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31 critiques presse
Culturopoing.com
par Olivier Rossignot
Si "Knight of Cups" laisse son héros face aux vides, il ouvre en revanche au vertige de l’interprétation d’un fascinant jeu de pistes. Avec ses multiples grilles de lectures, entre le gnosticisme, le tarot, sa douleur intime et les sources d’inspiration spirituelles auxquelles il se rattache, on n’a pas fini d’y replonger pour tenter d’en comprendre les énigmes.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par Simon Riaux
Désormais éclaté et urbain, toujours sublime quoique mutant.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Le réalisateur américain monte en puissance avec "Knight of Cups", une fable bouleversante sur la crise existentielle d’un quadragénaire qui s’est égaré dans le mirage hollywoodien et qui tente de sauver sa peau. Pour enfin vivre.
Marianne
par Danièle Heymann
Il n'y a presque pas de dialogue, mais beaucoup de paroles. Nappées d'un flot ininterrompu de musiques éclectiques, des voix off racontent ce que l'on voit. Et ce que l'on voit est splendide. Des images, des flots, des torrents d'images énigmatiques mais splendides.
Première
par Nicolas Rioult
Si on associe le cinéma d’auteur ou expérimental à une forme de pose, de lenteur, d’affectation, de minimalisme, "Knight of Cups" constitue l’extrême inverse de cette vision des choses. C’est au contraire un torrent de plans terrassants, un défilé de femmes sublimes, une plongée vertigineuse dans un Los Angeles dévoré par un urbanisme délirant.
La critique complète est disponible sur le site Première
TF1 News
par Romain Le Vern
Après "Tree of Life" et "A la merveille", "Knight of Cups" nous paraît la plus cohérente pièce de cette trilogie expérimentale. La plus puissante. La plus évidente. Ses images nous consolent, nous réparent, nous transportent, de manière immédiate puis fulgurante, vers une stratosphère inatteignable pour quasiment tous nos cinéastes actuels.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
GQ
par Jacques Braunstein
Knight of Cups ("valet de cœur") est un film métaphysique et stylé, quelque part entre "Blow-Up" d’Antonioni et "Crash" de Cronenberg, les toiles de David Hockney et les photos de Guy Bourdin. Hypnotique !
La critique complète est disponible sur le site GQ
L'Obs
par Nicolas Schaller
Le film, divisé en chapitres portant le nom des cartes du tarot, teinte le mysticisme du cinéaste d’une nouvelle couleur. Et radicalise son geste autant qu’il le rend plus épuré, moins encombré de religiosité.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Arnaud Schwartz
Un profond questionnement sur la quête de sens et de lumière.
La Septième Obsession
par Thomas Aïdan et Gwanaël Porte
Si Malick scrute froidement la déréalisation actuelle du monde, quelques minuscules décors suffisent dans un même geste à recréer le « paradis ».
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Une quête d’abstraction traduite en un maelström d’images et de sons, envoûtant espace sensoriel pour qui consent à s’affranchir des habitudes de lecture.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Les Inrockuptibles
par Emily Barnett
Pour accéder à la grâce, Malick déroule le film de sa vie, en effeuille toutes les images impures, dans un foisonnement fou, erratique. Et c'est bien ce chemin de croix qui nous importe, hypnotique et captivant.
Paris Match
par Yannick Vely
Le rendu est parfois extraordinaire et si la voix-off est parfois absconse – le propos général reste néanmoins limpide -, la beauté conceptuelle de l’«objet» rend "Knight of Cups" à la fois unique et précieux.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Christian Bale est impeccable dans le nouveau Malick.
Télérama
par Pierre Murat
POUR : Sans se reposer, qui plus est, sur les béquilles commodes, éternelles, que sont la narration, la psychologie, l'identification. Aucun guide, soudain, pour nous aider, nous influencer, nous convaincre : rien que les images de Terrence Malick, sa foi en elles et en son spectateur.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
VSD
par Olivier Bousquet
L’angoisse existentielle d’un homme perdu. Brillant.
CNews
par La Rédaction
On regrettera sans doute un récit un peu prétentieux et un discours trop symbolique. Mais les images et le montage de Malick impressionnent toujours autant.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Cahiers du Cinéma
par Gaspard Nectoux
Malick garde le cap d’un intimisme fabriqué tête baissée, presque autiste, quitte à perdre le spectateur dans sa poursuite formelle. Impossible de ne pas être fasciné par ce montage devenu hémorragie, comme de ne pas céder sous le poids d’un flux à vitesse unique.
