Derniers Avis : The ABCs of Death - Page 2

Il faudrait sérieusement penser à enfermer un bon nombres des réalisateurs l idée de base est bonne mais dans les faits sa ne marche pas donc soi un budget trop limité ou une absence totale de bon sens pour certains bref film à voir pour savoir que il y a toujours pire que ce que vous croyez ...

Comme toutes les anthologies, ABCs of Death réunit des segments de qualité inégale. Mais la diversité du tout fera que chacun y trouvera son compte. Certains segments sont particulièrement bons et imaginatifs, et permettent de s'initier à la filmographie de cinéastes prometteurs.

26 réalisateurs de films de genre se sont vus attribués une lettre de l'alphabet pour en tirer un court-métrage. Voici le résultat.
Bien entendu, c'est inégal, mais souvent très fun et on ne s'ennuie pas.
Du gore, du détournement, des hommages, des clins d'œil, de l'humour noir, du macabre, des trucs aboutis, d'autres improvisés : il y a moyen de trouver son compte.
Une bonne surprise.

Meme si je m'y attendait un peu , ce genre de pot pourri d'extraits de films d'épouvante n'apporte rien.
D'abords parce que l'on a pas le temps de rentrer dans chaque histoire , le passage dure 2 minutes à tout casser et que ces extraits semblent provenir de films plutot médiocre dans l'ensemble (j'en ai reconnu aucun sur les 26 et pourtant je suis amateur du genre) , films d'amateurs , parfois drole , cocasses, bon rien de spectaculaire. C'est à voir pour passer le temps si on n'a rien à faire sur le coup. Du voyeurisme à coup sur mais rien d'inoubliable.

26 réalisateurs, 26 courts métrages, et chacun de ces réalisateurs se voient attribuer une lettre, ils doivent ensuite pondre un film avec la liberté la plus totale, la seule condition est que leurs films doit contenir au moins une mort.

Alors est ce que ça marche ou pas ? Bah oui, c'est vraiment vraiment pas mal, si ce n'est pour les 3 premières histoires que je n'ai absolument pas aimé, le reste est vraiment emballant, mais très franchement, c'est un peu bizarre de ranger ce film dans la catégorie horreur, parce que la plupart des films sont soit un grand festival de n'importe quoi, sois carrement mis sous la forme de cartoon, enfin bref, pas mal du tout, et j'attend de pied ferme la suite déjà prévue.

J'aime beaucoup le concept et l'idée de ce film je trouve ça original et intéressant ça permet de découvrir de nouveaux réalisateurs et de mettre en place des idées seulement possible dans des courts métrages. Dans l'ensemble j'ai bien même si il n'y a pas énormément de court métrage qui sortent du lot. Je retiens le D (Dog for fight) qui est très bien réalisé et avec un bon twist, T (Toilet) tout en pâte à modeler qui est vraiment bien fait puis X (x for xxl) fait par un français un CM choc sur la minceur. Il y en a d'autres qui sont aussi pas mal puis il y aussi qui sont bien affligeants comme la plupart des CM japonais bien tordus.

