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Un visiteur
2,5
Publiée le 21 novembre 2012
Très bon concept avec de flagrantes inégalités voir même des courts qui font bailler et se trouve limite hors sujet. C'est pas si gore voyons. Pour ma part les asiatiques ont été les meilleurs...
Naviguant avec brio entre gore, second degré, fantastique, absurde, anime, stop motion, sujets léger et d'autres plus graves, le point fort de The ABC's of Death est la durée de ses segments, puisque l'on n'a jamais le temps de s'ennuyer. Dans le pur esprit d'Adrénaline ou The Theatre Bizarre, The ABC's of Death est un ovni à découvrir !
Comme dans tous les films à Sketches, il y a des hauts et des bas.... Cependant le film surprend beaucoup plus que tout ce qui as été vu récemment au cinéma. Notamment par son refus de faire justement un Abécédaire des morts de cinéma (c'est dommage et en même temps ça aide)! On s'éclate tantôt avec les Japonnais, qui se permettent tout, on est révolté par les violences faites aux femmes... On s'horrifie devant le pouvoir de l'image avec le X. Bref, il y a de tous dans ce film à sketches. De tout... De tout sauf de véritables morts illustrés par des lettres... Et c'est quand même regrettable!
Un film intelligent avec une idée de base originale, mais qui s’essouffle vite. En effet, l'idée de 26 morts pour 26 lettres était intéressante mais c'est au niveau des 26 réalisateurs que cela bloque. Au final on arrive à un melting-pot d'influence, de nationalité et d'originalité très très différent. Du coup, le film paraît plutôt long, et surtout très très inégal. On retiendra des idées très originales ( T for Toilet, B for Big Foot, W for WTF) mais le reste est assez inintéressant et parfois soit trop poussé pour un court-métrage ou vraiment trop loufoque voir débile (F for Frat)
Comme tous les films à sketches (VHS, Theatre Bizarre) il y a à boire et à manger dans ce “ABCs of Death”, mais ici je trouve que les écarts entre les films sont encore plus marqués. Peut-être est-ce dû au fait qu’ici on se retrouve face à 26 segments, ce qui fait que le choix est encore plus énorme. Sur les 26, je n’en retiendrais que très peu, 5 ou 6 qui m’ont vraiment plu ou vraiment marquée, comme le “X is for XXL” de Xavier Gens, qui est vraiment très touchant, le “W is for WTF” de Jon Schnepp, segment qui porte très bien son nom, le “Q is for Quack” d’Adam Wingard qui est vraiment très drôle et bien imaginé, le “D is for Dogfight” de Marcel Sarmiento, segment très bien réalisé, très beau et intelligent, et enfin le “L is for Libido” de Timo Tjahjanto, qui même s’il ne m’a pas plu à proprement parler, reste sûrement le plus marquant des 26 métrages. Dans l’ensemble, je conseillerais quand même aux curieux de regarder ce film, qui même s’il n’est pas parfait, vaut quand même le coup d’oeil pour certains segments, pour leur originalité (certains métrages sont en pâte à modeler ou en dessin animé), ça peut aussi permettre de découvrir certains réalisateurs. A noter, certains segments complétement barrés, comme les segments Japonais (décidément je ne comprends pas ce délire de prout) ou encore des segments trop courts pour être parfaitement lisibles.