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    Kingsman : Services secrets
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    1 477 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 13 janvier 2020
    Un très bon film bien décalé mêlant espionnage et décalage.
    Une très bonne surprise, la mise en scène est géniale et Matthew Vaughn nous livre un film décomplexé et spectaculaire dans ces scènes d'actions.
    Les personnages sont attachants et le scénario est très agréable à suivre.
    L'ambiance est un des plus gros points forts du film qui regorge de bonnes idées visuelles.
    Marc
    Marc

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 31 décembre 2019
    Superbe film, rien à redire c'était parfait.
    Je ne suis pourtant pas fan de ce genre de film (espionnage) mais j'ai été très agréablement surpris, à recommander fortement.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 20 novembre 2019
    Magnifiques. Juste se mot pour définir se filme ,depuis le debut j'adore se personnage principal qui est juste exceptionnel.
    Trevor Reznic
    Trevor Reznic

    5 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 octobre 2019
    Juste parfait ! Une parodie géniale des films d'espionnage et d'action qui envoie du steak. La scène dans l'église m'a laissé bouche bée sur le magnifique morceau Free Bird. A voir absolument.
    Eowyn Cwper
    Eowyn Cwper

    109 abonnés 2 038 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 septembre 2019
    Ce n’est pas souvent que j’ai beaucoup de choses à dire d’un film qui ne me transporte pas spécialement. On pourrait croire que je le dois à l’originalité de Kingsman, ce Johnny English déluré sauce Deadpool (& apparemment Kick-Ass aussi, mais je ne l’ai pas vu). Pourtant, il n’invente strictement rien et n’a cure de mettre le réchauffé sur un plateau d’argent – ce que fait d’ailleurs Samuel L. Jackson avec son ”happy meal” de sorte que ses manières vont avec le grotesque de sa tenue.

    Eggsy (Taron Egerton), personnage principal de son état, est ce génie & ce champion de gymnastique avec l’étoffe d’un Spiderman qu’une Agence (il faut le prononcer en murmurant avec un ton mystérieux) débotte d’une vie socio-professionnelle tenant en une ligne. Vaughn tente la rupture en intégrant Eggsy, semi-plébéien, dans le monde huppé des Kingsman, mais ce n’est que son prétexte pour faire durer deux heures un spectacle qui n’a pas vraiment de vision globale.

    Mais je brûle les étapes. Kingsman est produit par une société fondée par le réalisateur en 2004, Marv, qui exhibe quatre lettres abrégeant Marvel. Ou bien abrègent-elles… ses souffrances ? Marv est un renouveau qui ne cherche pas sa place car sa place est partout : pourquoi ne pas transformer le Nick Fury du MCU en mégalomane absurde ou faire du John Brand d’Interstellar ce gentleman james-bondien corruptible sous de grands airs ? – deux rôles de Michael Caine qui promettent un monde meilleur.

    Il ne faut pas trop s’arrêter sur le casting manipulé par un Vaughn trop prompt à ne vouloir rien commencer de zéro. Les personnages secondaires en souffrent particulièrement, étant relégués au niveau d’inutilité d’un ingénieur du son derrière un métier à tisser. D’ailleurs, le film annonce la couleur d’entrée : celle du sang versé sur les notes de Money For Nothing. Il n’est pas question pour le spectateur d’être d’accord que Mark Knopfler ambiance un génocide de masse, parce que le divertissement, on nous l’enfonce dans le gosier avec un hérisson de ramonage.

    Il faut avoir la digestion solide pour supporter que l’équipe de Vaughn soit constituée de brillants artistes de l’ultra-violence, du genre à pousser l’autodérision au point de ne pas reposer juste sur l’outrance. Alternant slow motions voyeurs & fast motions bien crispy, il met toujours l’action au plein centre de l’écran et cache des uppercuts dans des Big Macs mieux que je cache mes arguments derrière les anglicismes.

