Et de 7, cette saga n'aura cessée de nous étonner avec son lot de scènes hallucinantes, de cascades et bolides lancés à des centaines à l'heure. Une saga qui sera passer de L.A. à Miami jusqu'à Tokio en passant par Rio et maintenant Abu-Dhabi.
Un démarrage canon mais visuellement moyen ou Jason Statam, première grande vedette du genre, fait son entrée dans la course en ayant à lui seul (peu crédible mais bon), assommé tout un hôpital et fait exploser la moitié de celui-ci. Accompagné d'une bonne grosse musique comme "Fast" à le secret.
Une petite virée désertique avec nos chères et tendre romantique avec des souvenirs toujours si vagues, James Wan aux commandes, on peut alors commencer.
Premier grand moment avec cet immense circuit à ciel ouvert ou les figurantes s'en donne à cœur joie avec bikini et déhancher endiabler, caméras toujours si bien placer mais presque pervers à force (clichés ou pas). Face à face et hop, moteur, tourner.
Second face à face entre "The rock" et Statam ou Wan utilisera un plan que lui seul à le secret, le retournement de caméra (qu'il utilisera à maintes reprises) pour nous mettre au plus prêt de l'action de combat. Un corps à corps impressionnant. Puis les 2 bolides sortant d'un cimetière suite à l'enterrement et assassinat de notre amis asiatique (scène post-générique du 5), un rodéo prenant ou la tension est à son max, son final sera pur et dur. Autre vedette du grand écran à venir, Kurt Russel et son interprétation très noble je dois dire, rare sont les américains à jouer d'une telle manière en pleine action. Suite à cela, le retour de toute et tous avec
un Gibson qui très sincèrement, aurait été dispensable. Ce personnage ne sert mais franchement à rien si ce n'est pour parler et parler pour rien dire. Faire un show verbal de 2h pour finalement ce là ramener mais 4m en arrière, lamentable. Un homme qui parle trop, se là joue trop, fait figure de bad boys pour finalement faire son caprice. Toute la scène qui suivra dans la forêt sera haletante à 100%. Notre Ramsey retrouver, cap sur les chaleurs ardentes du Moyen-Orient.
Une musique d'arrivée géniale, des prises dantesque, soleil et quelques nana à volonté. Les grattes-ciel eux,
offriront la séquence la plus barge du film si ce n'est l'une des plus barges de la saga. J'en zapperai l'apparition de Gibson pour aller droit but de cette fusillade et su saut de bâtiment en bâtiment, prise de vues, adrénaline, vide sonore très bien placé, excellent.
Puis, s'il on en oublie tous ce bruyant environnement, on ne peut pas cacher que ce 7ème volet
est spécial pour bon nombre de fans, l'une de ses vedettes s'en est aller tragiquement et plusieurs petites scènes laisseront penser que son départ fut mis en avant de la meilleur des manières. Une illusion presque parfaite entre Walker et son frère pour un adieu digne et poétique. Mais avant de conclure là-dessus, notre Rock alors hospitalisé parvient comme par ... miracle, à s'enlever son gros plâtre, se rhabillant comme si de rien n'était et embrasse sa puce, une puce qui se montre très inspirante à l'égard de son paternel. Une montagne qui en fait des caisses, mais qu'on adore admirer pour sa cool attitude, sa manière drôle de parler aux gens mais aussi pour ses combats très armer.
le final de cette chasse à l'homme entre Toretto/Shaw, Mose Jakande/Ramsey et toute sa bande, O'conner/soldats de Jakande, un vrai rodéo en un seul et même endroit, L.A., là ou tout à commencer plus de 10 ans en arrière.
Finissons donc sur Walker, personnage emblématique depuis 2001, acteur peu connu pour d'autres rôle mais aimer pour celui-ci, de presque adieux au compte goutte jusqu'à cet instant sur la plage ou l'on de doute de l'issue fatale. La musique et chanson officiel lancée, nos personnages admirent une dernière fois cet homme avec sa femme et son petit grand. Dom se levant et regardant vers lui, signe cet adieux. Une virée auto sous fond d'images rétro, un échange intense de regard pour conclure cette grande amitié ou l'on revoit brièvement Mia à ses débuts (visage d'enfant terminant sur celui d'une vraie femme)Des prises excellentes, une bande-son très bien placée pour un adieu très digne. Puis, la route se divisant, Toretto va au loin poursuivre les grandes aventure, O'conner lui, s'en va un horizon plus calme
, moins bruyant, plus blanc, tous simplement. See You Again