Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Cette fantaisie est irrésistiblement drôle pour décrire un plateau en folie.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Femme Actuelle
par La Rédaction
L'histoire peut sembler mince, mais elle se développe bien, notamment grâce à une formidable galerie de personnages secondaires. Une vraie dose de folie.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpeche
Cette satire opère une mise en abyme savoureuse montrant un artiste en proie aux affres de la création, qui s’efforce de mener son projet à terme en dépit du chaos ambiant.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Kim Jee-woon invente une comédie explosive, très coréenne dans ses références et universelle dans son rapport au cinéma comme art du chaos.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Jérémie Oro
Fort du classicisme de sa mise en abîme, le film a ceci de sublime qu’il crée une dissonance entre la manière dont Ki-yeol regarde son œuvre et celle qu’a Jee-woon d’appréhender la sienne pour finalement faire se rejoindre ces deux visions (et cinéastes) dans un dernier plan vertigineux, étonnamment triste.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Mad Movies
par Gilles Esposito
Bien sûr, ce genre de mise en abyme est un exercice très codé, avec les inévitables échos entre les coulisses et le film dans le film, et "Ça tourne à Séoul" ne brise pas vraiment les règles du jeu. Mais Kim Jee-woon traite le sujet de façon extrêmement brillante, pour un résultat souvent hilarant.
Ouest France
par La Rédaction
Hilarant et spectaculaire.
Positif
par Hubert Niogret
En s’appuyant sur de très bons comédiens, dont le formidable Song Kang-ho en tête, Kim Jee-woon, brillant réalisateur du polar A Bittersweet Life (2005) et du western déjanté Le Bon, La Brute et le Cinglé (2008), va et vient très diligemment entre réflexion sur le cinéma et satire politique pour créer une comédie noire, reflet d’une époque qui a constitué une période trouve de l’histoire de la Corée du Sud.
Transfuge
par Séverine Danflous
Un opus réjouissant.
Télé Loisirs
par M.L.
Souvent drôle, féroce et techniquement irréprochable, ce long métrage est une lettre d'amour au cinéma.
Voici
par La Rédaction
Une satire excentrique aussi drôle que pertinente sur la fabrique du cinéma.
L'Obs
par N. S.
A l’image de son titre français, « Ça tourne à Séoul ! Cobweb » balance entre premier et second degrés, en fait trop, se prend parfois les pieds dans la toile. Cela participe aussi de son charme brindezingue.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par F.V.
L'ensemble aurait gagné à être moins long. La baisse de régime est inévitable. On retiendra la fin, un plan-séquence digne d'un chef-d'œuvre. Et surtout le final, qui récompense les cinéphiles capables de patienter jusqu'au générique.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par J. Ma.
Une bonne part de l’ironie de ce film tient à l’abîme qui semble séparer l’industrie du cinéma coréen de cette époque et l’ambition d’art qui anime son tumultueux protagoniste, joué par le génie polymorphe Song Kang-ho.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par La Rédaction
Signé du cinéaste-culte coréen Kim Jee-Woon, ce film sur un film ne constitue pas son opus le plus brillant, tant il se déroule dans une ambiance de cris et d’hystérie à la limite du supportable. Reste quelques belles performances de comédiens, et, surtout, une longue et ultime scène montrant le tournage d’un délirant plan-séquence, filmée avec une maestria d’orfèvre.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Paris Match
par Yannick Vely
Le film est un peu foutraque, ne choisit pas vraiment entre la comédie et le thriller fantastique mais séduit par le soin apporté au moindre détail dont un film dans le film que l’on aurait bien envie de voir en entier.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Lucie Chiquer
Un véritable naufrage constitué d’acteurs aux égos surdimensionnés, de producteurs cupides et d’officiels gouvernementaux aigris. Et quand vient la mise en place d’un plan séquence sur du France Gall (Poupée de cire, poupée de son), le cinéaste nous livre un tableau tel que le Radeau de la Méduse pourrait paraître insipide. Un véritable uppercut.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Hélène Marzolf
Kim Jee-woon nous ferre dans un trompe-l’œil géant, truffé de références détournées (Ring, Alien…) et de plans bluffants. Faire naître la magie du chaos : le septième art apparaît, plus que jamais, comme cette machine merveilleuse qui, quelle que soit la médiocrité de ses coulisses, continue de faire triompher l’illusion.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Clément Colliaux
De ce principe de mise en abyme, Kim Jee-woon tire un film assez verrouillé et répétitif.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Michaël Delavaud
Ça tourne à Séoul – Cobweb ne se nourrit finalement que [du] formalisme [de Kim Jee-woon], et ceci de façon finalement un peu dommageable, faisant de l'acte même de mise en scène le ferment de l'autosatisfaction teintant passablement le récit.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Les Fiches du Cinéma
par Adèle Bossard-Giannesini
Avec Ça tourne à Séoul !, Kim Jee-woon s’essaye pour son onzième long métrage au “film dans le film” sans parvenir à nous intéresser ni au premier, ni au second. Les clichés y sont légion et les situations outrancières n’arrachent pas l’ombre d’un sourire.
Libération
par Lelo Jimmy Batista
On aimerait pouvoir sauver quelque chose de ce rata glutineux, mais hormis son casting assez flambant, il n’y a pas une branche à laquelle se raccrocher, si ce n’est peut-être le plan final du film dans le film – furieusement outrancier et, lui aussi, franchement inattendu.