Il est difficile de juger ce type de film dans son ensemble puisqu'il s'agit d'une anthologie bien étrange de l'horreur sous différentes visions, sous différentes cultures et par différents styles de cinéma, et ce pluralisme de genre est appréciable plutôt dans son détail que dans son intégralité. Néanmoins on peut voire que l'œuvre est très inégale dans les courts métrages proposés puisque l'on tangue entre horreur morbide, série Z et violence acerbe pour les plus réussi et parfois on se retrouve confronter à des films soit incohérents dans le traitement de l'horreur ou même dans le segment utilisé, soit par le message parfois incompréhensible, et bien que le genre macabre soit le maître mot, on arrive à se demander comment certain courts métrage justifient leur place dans cette œuvre. D'ailleurs l'idée de donner à des réalisateurs du genre une simple lettre et laisser court à leur imagination donne un résultat appréciable sachant toucher à tout les styles et pouvant plaire à tout les amateurs du genres et cela de façon différentes suivant les sensibilité de chacun, et le plus réussi dans ce genre de rassemblement de films est que même ceux qui ne sont pas forcément convaincu par le genre de l'horreur, il y a ici de quoi se faire un avis quand aux déclinaisons des genres pouvant toucher n'importe qui mais aussi réussissant à faire flipper tout type de public. Pour en citer quelques uns particulièrement remarquables, positivement ou négativement, il faut commencer par le plus beau de tous, sachant rendre l'horreur au delà de scènes macabres mais plutôt par une violence réelle, tout en possédant une justification sublime et une image sensationnelle, ce court métrage possédant la lettre D. Dans un tout autre style, le film de X. Gens est macabre à souhait et reflète parfaitement la façon crue de rendre l'horreur mais pourtant très terre à terre du réalisateur, et on se délecte de cette histoire glauque à souhaite, traitée de manière tant violente que sensée, et faisant référence incontestablement à son "Frontière(s)", chef d'œuvre du genre que se soit par son scénario que par l'image, et offre un film au message coupant et à l'image trash défendant la lettre X. Finalement le plus hard de tous est quand même le film sous la mettre L, ne pouvant pas être qualifié d'autre chose que de moments psychologiquement dérangeant mais totalement dans l'horreur au sens le plus pure, montrant des choses que le grand écran ne pourrait pas se permettre dans un long métrage destiné au cinéma, car pour les plus averti cela reste du cinéma, mais il ne faut pas que ce segment soit mis entre de mauvaise mains au risque d'en choquer plus d'un sévèrement. D'ailleurs tout le film est laisser entre des yeux avertis car même si certains films reste tout de même s'impriment gore ou simplement fou, comme celui illustrant le T, animation qui ne transmet pas l'horreur comme raison du dégoût mais plutôt comme une bonne poilade, aspect appréciable dans certaines œuvres du genre puisque l'on aime se marrer devant des massacres extravagants. Alors le format est original et permet surtout une diffusion plus large de tout ces talents, pas tout appréciables au même niveau mais qui ont le mérite de dresser un panel réaliste des déclinaisons de l'horreur au cinéma et offre tout de même un côté plaisant... il n'y a en que pour le genre macabre et aucuns scénarios en carton mettant inutilement des personnages en situation afin de tous les massacrer, ici même si certains segments apportent que très peu d'intérêt quand au style, au moins cela va vite et ne laisse pas beaucoup à de place à l'inutile, souvent très grosse part des films d'horreur!

26 réalisateurs, 26 façons de mourir. 26 cinéastes proposent 26 courts métrages horrifiques, développés à partir de chacune des 26 lettres de l'alphabet. Tel est le concept deThe ABCs Of Death. Alors certes, l'idée est novatrice et s'arme d'un bon potentiel, mais le métrage reste assez inégal. Bien entendu, certaines histoires sont vraiment très bonnes, tant au niveau de la mise en scène que du twist final, mais d'autres en revanche riment avec ridicule. Attention, certaines s'avèrent fort perturbantes, tant dans l'utilisation du gore que dans les images qui sont montrées. Une violence donc à la fois visuelle et psychologique. Mais, pour le pitch de départ et la réussite de quelques unes, le film vaut le détour.

26 réalisateurs de par le monde, chacun se voit attribuer une lettre de l'alphabet, un budget de 5000$ et a carte blanche pour réaliser un court métrage de 5mn ayant un rapport avec la mort et la lettre qu'il lui a été attribuée... Bon, déjà le concept est génial. Certes, comme on pouvait s'y attendre, les différents segments sont inégaux (enfin ne pleurons pas, comme on a tous des goûts différents, chacun y trouvera son compte...), et justement c'est cette ÉNORME diversité qui fait le génie de ce film : On passe du gore, au malsain, à l'humour, à l'intimiste en passant par le bizarre et l'incompréhensible. On a du DV-movie, de l'animation, du stop-motion, du grand cinéma, du grindhouse, de la série Z, de la sci-fi, du japonais... Pas de fil conducteur, on apprend à la fin de chaque segment le fameux mot choisi par le réalisateur, et c'est tout! Et heureusement, car les réalisateurs sont entièrement libres et c'est à nous, spectateurs cinéphages, d'encaisser tous les scénarios, toutes les idées, tous les effets et toutes les émotions pour enfin lâcher un "waouh!" à la fin de ce métrage de 2h qui passe presque trop vite... J'ai pour habitude de dire "plus n'est mieux", pour ABCs of Death je dirais "trop n'est pas assez". Un OVNI cinématographique à découvrir absolument, mais à ne pas mettre devant tous les yeux.

