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Votre avis sur Knight of Cups ?
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Jamais deux sans trois. En 2011, le réalisateur le plus mystérieux de sa génération accouchait d'une pensée métaphysique au cinéma avec l'inoubliable Tree of Life. Deux ans plus tard, Terrence Malik poursuit sa réflexion avec le décevant A la merveille. Aujourd'hui, le cinéaste constitue une trilogie existentialiste en concevant Knight of Cups, nouveau récit hybride scellant la pensée d'un auteur en quête du « moi ».
Cela commence par un tremblement de terre. Christian Bale, interprétant un scénariste à Hollywood, est réveillé par cette force quasi mystique. Cet instant signifie pour lui une transition radicale, une sorte de renaissance. Adieu, les innombrables fêtes pleines de vices à la beauté superficielle. Bonjour, l'errance et la remise en question d'un être plongé dans des conflits intérieurs douloureux. Le « Dark Knight » n'est pas si éloigné de ce « Knight of Cups ». Sombre et dévastée, l'interprétation de Bale nous permet de cerner son caractère en déséquilibre constant. Devant la caméra aérienne et révélatrice de Malick, l'anglais paraît seul au monde, esseulé dans une foule dont il est attiré mais à laquelle il ne souhaite plus prendre part. C'est à la fois chiant et captivant.
L’œuvre de Malick est divisée en chapitres distincts, mais identiques. « Le pendu », « la mort », « la liberté » sont autant de parties qui s’enchaînent sans que l'on comprenne leurs raisonnements. On connaît les intentions de l'auteur : laisser le spectateur être un membre actif de son film en lui laissant développer sa propre méditation. Cependant, ces clés données au public ouvrent des portes obscures et distanciées de notre rapport au monde. On se retrouve face à une contemplation existentialiste répétitive et uniforme qui semble nous montrer toujours la même chose : la perdition d'un être en proie à ses propres doutes. Comme l'étaient ses deux travaux précédents. C'est à la fois beau et absurde.
Cela commence par un tremblement de terre. Christian Bale, interprétant un scénariste à Hollywood, est réveillé par cette force quasi mystique. Cet instant signifie pour lui une transition radicale, une sorte de renaissance. Adieu, les innombrables fêtes pleines de vices à la beauté superficielle. Bonjour, l'errance et la remise en question d'un être plongé dans des conflits intérieurs douloureux. Le « Dark Knight » n'est pas si éloigné de ce « Knight of Cups ». Sombre et dévastée, l'interprétation de Bale nous permet de cerner son caractère en déséquilibre constant. Devant la caméra aérienne et révélatrice de Malick, l'anglais paraît seul au monde, esseulé dans une foule dont il est attiré mais à laquelle il ne souhaite plus prendre part. C'est à la fois chiant et captivant.
L’œuvre de Malick est divisée en chapitres distincts, mais identiques. « Le pendu », « la mort », « la liberté » sont autant de parties qui s’enchaînent sans que l'on comprenne leurs raisonnements. On connaît les intentions de l'auteur : laisser le spectateur être un membre actif de son film en lui laissant développer sa propre méditation. Cependant, ces clés données au public ouvrent des portes obscures et distanciées de notre rapport au monde. On se retrouve face à une contemplation existentialiste répétitive et uniforme qui semble nous montrer toujours la même chose : la perdition d'un être en proie à ses propres doutes. Comme l'étaient ses deux travaux précédents. C'est à la fois beau et absurde.
Thibault F.
Mon premier Terrence Malick (défense de se moquer !), première incursion dans le monde de ce cinéaste hors du commun (peu de films à son actif sur 40 ans de carrière, des histoires déconstruites autour de la question entre foi, humain et nature...). Dans cette critique, il sera question de Knight of Cups, dernier film du maître. Cette œuvre est très difficile à résumer scénaristiquement contrairement à son visuel détonnant, hors norme où on retrouve très facilement la patte artistique du réalisateur (cette caméra fantôme qui suit les errances de nos personnages). En parlant d'errance, Christian Bale est magnifique dans cette démarche monolithique, sans l'ombre de sentiments à la limite d'un état cadavérique. Quelques clins d'œil à Banderas (très bon) et Portman auquel je n'ai jamais aimé son jeu d'acteurs. Malheureusement, le film souffre d'un récit décousu malgré cette volonté du réalisateur de nous conduire vers un objectif précis, quelques longueurs (vraiment insupportables par moment) et aucun véritable moment qui marque la rétine du spectateur. J'ose espérer que Knight of Cups est mineur dans la filmographie de Malick.