Chronic'art.com
par Murielle Joudet
"Knight of Cups" peine à sidérer car son rythme propre est celui d’une accélération intempestive, d’un éblouissement permanent : les expérimentations hallucinées sont devenues le régime normal du cinéma de Malick.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Critikat.com
par Marie Gueden
Pour autant, le dispositif figuratif n’a pas changé et vire à une forme de caricature, véritable déferlante sensationnaliste qui constitue le « style Malick ».
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Mathieu Macheret
Le régime de sublimation permanente auquel le cinéaste plie son récit finit par suspendre l'ensemble dans un ressassement monotone.
Closer
par La rédaction
Une fable sur notre monde qui traîne, hélas!, en longueur.
Franceinfo Culture
par Pierre-Yves Grenu
Mallick s'affranchit une nouvelle fois de toutes les règles communément admises au cinéma, tant en termes de montage que de direction d'acteurs… mais "Knight of Cups" ne restera pas parmi ses œuvres les plus marquantes.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Une quête spiritualiste, que Terrence Malick filme, en images souvent somptueuses, avec un goût prononcé pour le brumeux et le pompeux. Et tandis que le film plane, on a tôt fait d’atterrir…
Libération
par Didier Péron
Les individus sont réduits à faire de la figuration dans cette monstrueuse machine de sons et lumières où les lambeaux de textes, en voix off, et la rhapsodie des musiques nous renvoient constamment à la nudité d’un geste d’artiste qui se répète à l’infini mais en pure perte, sans plus avoir de prise sur rien.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Transfuge
par Frédéric Mercier
On admire trop Malick, on l'aime trop pour ne pas lui souhaiter un prompt rétablissement.
Télérama
par Jérémie Couston
CONTRE : Le plus horripilant reste ce montage absurde, qui vient piocher dans les séquences des plans de trois secondes, au mépris de toute logique narrative (...) Ce n'est plus un film, c'est une succession de paysages en mode aléatoire, comme ceux qui défilent sur nos écrans d'ordinateurs en veille.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Une belle démonstration de meubles design sur fond de réalisation architecturée qui laisse froid.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Une bande-annonce de deux heures.
Le Parisien
par Alain Grasset
Christian Bale (...) est doublé par la voix de Ben Kingsley qu'on entend en off pendant deux heures. Insupportable. On s'ennuie vite entre belles vagues, beaux paysages et belles jeunes femmes jouées par des actrices talentueuses, Cate Blanchett, Teresa Palmer, Freida Pinto et Natalie Portman. Mais on n'y comprend rien.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Culturopoing.com
Si "Knight of Cups" laisse son héros face aux vides, il ouvre en revanche au vertige de l’interprétation d’un fascinant jeu de pistes. Avec ses multiples grilles de lectures, entre le gnosticisme, le tarot, sa douleur intime et les sources d’inspiration spirituelles auxquelles il se rattache, on n’a pas fini d’y replonger pour tenter d’en comprendre les énigmes.
Ecran Large
Désormais éclaté et urbain, toujours sublime quoique mutant.
Le Journal du Dimanche
Le réalisateur américain monte en puissance avec "Knight of Cups", une fable bouleversante sur la crise existentielle d’un quadragénaire qui s’est égaré dans le mirage hollywoodien et qui tente de sauver sa peau. Pour enfin vivre.
Marianne
Il n'y a presque pas de dialogue, mais beaucoup de paroles. Nappées d'un flot ininterrompu de musiques éclectiques, des voix off racontent ce que l'on voit. Et ce que l'on voit est splendide. Des images, des flots, des torrents d'images énigmatiques mais splendides.
Première
Si on associe le cinéma d’auteur ou expérimental à une forme de pose, de lenteur, d’affectation, de minimalisme, "Knight of Cups" constitue l’extrême inverse de cette vision des choses. C’est au contraire un torrent de plans terrassants, un défilé de femmes sublimes, une plongée vertigineuse dans un Los Angeles dévoré par un urbanisme délirant.
TF1 News
Après "Tree of Life" et "A la merveille", "Knight of Cups" nous paraît la plus cohérente pièce de cette trilogie expérimentale. La plus puissante. La plus évidente. Ses images nous consolent, nous réparent, nous transportent, de manière immédiate puis fulgurante, vers une stratosphère inatteignable pour quasiment tous nos cinéastes actuels.
GQ
Knight of Cups ("valet de cœur") est un film métaphysique et stylé, quelque part entre "Blow-Up" d’Antonioni et "Crash" de Cronenberg, les toiles de David Hockney et les photos de Guy Bourdin. Hypnotique !
