Quelle nullité! Des acteurs qui se ridiculisent. Une histoire cul cul la praline. Un scénario inexistant. Un humour très bas de gamme. Et tout est à l'avenant. "Max" est une sorte de conte,où une petite veut que son papa retrouve l'amour,et elle lui déniche une ...péripatéticienne. Outre ce postulat glauque et hypocrite(jamais la fonction de Rose n'est clairement explicitée),il faut en plus subir le surjeu insupportable de la gouailleuse Mathilde Seigner(qui a certes de belles fesses...),et à l'inverse la mise en veilleuse contre-nature d'un Joey Starr que l'on préfère nettement voir rouler des mécaniques. Jean-Pierre Marielle,lui,cabotine jusqu'à la parodie,mais arrive au moins à être drôle par moments. Comme on est dans un conte rose bonbon,tout se termine bien,alors que ça n'a jamais vraiment commencé, et la maison désormais commune est bardée de guirlandes de Noël. Beurk!
Loin d'être un grand film ou même un bon film ce "MAX" reste sympathiquement regarda le un soir a la télé! Et pourtant je n'apprécie ni Joe Starr, ni Mathilde Seigner, mais la partition touchante en papa poule du premier fait qu'on arrive quelques peu a s'attacher a son personnage, et fait toute la part belle du film! Reste un peu de poésie de temps a autre, et un humour discret et enfantin quelque fois...
S’il n’est pas désagréable « Max » n’est pas pour autant un bon film, il serait plutôt un téléfilm moyen digne d’un prime time de semaine sur TF1. On se croirait en le visionnant devant une création des scénaristes de « Joséphine ange gardien » ou de « Camping Paradise », c’est-à-dire gentillet mais inoffensif au point d’en être parfois ennuyant. Le film n’est certes pas très long (même pas une heure et demi), mais il n’empêche que je me suis quand même plutôt ennuyé devant cette comédie vraiment fade et sans tonus. L’interprétation est plutôt bonne, encore heureux cela dit parce qu’autrement le film serait insupportable à regarder, mais les excellentes prestations de JoeyStarr, de Mathilde Seigner, de l’inénarrable Jean-Pierre Marielle et de la toute jeune Shana Castera ne suffisent pas à rendre cette comédie un peu crédible et surtout à lui donner du peps. Le film fait l’affaire pour un visionnage en famille, tant il reste dans un politiquement correct tout public, mais ceux qui n’ont pas d’enfant ou dont les enfants sont adolescents peineront à trouver un intérêt à ce téléfilm égaré dans les salles obscures. Évitable sans regrets.
Le travail de Stéphanie Murat, notamment dans la photographie et la mise en scène, pour restituer une ambiance nocturne de conte de saison, est sûrement plaisant à découvrir mais il sent trop le labeur, l’effort collectif pour faire exister un pitch minimaliste, alors que davantage de spontanéité aurait été préférable à l’écran. Mathilde Seigner et Sylvie Testud en travailleuse du sexe de province n’effacent jamais leur personnalité derrière leurs personnages, JoeyStarr en père prêt à tout pour nourrir sa fille, est forcément un peu voyou et attendrissant, mais il ne parvient pas à gommer sa notoriété à l’écran, alors que son jeu s’est beaucoup amélioré. C’est un peu la malédiction des artistes chanteurs qui ont fait la Une des journaux pour leurs frasques et qui sont un peu trop attendus au tournant.
On pourrait imaginer qu'avec des gars comme Seigner, Starr, Marielle, ça allait déchirer sa mère, hélas je ne crois plus au père Noël, surtout quand on y croise des gamines qui savent pas réciter.
La petite Shana Castera apporte de la fraîcheur tandis-ce que Joey Starr nous révèle son côté sensible à côté d'une Mathilde Seignier et d'un Jean-Pierre Marielle toujours au top. Un feel good movie touchant porté par une histoire simple, un peu trop peut-être...
Cette comédie est assez bien réussi. On est porté par l’innocence de cette fille qui veut rendre son père heureux en rencontrant Mathilde Seigner. L'histoire reste, certes, classique mais elle est bien menée. Je trouve Joeystarr plutôt convainquant dans ce rôle qu'on à pas l'habitude de voir. Ce bagarreur, voyou se révèle être un bon père et par suite un bon mari...
L'écriture et la réalisation, ne pouvant s'appuyer sur rien d'autre, se volent la vedette pour obtenir le prix de la médiocrité... Le niais est dépassé, place au néant visuel.