"Knight of Cups" est le film le plus trivial mais aussi le plus onirique de Terrence Malick.
Déambulant dans un Los Angeles cauchemardesque, surpeuplé et décadent, Christian Bale offre une performance mutique, et Malick le filme comme un pantin trimbalé de droite à gauche par la vie.
De lieu en lieu, de carte en carte, de femme en femme, on égraine souvenirs et sensations comme autant de micro-vignettes filmées.
On s'ennuie, parfois; car le héros s'ennuie lui-même.
Plus rien ne semble avoir de prise sur lui, ni la beauté des femmes, ni le luxe, ni la luxure, si ce n'est une Nature toujours plus sauvage et écrasante, contrastant avec les bassesses humaines.
On ressent parfois la présence de Lynch ("Mullholand Drive", "Inland Empire") Cronenberg ("Maps to the stars"), ou Noé ("Enter the void" ou "Love"), mais en poursuivant sa mise en pièce, sa déconstruction du montage - commencée avec "The Tree Of Life" et "A la merveille" - Malick est en quête d'un processus de cinéma unique et personnel.
Il n'y a plus de scénario, il n'y a plus de dialogues, il n'y a presque plus d'acteurs (et pourtant Christian Bale, Cate Blanchett, Natalie Portman sont bien "là").
Ne restent que des bribes d'images, d'une folle beauté, les plus modernes de la filmographie de Malick - qui n'hésite pas à changer de format, de définition au gré de ses envies.
On se figure un grand enfant qui s'amuserait avec une caméra, par jeu, avec une envie intacte de croquer le monde.
Mais cet enfant côtoie un vieux sage, délivrant un message subliminal, incompris; à l'Humanité.
Avec "Knight of Cups",Terrence Malick touche à la quintessence en même temps qu'au vide, en filmant à hauteur d'homme.
Et de Dieu.
Déambulant dans un Los Angeles cauchemardesque, surpeuplé et décadent, Christian Bale offre une performance mutique, et Malick le filme comme un pantin trimbalé de droite à gauche par la vie.
De lieu en lieu, de carte en carte, de femme en femme, on égraine souvenirs et sensations comme autant de micro-vignettes filmées.
On s'ennuie, parfois; car le héros s'ennuie lui-même.
Plus rien ne semble avoir de prise sur lui, ni la beauté des femmes, ni le luxe, ni la luxure, si ce n'est une Nature toujours plus sauvage et écrasante, contrastant avec les bassesses humaines.
On ressent parfois la présence de Lynch ("Mullholand Drive", "Inland Empire") Cronenberg ("Maps to the stars"), ou Noé ("Enter the void" ou "Love"), mais en poursuivant sa mise en pièce, sa déconstruction du montage - commencée avec "The Tree Of Life" et "A la merveille" - Malick est en quête d'un processus de cinéma unique et personnel.
Il n'y a plus de scénario, il n'y a plus de dialogues, il n'y a presque plus d'acteurs (et pourtant Christian Bale, Cate Blanchett, Natalie Portman sont bien "là").
Ne restent que des bribes d'images, d'une folle beauté, les plus modernes de la filmographie de Malick - qui n'hésite pas à changer de format, de définition au gré de ses envies.
On se figure un grand enfant qui s'amuserait avec une caméra, par jeu, avec une envie intacte de croquer le monde.
Mais cet enfant côtoie un vieux sage, délivrant un message subliminal, incompris; à l'Humanité.
Avec "Knight of Cups",Terrence Malick touche à la quintessence en même temps qu'au vide, en filmant à hauteur d'homme.
Et de Dieu.