Les styles sont très disparates (action futuriste, fantasmagorique, grindhouse, gore, japonais etc....) mais il arrive parfois de jubiler face à des prises de risque maximale (l'esthétique dogfight ou le très glauque libido) ou de se marrer franchement (les 2 animations autour des toilettes ou le perroquet). Dommage que l'ensemble dure 2h00, il aurait opportun de supprimer qq sketchs vraiment faibles.

On dit souvent qu'un film à sketch est bancal, c'est effectivement encore une fois très inégal. Le problème c'est le manque total d'homogénéité, certains segments sont vraiment à l'opposé tant sur la forme que sur le fond. Il y en a quelques uns qui sont impressionnants et ont l'air d'avoir coûté plus cher que 5000 dollars, tandis que d'autres ont une esthétique fauchée de série Z et frisent l'amateurisme. Il y en a tout de même une bonne douzaine qui tiennent la route, et l'on peut compter quelques morceaux de bravoure et de purs délires (les nippons sont toujours aussi barrés). Il y a aussi quelques trucs à jeter, bref il y a à boire et à manger là-dedans, un peu pour tous les (mauvais) goûts, mais la variété des styles - un réalisateur par lettre alphabétique et une totale liberté artistique tant que le thème est lié à la mort - et la très courte durée des métrages empêchent l'ennui.

