anonyme
Un visiteur
1,0
Publiée le 26 novembre 2015
Alors c'est l'histoire de... Enfin,ca parle de ... Donc ya un mec qui... Bon,c'est un film d'auteur quoi ! Belles images certes,certainement très bien filmé,mais difficile de comprendre où veut nous emmener son réalisateur. Perso, je n'ai pas du tout été emportée,du moins,ailleurs que dans un semi sommeil :-/
colombe P.
colombe P.

135 abonnés 695 critiques Suivre son activité

0,5
Publiée le 26 novembre 2015
Quel intérêt à cette histoire vraiment ?
On suit un scénariste très pénible dans le monde vide et superficiel de Hollywood.
Film très ennuyeux et à éviter.
anonyme
Un visiteur
0,5
Publiée le 26 novembre 2015
Superbe boursouflure, creuse et vide sur le sens de la vie ! Sous couvert, encore, d'une vision catho et bien pensante, on nous fait croire que la vie est ailleurs, mais avec des millions de dollars, c'est tellement facile ! Film ultra conservateur, matérialiste et qui n'apporte absolument rien ! Long clip, sophistiqué et moche ! So long Monsieur Malick !
anonyme
Un visiteur
4,0
Publiée le 26 novembre 2015
Terrence Malick, le réalisateur, possède ce style très particulier, si propre à lui-même, souvent incompris par le grand public.
Il est un de ces artistes que, soit on saisi son œuvre et on adore, soit on ne comprend pas le sens de ses films, pendant lesquels on s'ennuie. Bref, si vous faîtes partie de la deuxième catégorie, optez pour autre chose et arrêtez cette lecture.
"Knight of Cups" est un film hypnotique, éblouissant, aux questionnements existentiels. C'est une bouffée d'air et un étouffement, c'est lumineux et sombre à la fois. Le casting est un casting d'élite. Un choc visuel, hermétique et sublime.
RedArrow
RedArrow

1 713 abonnés 1 556 critiques Suivre son activité

2,0
Publiée le 26 novembre 2015
"Je sais comment tu me regardes... Tu crois que je vais te rendre dingue" murmure le personnage d'Imogen Poots.
Cette réplique pourrait être celle que "Knight of Cups" adresse au spectateur pendant près de deux heures.

Ben ouais, les gens, bienvenue dans la crise existentielle de Rick (Christian Bale), scénariste dévoré par le monde superficiel hollywoodien, qui se résume à un déferlement d'images (souvent sublimes) où celui-ci, pour pallier au vide de sa petite vie remplie de clichés, marche dans le désert, trempe ses pieds dans la mer, lance des regards profonds sur des balcons et couche avec tout ce qui bouge (Imogen Poots, Freida Pinto, Teresa Palmer, Natalie Portman et Isabel Lucas, sacré palmarès, chapeau, mon gars !).
Tout ça sur fond de voix-off de personnages qui s'interrogent sur le sens de leur vie avec des "Pourquoi ?" et "Où tout ça nous mène ?" quitte à déclencher une tripotée de fous rires nerveux.
En ce sens, Malick a trouvé son narrateur parfait avec Christian Bale, le seul type capable de susurrer un "Qui sommes-nous ?" comme si ses enfants venaient d'être dévorés par une meute de chats sauvages, il est doué, le garçon.

Une complainte de la condition humaine qui ne repose que sur du vide - même une Sofia Coppola dépressive n'aurait pu être aussi caricaturale sur la vie du microcosme hollywoodien - et qui tourne une fois de plus à l'exercice purement formel où Malick arrive invariablement à nous scotcher à l'écran en dénichant de la poésie dans un arbuste (si !), un chien incapable d'attraper une balle (si, si !) ou le temps d'une superbe séquence où la caméra épouse Freida Pinto telle une œuvre d'art.

La subjugation par le néant, en somme.
Il est fort, ce Terrence, mais la prochaine fois, on se contentera de la bande-annonce, ça sera amplement suffisant.
anonyme
Un visiteur
1,5
Publiée le 26 novembre 2015
Malick retombe dans les excès déjà aperçu dans À la merveille; Trop d'image virevoltantes, de narration extérieur et de personnages qui déambulent et se demandent ce qu'ils doivent faire ! Dommage, car le propos est là, seul le rendu n'est pas présent, et c'est bien ce que c'est faire Malick, sublimer son propos !!!!
axelle J.
axelle J.

123 abonnés 501 critiques Suivre son activité

0,5
Publiée le 26 novembre 2015
Un film complètement prétentieux, superficiel, détestable et sans aucun intérêt.
Je n'ai pas du tout apprécié.
A fuir vraiment.
jeffandco
jeffandco

2 abonnés 94 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 9 avril 2016
Terrence Malik devient à chacun de ses films de plus en plus un poète de la pellicule numérique. Il s'agit pour moi d'un orgasme visuel qui joue sur nos émotions notre sens premier pour aller au cinéma : la vue. Les images sont sublimes, d'un onirisme envoûtant. Christian Bale joue le jeu de cet homme en quête de lui-même et nous emporte dans cette succession de scènes, flash back sur la vie, sur ce qui fait qu'un Homme à un moment de son existence revient sur son histoire et ce qu'il a accompli. On aime, on aime pas mais on ne peut être indifférent à ce cinéma de Malik qui cultive la beauté et s'attache aux petites choses de la vie qui en font sa grandeur. Du très grand 7ème art. Amateur de Expandables passez votre chemin...
Le film d'Ariane
Le film d'Ariane

81 abonnés 179 critiques Suivre son activité

2,0
Publiée le 7 décembre 2015
J'ai adoré tous les films de Malick jusqu'au "Nouveau monde" et je considère même "The thin red line" comme l'un des dix plus beaux films de ma vie. "Tree of life" m'avait subjuguée dans sa partie familiale mais rendu dubitative dans son chapitre métaphysique. "À la merveille" m'avait laissée au bord et celui-là me déçoit aussi. Le scénario de ce dernier opus est à peu près irracontable. On y voit un scénariste hollywoodien traîner sa silhouette fatiguée de fêtes orgiaques en soirées décadentes, enchaîner des relations vaines et compliquées avec des femmes plus canons les unes que les autres dans des villas luxueuses et s'interroger sur le sens à donner à sa vie. Les voix off se mélangent, on ne sait plus trop qui s'exprime ni qui répond à qui… On devine une famille dysfonctionnelle, un frère disparu, un autre visiblement traumatisé, un deuil mal digéré … Les dialogues sont quasi inexistants, on en perçoit parfois quelques bribes selon une logique que je n'ai pas comprise. Alors bien sûr, comme à chaque fois chez Malick, les images sublimes succèdent aux plans somptueux. Les cadres sont hyper travaillés sans donner l'impression de l'être et les comédiens filmés comme des œuvres d'art. Christian Bale, Cate Blanchett et Natalie Portman sont magnifiques et ont d'ailleurs déjà signé pour le prochain film du maître. Bercée par la musique omniprésente, j'ai regardé ces tableaux mouvants en laissant mes pensées divaguer tout en espérant très fort que les prochains films de ce réalisateur hors-norme retrouveront vite plus de consistance.
#knightofcups #terrencemalick #christianbale
ocelot
ocelot

27 abonnés 927 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 27 octobre 2015
Terrence Malik nous sert encore une fois un chef-d’œuvre admirable : acteurs et actrices époustouflants, images magnifiques, cadrages à la Malick et une histoire qui nous touche, nous fait poser les mêmes questions que le protagoniste, parfois. A voir !
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