Whaou !! Ce film est beau.... mais qu'est-ce qu'il est chiant !! Mon dieu c'est terrible !! Heureusement que je l'ai pas vu au cinéma ! Holàlà !! L'ennui profond !!! Bon déjà, à la base, je suis pas un gros fan de la filmographie de Terrence Malick. J'ai jamais été vraiment emballé par ses films, à part "La Ligne Rouge" que j'avais trouvé très bien, mais là, c'est pas possible, je dirais même que c'est le moins bon de sa filmographie. Après, "Knight Of Cups" n'est pas un énorme navet, mais quand même, c'est mauvais film dramatique vide et beaucoup trop lent. Le scénario du film peut être intéressant, mais il est complètement massacré par le rythme du film qui est affreusement lent et qui s'attarde trop sur des détails dont on se fout mais monumentalement. Le film dure presque deux heures, j'avais l'impression que ça durait une demi-heure de plus. Surtout que plus le film avance, plus ça part dans tous les sens, et résultat, non seulement on s'ennuie, mais en plus on se perd dans l'histoire. Malgré le fait qu'il y ait un bon arc narratif, y'a aucun rebondissement prenant et aucun suspens. Au niveau de la réa, on reconnait quand même le style de Terrence Malick, mais même la réa peut être assez confuse. C'est très beau visuellement, ok, mais ça suffit pas pour donner au film un propos de fond. Au niveau des acteurs, c'est un peu la galère. Christian Bale s'en sort plutôt pas mal, mais à force de le voir marcher et ruminer en permanence, il peut être vraiment ennuyeux. Y'a des acteurs qui apparaissent et disparaissent subitement, comme Cate Blanchett qui joue moyennement bien, ou Antonio Banderas qui est juste là pour prendre son cachet. Natalie Portman qui apparaît au bout d'une heure de film est pas extra non plus et sa relation avec Christian Bale est vite torchée à l'arrache, mais sans pour autant empiéter sur le rythme du film. Par contre, le film a quand même un point positif : la musique. Elle apporte bien au film et peut lui donner un côté mélancolique, mais sinon, ça le sauve pas pour autant. Enfin bref, pour moi, "Knight Of Cups" est un film profondément vide, ennuyeux et oubliable, donc je le conseille pas vraiment.
L'Info Tout Court
Terrence Malick divise toujours le monde en deux catégories : les détracteurs et les adorateurs. Pour nous, le cinéaste prouve haut la main qu'il est un poète. Christian Bale est en quête du sens de la vie, de sa vie et le réalisateur ne cesse de repousser les limites pour montrer sa déconnexion avec le monde réel. Un grand film en somme. Pour en savoir plus, lisez notre critique complète :
C'est une expérience et bien plus qu'un simple film, qui conclut avec brio une trilogie existentialiste hors du commun. un film chaudement recommandé, vu la beauté esthétique qui y règne et la sagesse scénaristique dont Terrance Malick a fait part, ce qui laisse, parfois, suspicion quant au fait qu'il soit le fils illégitime de J-P Sartre.
Christian Bale est utilisé comme le danseur d'une chorégraphie désordonnée. Le film manque d'un scénario solide pour qu'on s'intéresse vraiment à l'histoire. Christian Bale marche, déambule, tout le long du film, un peu comme un pantin, ne sachant pas où aller. Le personnage est un privilégié qui n'a pas de souci financier et semble très oisif. Il a une vie un peu trop facile quand même. Le film est une succession d'images souvent d'une grande laideur. La fête tapageuse dans une villa tape à l'œil d'un magnat d'Hollywood, nous dégoûte plus qu'autre chose. On a vraiment pas envie d'être de la ... "party". On s'attend à l'arrivée de Donald Trump pour être le clou de la soirée, tant sa présence ne paraitrait pas si absurde dans cet étalage de vulgarité. On peut reprocher aussi la façon dont les personnages du film voient les femmes, une nue téléphonant sur une terrasse (quel est l'intérêt de ce passage !), d'autres dans des positions lascives dans un strip show. C'est très misogyne. Les différentes promenades du héros sur la plage avec ses différentes conquêtes sont assommantes (du déjà vu). Il ne manque plus que le coucher de soleil.
Knight of Cups n'est pas vraiment un film. C'est une sorte de publicité narrée pour rien. Les plans sont sympa c'est un bon point pour la réalisation de Terrence Malick. Mais rien ne se passe dans ce film il n'y a pas d'arc d'histoire, pas d'intrigue et pas de développement des personnages. Vous ne ressentez aucune émotion pendant ce film à moins d'être ému par les publicités de parfum dans les magazines. Vous n'aurez aucune pensée à ce sujet non plus à part pourquoi ai-je fini ce film si vous pouvez survivre jusqu'à sa fin. Je ne suis en aucun cas un critique de cinéma mais je sais que c'est mauvais. Ce n'est pas même drôle c'est juste péniblement ennuyeux et inutile...