Après "The Theatre Bizarre" et les deux "V/H/S", les films à sketchs ont le vent en poupe, même si souvent le résultat est assez irrégulier vis-à-vis de la qualité des différents sketchs les composant. Qu’en est-il alors de ce "ABC of Death" ? Déjà, il faut souligner l’originalité du concept de base : 26 réalisateurs se sont vus attribués l’une des lettres de l’alphabet et ont dû choisir un mot commençant par cette lettre qui servira de base pour réaliser un court-métrage ayant un rapport avec la mort. Je ne peux que dire bravo devant une telle inventivité, d’autant plus que le mot choisi n’apparait qu’à la fin du sketch et non au début pour ne rien gâcher de son visionnage. Et bien le résultat final est plutôt bon, même si le niveau des sketchs va de nul à génial (oui je sais : faire un film à sketchs avec que des segments excellents relève généralement de l’utopie…mais bon : on peut rêver merde !!). Je vais commencer par mon coup de gueule, « Miscarriage » de Ti West : je suis en colère contre ce type car il est capable de bonnes choses ("The House of the Devil", "Cabin Fever 2", "The Innkeepers") mais il foire encore une fois (comme dans "V/H/S" remarquez ) en nous livrant un truc insignifiant frôlant la nullité absolue !! Ensuite, dans le rayon naze, on peut citer « Gravity » de Andrew Traucki ("Black Water", "The Reef"…ce type a un problème avec la flotte : il devrait voir un psy !) et « Fart » de Noboru Iguchi ("The Machine Girl", "Mutant Girls Squad", "Robot Karate Zaborgar") qui visiblement n’est toujours pas sorti de son trip scatologique de "Zombi Ass : Toilet of the Dead" !! Ensuite il y a des trucs assez délires/spaces qui m’ont laissé perplexe comme « Orgasm », « Hydro-Electric Diffusion » de Thomas Cappelen Malling ("Norwegian Ninja"), « WTF ! » ou « Zetsumetsu » de Yoshihiro Nishimura ("Tokyo Gore Police", "Vampire Girl vs Frankenstein Girl") qui a l’avantage de nous présenter le plus énorme godemichet-ceinture en forme de pénis géant jamais vu dans un film...même porno !! Heureusement, il y a aussi des sketchs intéressants et très sympas comme « Klutz » et « Toilet » (deux métrages en animation qui vous feront regarder vos WC d’un autre œil !), « Cycle », « Speed » de Jake West ("Razor Blade Smile", "Evil Aliens" et l'hilarant "Doghouse") , « Apocalypse » de Nacho Vigalondo (le très bon "Timecrimes") ou « Removed » de Srdjan Spasojevic (le très controversé "A Serbian Film"). Deux segments m’ont bien fait rire : « Nuptials » avec son perroquet bavard et « Jidai-Geki » de Yudai Yamaguchi ("Meatball Machine", "Yakuza Weapon", "Dead Ball") dont le côté parodique est irrésistible (il y a au moins un des trois japonais qui aura fait un truc potable !) On arrive ensuite aux meilleurs sketchs du film (selon moi of course) : 05) « Libido » de Timo Tjahjanto ("Macabre" et « Safe Heaven » le sketch le plus déjanté de "V/H/S 2" !!) qui nous propose du jamais vu : un jeu macabro-vicieux où deux hommes attachés sur une chaise doivent se masturber devant une scène ou une personne au hasard jusqu’à l’éjaculation et où le moins rapide finit embroché comme un cochon de lait ! 04) « Youngbuck » de Jason Eisener ("Hobo with a Shotgun") qui est une réussite en matière de montage, d’hommage aux années 80, de surprise vis-à-vis du sujet abordé et qui possède une bande-son détonnante !! 03) « Vagitus » de Kaare Andrews (le sympatoche "Altitude") avec son univers SF intéressant et son action bien bourrine…ça donne envie de voir son prochain film : "Cabin Fever, Patient Zero" ! 02) « XXL » de Xavier Gens ("Frontière(s)", "Hitman", "The Divide") où notre petit frenchie (cocorico !!) nous envoie en pleine tronche une critique très acide de la dictature de la beauté que connaît notre société actuelle (vouloir toujours plus maigrir pour finir par ressembler à…un tas d’os avec un peu de peau dessus !! J’A-D-O-R-E !!) . Sans conteste le sketch le plus GORE du film !! 01) Et LA claque visuelle de ce "ABC Of Death" : « Dogfight » de Marcel Sarmiento ("Toi, Moi... et mon Chien", "Deadgirl") qui nous propose un combat freefight entre un homme et un chien totalement HALLUCINANT !! C’est magistralement chorégraphié et superbement filmé avec des ralentis de toute beauté. J’ai réellement ressenti quelque chose de viscéral en mattant ce segment…et en plus, le « twist » final est aussi inattendu que sympathique. Une bombe ! Voilà, ne serait-ce que pour les 5 sketchs dont je viens de parler, il faut regarder "ABC Of Death" (expérience même obligatoire pour tout cinéphile digne de ce nom !!). J’ai bien aimé malgré quelques ratés et je me surprends moi-même en demandant « A quand un "ABC Of Death 2" ? »

Une série de 26 courts métrages peu ou pas inspirés... Malheureusement, les histoires prennent souvent un tournant vulgaire facile et inapproprié.

C’est XXL comme idée ces courts métrages abécédaires ! Il faut voir dix films (et ça vaut pour chaque genre du drame à la comédie) pour en trouver un qui vous pète à la gueule. ABCs Of Death multiplie les chances parce que condenser des récits permet d’aller plus vite à l’essentiel, je trouve.
Chacun fera ses choix, je ne m’étends pas sur les miens mais les japonais sont bien déjantés quand ils se lâchent.
Bordel, il faut quand même être tordu pour kiffer ça….

je trouve l'idée de ce film juste génial, malheureusement le résultat est très mais alors très loin de mes espérances !

Le souvenir qu'il en reste est que certains de ces court métrage n'était pas super mais leur idée de scénario ( spoiler: T comme toilet, celui traitant de la réalisation du court métrage et celui qui part en surf
) ou leur aspect esthétique ( spoiler: D comme dog fight
) sauvaient un peu les meubles. Mais la globalité sont tout de même, j'irai jusqu'à dire, mauvais.

Entre le gore omniprésent dans cette sélection de court métrage (un ou deux pourquoi pas mais là c'est tout de même un peu trop, ce n'est pas le seul façon de mourir il me semble...) et les réalisations japonaises perverse et malsaines. Le film laisse un goût amer.

A éviter, et c'est bien dommage....