    Dans une subtilité délirante (compte tenu du bouillonnement ambiant), l’œuvre hurle au monde qu’elle n’est pas un Deadpool, même si assurément ils s’inscrivent dans la même lignée ; les Kingsman sont plutôt sa némésis, agents proprets dont l’œil n’est vif & la respiration haletante que si ça arrange les scénaristes.

    Kingsman ne se prend pas au sérieux à ce niveau profond, osant être peu accessible, et s’érige de ce fait au rang des plaisirs coupables supérieurs, ceux que la cinéphilie stoïque & gentilhommière relie toujours au monde d’en haut. D’ailleurs, en faisant de ses personnages des cinéphiles accomplis, glissant des références cinématographiques dans sa trame, de Nikita à Pretty Woman en passant par les inévitables 007, Vaughn caresse le quatrième mur à chaque fois que les protagonistes répètent :

    > It’s not that kind of movie.

    Stoïque, c’est aussi le mot pour qualifier Colin Firth, dont le flegme anglais confronté à l’ubuesque Nick Fury version Marv est une de ces fluctuations qui nous font hésiter : on doit prendre le film au sérieux, oui ou non ? Des fluctuations sensibles même à l’intérieur des personnages, où elles font se fendre le so-called gentleman de cette citation carrément choquante :

    > I’m a Catholic whore, currently enjoying congress out of wedlock with
    > my black Jewish boyfriend who works at a military abortion clinic. So,
    > hail Satan, and have a lovely afternoon, madam.

    Si sa personnalité émane de ce genre de traits (de caractère et d’humour), Kingsman souffre aussi du corollaire, exposant très vite une confiance excessive dans le charisme de ses agents clonés les uns sur les autres avec leur costumes pare-balles & leurs lunettes. Le côté gentleman se réduit à peau de chagrin jusqu’à devenir une simple amorce au regard des minutes qui passent.

    On entre alors dans le ventre mou d’une ambiance en U, où l’absence de recyclage commence à se faire salement ressentir, tout comme la lassitude éprouvée vis-à-vis de ce ”gros secret” supposé soutenir toute l’intrigue. Les Kingsman sont censés constituer une agence indépendante, c’est bien précisé, mais cela ne veut pas dire isolée. Dans les faits, elle semble jouer le rôle d’un sous-traitant qui tient pourtant toute la place du scénario, ce qui est totalement à côté de la plaque.

    Vaughn a commis une erreur en voulant se couper du monde, espérant sans doute reproduire l’exploit qu’une franchise encore plus célèbre avait accompli en cachant la magie derrière les trottoirs londoniens. La ville ne fait pas tout, même si la magie du cinéma l’habite assurément. Le plus dommage, c’est qu’il aurait sûrement suffit qu’il puisât des clins d’œils dans ses inspirations avouées ; ils auraient été facilement jubilatoires.

    La phase de l’entraînement des agents est un tremplin modeste au-dessus de cette faiblesse médiale, et lui-même ne s’avère rien de plus que le mol éclaircissement de talents soudain(s) indomptés dans cette jeunesse semi-super-héroïque.

    Tout finit par marcher tout seul (et ce n’est pas une bonne chose), à commencer par le méchant – il n’est peut-être pas celui de ”that kind of movie” mais orchestre sans qu’on sache trop comment une sorte de trailer pour Cellulaire (Tod Williams, 2016, y’a L. Jackson aussi dedans, tiens) qui n’a plus tellement d’atouts pour se défendre face à d’autres opus du genre ”je vais tout massacrer”. Le plan machiavélique finit par marcher par pure chance – les auteurs ont tressé les cordes du scénario avec leurs propres cheveux arrachés à mains nues, à mon avis.

    La déchéance est cool, heureusement. Elle dépouille l’histoire de sa surpolitisation momentanée, faux pas pratiqué incidemment sur le territoire de Marvel, et s’excuse même de ce trébuchement en transformant une princesse suédoise en Eggsy Bond Girl. On n’en demandait pas tant.