Dans un cinéma américain de plus en plus prévisible et formaté, Terence Malik fait figure d'OVNI. Cinéaste à part, l'américain est un cas à part dont les films divisent la critique comme le public et ce n'est pas "Knight of cups" qui va déroger à la règle bien au contraire. Ce film est tellement particulier et fait appel à notre subjectivité voilà pourquoi il est tout à fait possible de détester ce film comme de l'adorer. Pour ma part j'ai été fasciné de bout en bout par ce film, véritable expérience visuelle. Terence Malik repousse les limites, multipliant les longues séquences silencieuses aux visuels très travaillés. Le film est doté d'un superbe casting et offre une superbe partition à des acteurs confirmés. On retiendra surtout Christian Bale et son visage torturé qui transmet une diversité incroyable d'émotions. La beauté de Nathalie Portman, pour ne citer qu'elle, illumine le long métrage et Terence Malik porte sur elle, et les autres figures féminines, un regard qui mêle admiration et fascination. Il parvient à capter une sorte de beauté pure et en meme temps une foule de diverses émotions qui forment un film passionnant, sans aucun compromis, une expérience unique qui se doit d’être vu.
On atteint un sommet du « foutage de gueule » avec ce film de 1h58 qui n’a ni queue ni tête. On assiste à un défilé d’images (de plages, de déserts, de villes, d’aquarium, de studios de cinémas et de séance de photos de mannequins) avec une caméra qui n’arrête pas de virevolter, souvent sans dialogues mais avec une voix off d’outre-tombe qui commence par raconter l’histoire d’un roi d’Orient qui a envoyé son fils en Egypte afin qu’il trouve une perle ; les égyptiens lui offre une coupe (d’où vraisemblablement le titre ?) pour étancher sa soif : il tombe dans un sommeil profond et oublie le motif de son voyage. Cette histoire était racontée par son père à Rick (Christian Bale) que l’on voit errer, avec ou sans son frère et différentes femmes (Cate Blanchett et Natalie Portman notamment) et participer à une soirée qui a lieu dans une villa qui ressemble à un palais et où Antonio Banderas finit par plonger tout habillé dans la piscine ! Terrence Malick a le droit de faire des films [que la superbe musique d’Edvard Grieg pour « Peer Gynt » (Mort d’Aase) ne réussit pas à sauver] qui ne ressemblent à rien (il y a néanmoins une construction avec des chapitres, sans rapport avec les images) mais que ceux qui le sélectionnent en festival soient dithyrambiques à son sujet ("Terrence Malick filme l’essence de la poésie en scrutant à travers nos comportements et nos sens, les soubresauts de la transcendance. […] et fait de nos errances des chemins de vie"), sans esprit critique et sens du ridicule sont affligeants. Les spectateurs (à la louche, une bonne cinquantaine) n’ont pas arrêté de sortir au cours de la projection… Ce fut d’ailleurs ma principale motivation de rester dans la salle ! .
Je suis aussi perdu !
Aujourd’hui on s’attaque au film:" Knight of Cups".
Un film que je le suis empressé de voir et un énorme gâchis sérieux !
Ça parle d’un mec qui est perdu dans a vie et que c’est le bordel.
Autant vous dire que c’est pas trop mon style ça.
Malgré un bon point positif et c’est la caméra.
La caméra est toujours en mouvement, elle bouge pour nous mettre à la place du personnage.
Même si ça en devient juste un peu chiant par moment, c’est appréciable.
Mais sinon je suis grave déçu de ce film.
Surtout, je suis triste pour de la prestation de Natalie Portman. Et ce que je comprends pas, c’est qu’elle fait parti des personnages principaux, mais on la voit que 20 minutes à l’écran !
Elle arrive au bout de 1h 20 et le film dure 1h 55 !!!
Et donc ça en fait le premier film ou elle est pas la meilleure actrice du film.
C’est pas non-plus son pire rôle car elle joue toujours extrêmement bien (tout comme les autres acteurs) mais voilà, c’est décevant pour mon actrice préférée...
Le doublage Français est pas non-plus super, façon vue le film, c’est pas grave si vous regardez en Vf.
En vrai très déçu de ce film. Dans pas longtemps, je vais voir un autre film avec Natalie Portman "Song to Song", j’espère qu’il sera bien 😭
Bref
2,5/10
Aujourd’hui on s’attaque au film:" Knight of Cups".
Un film que je le suis empressé de voir et un énorme gâchis sérieux !
Ça parle d’un mec qui est perdu dans a vie et que c’est le bordel.
Autant vous dire que c’est pas trop mon style ça.
Malgré un bon point positif et c’est la caméra.
La caméra est toujours en mouvement, elle bouge pour nous mettre à la place du personnage.
Même si ça en devient juste un peu chiant par moment, c’est appréciable.
Mais sinon je suis grave déçu de ce film.
Surtout, je suis triste pour de la prestation de Natalie Portman. Et ce que je comprends pas, c’est qu’elle fait parti des personnages principaux, mais on la voit que 20 minutes à l’écran !
Elle arrive au bout de 1h 20 et le film dure 1h 55 !!!