L'Obs
Le film, divisé en chapitres portant le nom des cartes du tarot, teinte le mysticisme du cinéaste d’une nouvelle couleur. Et radicalise son geste autant qu’il le rend plus épuré, moins encombré de religiosité.
La Croix
Un profond questionnement sur la quête de sens et de lumière.
La Septième Obsession
Si Malick scrute froidement la déréalisation actuelle du monde, quelques minuscules décors suffisent dans un même geste à recréer le « paradis ».
La Voix du Nord
Une quête d’abstraction traduite en un maelström d’images et de sons, envoûtant espace sensoriel pour qui consent à s’affranchir des habitudes de lecture.
Les Inrockuptibles
Pour accéder à la grâce, Malick déroule le film de sa vie, en effeuille toutes les images impures, dans un foisonnement fou, erratique. Et c'est bien ce chemin de croix qui nous importe, hypnotique et captivant.
Paris Match
Le rendu est parfois extraordinaire et si la voix-off est parfois absconse – le propos général reste néanmoins limpide -, la beauté conceptuelle de l’«objet» rend "Knight of Cups" à la fois unique et précieux.
Studio Ciné Live
Christian Bale est impeccable dans le nouveau Malick.
Télérama
POUR : Sans se reposer, qui plus est, sur les béquilles commodes, éternelles, que sont la narration, la psychologie, l'identification. Aucun guide, soudain, pour nous aider, nous influencer, nous convaincre : rien que les images de Terrence Malick, sa foi en elles et en son spectateur.
VSD
L’angoisse existentielle d’un homme perdu. Brillant.
CNews
On regrettera sans doute un récit un peu prétentieux et un discours trop symbolique. Mais les images et le montage de Malick impressionnent toujours autant.
Cahiers du Cinéma
Malick garde le cap d’un intimisme fabriqué tête baissée, presque autiste, quitte à perdre le spectateur dans sa poursuite formelle. Impossible de ne pas être fasciné par ce montage devenu hémorragie, comme de ne pas céder sous le poids d’un flux à vitesse unique.
Chronic'art.com
"Knight of Cups" peine à sidérer car son rythme propre est celui d’une accélération intempestive, d’un éblouissement permanent : les expérimentations hallucinées sont devenues le régime normal du cinéma de Malick.
Critikat.com
Pour autant, le dispositif figuratif n’a pas changé et vire à une forme de caricature, véritable déferlante sensationnaliste qui constitue le « style Malick ».
Le Monde
Le régime de sublimation permanente auquel le cinéaste plie son récit finit par suspendre l'ensemble dans un ressassement monotone.
Closer
Une fable sur notre monde qui traîne, hélas!, en longueur.
Franceinfo Culture
Mallick s'affranchit une nouvelle fois de toutes les règles communément admises au cinéma, tant en termes de montage que de direction d'acteurs… mais "Knight of Cups" ne restera pas parmi ses œuvres les plus marquantes.
Le Dauphiné Libéré
Une quête spiritualiste, que Terrence Malick filme, en images souvent somptueuses, avec un goût prononcé pour le brumeux et le pompeux. Et tandis que le film plane, on a tôt fait d’atterrir…
Libération
Les individus sont réduits à faire de la figuration dans cette monstrueuse machine de sons et lumières où les lambeaux de textes, en voix off, et la rhapsodie des musiques nous renvoient constamment à la nudité d’un geste d’artiste qui se répète à l’infini mais en pure perte, sans plus avoir de prise sur rien.
Transfuge
On admire trop Malick, on l'aime trop pour ne pas lui souhaiter un prompt rétablissement.
Télérama
CONTRE : Le plus horripilant reste ce montage absurde, qui vient piocher dans les séquences des plans de trois secondes, au mépris de toute logique narrative (...) Ce n'est plus un film, c'est une succession de paysages en mode aléatoire, comme ceux qui défilent sur nos écrans d'ordinateurs en veille.
aVoir-aLire.com
Une belle démonstration de meubles design sur fond de réalisation architecturée qui laisse froid.
L'Humanité
Une bande-annonce de deux heures.
Le Parisien
Christian Bale (...) est doublé par la voix de Ben Kingsley qu'on entend en off pendant deux heures. Insupportable. On s'ennuie vite entre belles vagues, beaux paysages et belles jeunes femmes jouées par des actrices talentueuses, Cate Blanchett, Teresa Palmer, Freida Pinto et Natalie Portman. Mais on n'y comprend rien.
Ouest France
Assez vain.