La critique complète est disponible sur le site Libération
20 Minutes
Cette fantaisie est irrésistiblement drôle pour décrire un plateau en folie.
Femme Actuelle
L'histoire peut sembler mince, mais elle se développe bien, notamment grâce à une formidable galerie de personnages secondaires. Une vraie dose de folie.
Le Journal du Dimanche
Cette satire opère une mise en abyme savoureuse montrant un artiste en proie aux affres de la création, qui s’efforce de mener son projet à terme en dépit du chaos ambiant.
Les Echos
Kim Jee-woon invente une comédie explosive, très coréenne dans ses références et universelle dans son rapport au cinéma comme art du chaos.
Les Inrockuptibles
Fort du classicisme de sa mise en abîme, le film a ceci de sublime qu’il crée une dissonance entre la manière dont Ki-yeol regarde son œuvre et celle qu’a Jee-woon d’appréhender la sienne pour finalement faire se rejoindre ces deux visions (et cinéastes) dans un dernier plan vertigineux, étonnamment triste.
Mad Movies
Bien sûr, ce genre de mise en abyme est un exercice très codé, avec les inévitables échos entre les coulisses et le film dans le film, et "Ça tourne à Séoul" ne brise pas vraiment les règles du jeu. Mais Kim Jee-woon traite le sujet de façon extrêmement brillante, pour un résultat souvent hilarant.
Ouest France
Hilarant et spectaculaire.
Positif
En s’appuyant sur de très bons comédiens, dont le formidable Song Kang-ho en tête, Kim Jee-woon, brillant réalisateur du polar A Bittersweet Life (2005) et du western déjanté Le Bon, La Brute et le Cinglé (2008), va et vient très diligemment entre réflexion sur le cinéma et satire politique pour créer une comédie noire, reflet d’une époque qui a constitué une période trouve de l’histoire de la Corée du Sud.
Transfuge
Un opus réjouissant.
Télé Loisirs
Souvent drôle, féroce et techniquement irréprochable, ce long métrage est une lettre d'amour au cinéma.
Voici
Une satire excentrique aussi drôle que pertinente sur la fabrique du cinéma.
L'Obs
A l’image de son titre français, « Ça tourne à Séoul ! Cobweb » balance entre premier et second degrés, en fait trop, se prend parfois les pieds dans la toile. Cela participe aussi de son charme brindezingue.
Le Figaro
L'ensemble aurait gagné à être moins long. La baisse de régime est inévitable. On retiendra la fin, un plan-séquence digne d'un chef-d'œuvre. Et surtout le final, qui récompense les cinéphiles capables de patienter jusqu'au générique.
Le Monde
Une bonne part de l’ironie de ce film tient à l’abîme qui semble séparer l’industrie du cinéma coréen de cette époque et l’ambition d’art qui anime son tumultueux protagoniste, joué par le génie polymorphe Song Kang-ho.
Le Parisien
Signé du cinéaste-culte coréen Kim Jee-Woon, ce film sur un film ne constitue pas son opus le plus brillant, tant il se déroule dans une ambiance de cris et d’hystérie à la limite du supportable. Reste quelques belles performances de comédiens, et, surtout, une longue et ultime scène montrant le tournage d’un délirant plan-séquence, filmée avec une maestria d’orfèvre.
Paris Match
Le film est un peu foutraque, ne choisit pas vraiment entre la comédie et le thriller fantastique mais séduit par le soin apporté au moindre détail dont un film dans le film que l’on aurait bien envie de voir en entier.
Première
Un véritable naufrage constitué d’acteurs aux égos surdimensionnés, de producteurs cupides et d’officiels gouvernementaux aigris. Et quand vient la mise en place d’un plan séquence sur du France Gall (Poupée de cire, poupée de son), le cinéaste nous livre un tableau tel que le Radeau de la Méduse pourrait paraître insipide. Un véritable uppercut.
Télérama
Kim Jee-woon nous ferre dans un trompe-l’œil géant, truffé de références détournées (Ring, Alien…) et de plans bluffants. Faire naître la magie du chaos : le septième art apparaît, plus que jamais, comme cette machine merveilleuse qui, quelle que soit la médiocrité de ses coulisses, continue de faire triompher l’illusion.
Critikat.com
De ce principe de mise en abyme, Kim Jee-woon tire un film assez verrouillé et répétitif.
Culturopoing.com
Ça tourne à Séoul – Cobweb ne se nourrit finalement que [du] formalisme [de Kim Jee-woon], et ceci de façon finalement un peu dommageable, faisant de l'acte même de mise en scène le ferment de l'autosatisfaction teintant passablement le récit.
Les Fiches du Cinéma
Avec Ça tourne à Séoul !, Kim Jee-woon s’essaye pour son onzième long métrage au “film dans le film” sans parvenir à nous intéresser ni au premier, ni au second. Les clichés y sont légion et les situations outrancières n’arrachent pas l’ombre d’un sourire.
Libération
On aimerait pouvoir sauver quelque chose de ce rata glutineux, mais hormis son casting assez flambant, il n’y a pas une branche à laquelle se raccrocher, si ce n’est peut-être le plan final du film dans le film – furieusement outrancier et, lui aussi, franchement inattendu.