Et donc ça en fait le premier film ou elle est pas la meilleure actrice du film.
C’est pas non-plus son pire rôle car elle joue toujours extrêmement bien (tout comme les autres acteurs) mais voilà, c’est décevant pour mon actrice préférée...
Le doublage Français est pas non-plus super, façon vue le film, c’est pas grave si vous regardez en Vf.
En vrai très déçu de ce film. Dans pas longtemps, je vais voir un autre film avec Natalie Portman "Song to Song", j’espère qu’il sera bien 😭
Bref
2,5/10
Certainement plus proche de "The Tree of life" que de "A la merveille" qui personnellement avait fini par me perdre et me désintéresser. On a le sentiment dans Knight of Cups de reprendre le personnage de Sean Penn perdu au milieu des tours (incarné sobrement par Bale), se remettant doucement de la perte d'un cher.
Le film nécessite quelques minutes d'acclimatation, le temps de laisser de côté notre formatage de spectateur attendant sagement sa petite histoire.
Ici, point de dramaturgie, juste des sensations. Mais quelles sensations encore une fois ! Qui filme mieux la vie que Malick aujourd'hui ? Le montage, les images, le son et la musique forment un tout totalement hypnotique et fascinant.
Il est plus qu'agréable en tant que spectateur d'avoir le temps de penser, de faire des allers retours entre le film et nous même, de ne pas être pris par la main de force mais juste accompagné en douceur.
Knight of cups n'est donc par une recette périmée mais bien un art cinématographique rare, non formaté et libéré de l'Industrie briseuse de rêve(s).
Essentiel !
Le film nécessite quelques minutes d'acclimatation, le temps de laisser de côté notre formatage de spectateur attendant sagement sa petite histoire.
Ici, point de dramaturgie, juste des sensations. Mais quelles sensations encore une fois ! Qui filme mieux la vie que Malick aujourd'hui ? Le montage, les images, le son et la musique forment un tout totalement hypnotique et fascinant.
Il est plus qu'agréable en tant que spectateur d'avoir le temps de penser, de faire des allers retours entre le film et nous même, de ne pas être pris par la main de force mais juste accompagné en douceur.
Knight of cups n'est donc par une recette périmée mais bien un art cinématographique rare, non formaté et libéré de l'Industrie briseuse de rêve(s).
Essentiel !
Pas vu à sa sortie, de même que pour "Song To Song", j'ai pu découvrir ce film en DVD.On sait que depuis "The Tree Of Life", Malick s'est détaché des contraintes d'un cinéma classique, et propose maintenant un cinéma expérimental assez particulier.
Les dialogues sont quasi inexistants, et quant au scénario, il semble ne pas avoir été écrit. La voix off ne facilite pas la compréhension du récit. Mais Malick propose par moment des images sublimes qui nous font rappeler qu'il reste malgré tout un grand cinéaste.
Les dialogues sont quasi inexistants, et quant au scénario, il semble ne pas avoir été écrit. La voix off ne facilite pas la compréhension du récit. Mais Malick propose par moment des images sublimes qui nous font rappeler qu'il reste malgré tout un grand cinéaste.
Le nouveau film de Terrence Malik est dans les bacs !
Comme toujours c'est très contemplatif avec le monsieur, pour peu qu'on aime son cinéma ou qu'on ait apprécié The Tree of Life, vous vous y retrouverez sans problème.
Non seulement la photographie est très jolie mais la mise en scène est tout aussi soignée, à un tel point qu'elle vous fait naître un sentiment d'apaisement sans pour autant vous ennuyer comme un rat mort. Alors oui, il faudra interpréter et même beaucoup car rien n'est explicitement dit sur notre héro incarné par Christian Bale, l'homme qui aimait marcher n'importe où sans trop savoir pourquoi :p
Comme toujours c'est très contemplatif avec le monsieur, pour peu qu'on aime son cinéma ou qu'on ait apprécié The Tree of Life, vous vous y retrouverez sans problème.
Non seulement la photographie est très jolie mais la mise en scène est tout aussi soignée, à un tel point qu'elle vous fait naître un sentiment d'apaisement sans pour autant vous ennuyer comme un rat mort. Alors oui, il faudra interpréter et même beaucoup car rien n'est explicitement dit sur notre héro incarné par Christian Bale, l'homme qui aimait marcher n'importe où sans trop savoir pourquoi :p
Beau mais terriblement chiant. Le film s'achève sans qu'on s'en rende compte après deux heures d'ennui profond avec le sentiment que le film n'a pas commencé.
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