    Les Kingsman ont leur Q intégré à l’intellect (rien de vulgaire, je parle juste de feu Desmond Llewelyn) & leurs talents combinés de lutte & d’éloquence finissent par avoir raison de nous dans une conclusion qui sauve les meubles un peu in extremis, résumable à cette quote sublime – et là aussi étonnamment effrontée – tirée de Moonraker (Lewis Gilbert, 1979) ayant marqué la mémoire du régisseur & la mienne :

    > I think he's attempting re-entry, sir.

    Moralité : le Valentine’s Day n’est pas venu pour les amoureux du septième art. Mais surtout, comme le dit si bien son interprète :

    > Thon of a bitth!

    → https://septiemeartetdemi.com/
    Arthur Guezou
    Arthur Guezou

    150 abonnés 1 477 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 juillet 2019
    Film très drôle et une bonne parodie de JAMES BOND. Pratiquement toutes les blagues marchent, et la violence n'est pas de trop. D'ailleurs le scénario ressemble à ceux des anciens JAMES BOND.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 15 avril 2019
    Un chef d'œuvre qui permet de changer avec les James Bond ou les gros film d'action. Un dose incroyable de fun d'autant par la bande originale que par les scène d'action exceptionnelle. Ajoutez à cela des performances d'acteur de qualité, notamment Samuel L Jackson.
    Noah Simon
    Noah Simon

    2 abonnés 31 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 juillet 2019
    __________________________________________

    Pourquoi aime tu cette scène ?

    J’ai beaucoup aimé la scène parce qu’elle est juste jouissif , c’est juste de la violence gratuite mais avec une réalisation très rapide , fluide et une caméra qui va partout . Le tout accompagné d’une musique plaisante qui accompagne très bien l’ambiance de la scène . Et voilà , tout ça nous fait une scène exceptionnelle à voir et revoir .

    _______________________________________________

    Comment ce fut la première fois que tu as vu cette scène ?

    J’ai vu le film pour la première fois il y a quelques années donc ça date mais, je me souviens que la scène m’avait particulièrement marqué ce qui m’avais fait attendre impatiemment le deuxième opus .
    Rudy66
    Rudy66

    18 abonnés 786 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 mars 2019
    Film d'action plaisant avec un bon rythme. Le scénario va crescendo et les acteurs sont bons.
    Deux petits bémols cependant, même si ça n'enlève en rien la qualité de ce film, je trouve dommage que Roxy n'occupe pas un rôle plus important dans le film, alors que le héros quant-à lui, devient aussi bon que son mentor en très peu de temps sans qu'on ne voit son évolution.. 3.5/5
    Frédéric  B.
    Frédéric B.

    4 abonnés 198 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 janvier 2019
    Ce qui est lié aux services secrets est très soignée, j'ai été assez conquis par cette revisite des films d'espionnage. C'est parodique, sans être caricaturale. Par contre, ce qui est lié à l'organisation criminelle, ses personnages et ses projets, là c'est tombé dans le caricaturale. Rendre ridicule Samuel L. Jackson, c'est dur, mais ils ont "réussi"... Cette invraisemblable histoire de puce est carrément passée au second plan pour ma part. Heureusement j'ai pu me raccrocher aux premiers pas de Eggsy comme agent secret grâce au bon jeu de Taron Egerton.
    Flibidi
    Flibidi

    4 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 décembre 2018
    Bof bof. Se laisse regarder, mais sans plus.
    Points forts :
    - les combats sont assez lisibles (meme si la façon dont c'est filmé reste étrange à l'oeil)
    - les spoiler: gadgets que j'ai trouvé stylés perso

    - certains ressorts comiques qui fonctionnent bien
    Points faibles :
    - le scénario est on ne peut plus banale
    - certaines choses font vraiment bizarre ( spoiler: l'explosion des tetes à la fin par exemple
    )
    - le méchant est affreusement nul
    Dans l'ensemble : mouai...
    vivaBFG
    vivaBFG

