Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Absolument modeste dans son propos comme dans son ambition formelle (...). Un petit film ténu, fragile, qui ne fait pas le fier-à-bras, dispensateur d'un naturalisme juste et vibrant, exempt de pittoresque ou de surlignage.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Gilles Renault
Fluide dans sa façon de pointer le détail évocateur dispensant de toute explication oiseuse (...), Matthew Petock n'a d'autre prétention que d'observer avec une retenue honorable quelques tranches de vie caractérisées par la difficulté qu'ont les êtres à communiquer entre eux.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Yann Tobin
La caméra portée suit de façon experte les émois sensuels et affectifs des personnages. La direction d'acteurs est sensationnelle.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Studio Ciné Live
par Christophe Chadefaud
Voir le site de Studio Ciné Live
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Sophie Grassin
Conversations superposées sur des scènes muettes et décalées, mélancolie des soirées dansantes catastrophiques auxquelles Sheryl se rend, dîners familiaux et acteurs parfaits inoculent à ce premier film un charme singulier.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
L'Humanité
par Vincent Ostria
Une oeuvre (...) sobre et quotidienne, dont le leitmotiv est l'amour, ou la difficulté de le trouver. (...) Après, on peut considérer que le constat, malgré la justesse de la réalisation, est un peu plat.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Arnaud Schwartz
(...) film fragile, tenant à peu de chose, imparfait mais laissant des impressions persistantes, discret mais remarqué par le maître Scorsese qui en a souligné " la beauté envoûtante " .
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Isabelle Regnier
On pourra reprocher au film une forme de systématisme (...). Mais la générosité avec laquelle Matthew Petock filme ses acteurs, la beauté de certaines séquences, les éclats de vérité qui en jaillissent, font oublier ces résidus un peu scolaires de scénario trop bien ficelé.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Si le film vise à n'en pas douter une forme d'effroi, il laisse le sentiment de flotter entre deux eaux. Sa vision proprement désenchantée des rapports amoureux, pour le coup inattendue, l'empêche paradoxalement de décoller d'un sentiment de déjà-vu, réduisant toute chose à son squelette.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Les Fiches du Cinéma
par Julien Englebert
Alors qu'il est censé émouvoir, le film de Matthew Petock est froid, ennuyeux et ressemble trop aux paysages sans reliefs où se déroule l'action...
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Sylvestre Picard
Il ne se passe pas grand chose dans cette tranche de vie white trash qui laisse l'impression d'un court métrage étiré démesurément. Restent quelques belles images du quotidien sudiste filmées avec naturel, ainsi que des acteurs impeccables de simplicité.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Cécile Mury
"A little closer" reste bloqué dans ce prévisible envers du décor. Soit une mère et ses deux fils, enfermés dans leurs grises solitudes respectives. (...) Le trio de comédiens est plutôt convaincant, mais les rôles sont trop ténus, trop usés pour qu'on s'y attache.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Inrockuptibles
Absolument modeste dans son propos comme dans son ambition formelle (...). Un petit film ténu, fragile, qui ne fait pas le fier-à-bras, dispensateur d'un naturalisme juste et vibrant, exempt de pittoresque ou de surlignage.
Libération
Fluide dans sa façon de pointer le détail évocateur dispensant de toute explication oiseuse (...), Matthew Petock n'a d'autre prétention que d'observer avec une retenue honorable quelques tranches de vie caractérisées par la difficulté qu'ont les êtres à communiquer entre eux.
Positif
La caméra portée suit de façon experte les émois sensuels et affectifs des personnages. La direction d'acteurs est sensationnelle.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live
TéléCinéObs
Conversations superposées sur des scènes muettes et décalées, mélancolie des soirées dansantes catastrophiques auxquelles Sheryl se rend, dîners familiaux et acteurs parfaits inoculent à ce premier film un charme singulier.
L'Humanité
Une oeuvre (...) sobre et quotidienne, dont le leitmotiv est l'amour, ou la difficulté de le trouver. (...) Après, on peut considérer que le constat, malgré la justesse de la réalisation, est un peu plat.
La Croix
(...) film fragile, tenant à peu de chose, imparfait mais laissant des impressions persistantes, discret mais remarqué par le maître Scorsese qui en a souligné " la beauté envoûtante " .
Le Monde
On pourra reprocher au film une forme de systématisme (...). Mais la générosité avec laquelle Matthew Petock filme ses acteurs, la beauté de certaines séquences, les éclats de vérité qui en jaillissent, font oublier ces résidus un peu scolaires de scénario trop bien ficelé.
Cahiers du Cinéma
Si le film vise à n'en pas douter une forme d'effroi, il laisse le sentiment de flotter entre deux eaux. Sa vision proprement désenchantée des rapports amoureux, pour le coup inattendue, l'empêche paradoxalement de décoller d'un sentiment de déjà-vu, réduisant toute chose à son squelette.
Les Fiches du Cinéma
Alors qu'il est censé émouvoir, le film de Matthew Petock est froid, ennuyeux et ressemble trop aux paysages sans reliefs où se déroule l'action...
Première
Il ne se passe pas grand chose dans cette tranche de vie white trash qui laisse l'impression d'un court métrage étiré démesurément. Restent quelques belles images du quotidien sudiste filmées avec naturel, ainsi que des acteurs impeccables de simplicité.
Télérama
"A little closer" reste bloqué dans ce prévisible envers du décor. Soit une mère et ses deux fils, enfermés dans leurs grises solitudes respectives. (...) Le trio de comédiens est plutôt convaincant, mais les rôles sont trop ténus, trop usés pour qu'on s'y attache.