    13 abonnés 1 225 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 décembre 2018
    Très bon film d'action/espionnage qui parvient sans peine au niveau d'un James Bond. Certains trouveront certaines scènes d'actionsexagérées, mais n'est ce pas avant tout ce que l'on cherche dans ce type de film.
    Pour ma part je me suis régalé, j'ai même sourit sur certaines scènes (celle du combat dans l'église par exemple).
    Le scénario est assez simple, avec un super méchant et plein de gentil mais on se prend vite au jeu, au baigne dans le film, les images vous entrainent vers la fin à une vitesse et on ne voit pas le temps passer même si la durée est de 2 heures
    Pour les amateurs de film d'action d'espionnage à 100 à l'heure. A voir absolument
    Enzo Gagliardi-Kubrick-Scorsese-Flora Nolan
    Enzo Gagliardi-Kubrick-Scorsese-Flora Nolan

    7 abonnés 59 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 novembre 2018
    Il est toujours difficile de noter des films tant ils dépendent de leur genre. Ici, un film très agréable à regarder mais si l'on le considère simplement comme oeuvre cinématographique ne mérite pas 4/5. Pourtant, si l'on décide de le voir comme ce qu'il est, c'est à dire une comédie d'aventure et d'espionnage qui vise un public d'adolescents et de jeunes adultes, il remplit parfaitement le contrat. On a donc le droit à du spectaculaire, avec des scènes de combats impressionnantes, spoiler: (scène de l'église, Climax et même la scène du parachute)
    utilisant les ralentis, les gros plans des accélérés, des points de vue à la première personne, et surtout des mouvements de caméra ultra fluide. Le tout donne une impression très cartoonesque voire surréaliste à ces scènes très violentes. Tout ceci sur fond de classe à l'anglaise et muni d'un humour qui fonctionne (la scène de règlement de compte dans le bar, reprise en fin de métrage fonctionne à ce titre). Ce film tout à fait décalé est même assez intelligent, se basant sur une double intrigue entre la formation d'Eggsy et le combat pour sauver le monde. Le méchant et son objectif sont d'ailleurs amenés avec brio, sans que l'on ne nous explicite trop vite son plan, que l'on découvrira au fur et à mesure de l'histoire et qui répond par ailleurs à une problématique très contemporaine. Egalement, le système de la double intrigue permet d'amener des co-protagonistes à qui on s'identifie facilement. Enfin, le film passe quelques petits messages sur la noblesse d'un homme et nous montre une opposition entre un jeune homme défavorisé qui s'avère plus nobles que de riches et éduqués jeunes hommes de la bourgeoisie anglaise. C'est également le cas avec un message sur la noblesse d'âme des femmes et son premier rôle féminin gentil et fort. Tout cela sans tomber dans les clichés amoureux habituels de ce genre cinématographique. Un scénario donc bien rodé, se permettant même quelques retournements de situation. Un film agréable et bien fait donc, qui trouve un style ultra particulier avec son élégance dans les costumes, la photographie lisse et coloré, opposé à son côté cartoonesque et ultra violent, ce qui donne un côté très décalé et même parodique du film d'espionnage. Une réussite.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 22 novembre 2018
    Que de bonnes surprises dans ce film qui je l'avoue au départ me faisait un peu peur; c'est drôle, rythmé et bourré d'énergie... Pour résumé : on ne s'ennuie pas une seule seconde.
    Le casting est excellent et complémentaire ; S.L.Jackson est génial en sociopathe milliardaire, S.Boutella trop sexy (et dangereuse) en gymnaste cul-de-jatte, C.Firth a la classe et l'élégance qui sied à ravir à son personnage et le jeune T.Egerton lui donne parfaitement la réplique.
    Les scènes d'action sont nombreuses et nerveuses (celle de l'église est une claque a proprement parlé) et l'humour british est toujours présent.
    Bref, superbe film qui malheureusement aura une suite moins réussie...
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 20 novembre 2018
    L'histoire est très bien recherchée, les décors sont très modernes, un côté à la fois sombre et frictionnel accompagné d'un style d'humour pour en faire un film "polymorphe", on est vite emballé dans l'histoire et plus précisément dans l'évolution du personnage principal qui est interprété à la perfection...Bref, un excellent film même si le méchant n'a pas l'allure d'un vrai vilain.
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