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    Assassin's Creed
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    Cyril J.
    Cyril J.

    26 abonnés 625 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 mai 2017
    Tirée de la série du même nom, ce film concentre ici l’impitoyable guerre que se livrent à travers les âges les confréries des Assassins et des Templiers, dont l’enjeu est de posséder la Pomme d’Eden, théoriquement capable pour qui la détient de déposséder l’humanité de son libre-arbitre. Les premiers souhaitent qu’elle reste cachée pour ne pas qu’elle tombe entre de sombres mains, tandis que les seconds y voient l’instrument d’asservissement des hommes à leur religion.
    La science ayant aujourd’hui remplacé la foi, des descendants de Templiers enlèvent en 2016 des descendants d’Assassins, les forcent à se connecter à leur machine à régresser dans le temps et les gênes, pour trouver où se cache l’objet divin, perpétuant leurs combats épiques de 1492, par possession d’ancêtres interposés.
    Il ne faut pas craindre la surutilisation de la pédale d’accélérateur pour apprécier cet heroic fantasy, savoir négliger les nombreuses incohérences, et faire fi d’un scenario un peu décousu. Ceux qui aiment la baston mystique et la SF, et qui passent ce cap, se délecteront d’une succession de régressions transtemporelles et synchrones, d’un tourbillon d’étourdissants combats et voltiges, de véritables chorégraphies d’art martiaux, de lumineux effets spéciaux, dans une valse d’aventures incarnées par un casting de stars (Michael Fassbender, Marion Cotillard, Jeremy Irons, Charlotte Rampling…). Telle est la seule ambition, atteinte, de ce captivant spectacle d’actions intertemporelles.
    CH1218
    CH1218

    196 abonnés 2 879 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 21 mai 2017
    Peu adapte de jeux vidéo, j’ai néanmoins une vague connaissance d’ « Assassin’s Creed » par l’intermédiaire de mes enfants dont je trouve en premier lieu le graphisme excellent. Je ne peux pas en dire autant de ce que j'ai vu dans cette pauvre adaptation. Son aspect poussiéreux, peut-être pour cacher sa surabondance numérique, m’a incommodé. Mais le pire est à mettre au crédit d’un scénario bien fastidieux, affublé d’un casting peu enclin à sauver l’ensemble de la débâcle.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 17 mai 2017
    Donc en gros templiers et assassins se livrent une guerre sans merci depuis des siècles pour obtenir la pomme d'Eden, qui se présente sous la forme d'une boule de pétanque et qui contient le code génétique du libre arbitre. Quiconque retrouvera la pomme pourra asservir l'humanité.
    Voilà, c'est le pitch, on en est à 20s de film et je viens de subir une dose de débilité équivalente à une semaine complète à regarder du matin au soir les ch'tis à Marseille.
    J'aurais sûrement dû m'arrêter là. Mais je me suis dit y'a Fassbender dedans. Et Cotillard, Irons, Rampling, Gleeson... Et le film a coûté 150 millions, il a forcément mieux à proposer qu'un programme de télé réalité où des crétins rivalisent de crétinerie. Eh bien non. La suite est tout aussi nulle. Tout le monde dit n'importe quoi avec un sérieux consternant. Visuellement c'est pareil, les scènes d'action sont génériques, hachées et laides. Ce film excelle dans la médiocrité à tous niveaux.
    Les studios Ubisoft à qui on doit Assassin's Creed ont aussi la paternité des Lapins crétins. Je pense que les deux adaptations étaient dans les tuyaux, et que suite à un pari, une soirée bien arrosée ou plus simplement une volonté de nuire à l'humanité, les scénarios ont fusionné. Je ne vois pas d'autre explication.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 14 mai 2017
    Jeux vidéos et cinéma n'ont jamais fait bon ménage. Lorsqu'un film est adapté en jeu, tout le budget de production passe dans la licence et le développement est expédié en urgence pour capitaliser sur le succès du film. Dans le schéma inverse on a généralement droit à un gros nanar pour ados attardés avec JC Vandamme ou C Lambert. Avec Assassin's Creed, c'est différent: jamais un jeu vidéo (à part Silent Hill) ne s'était autant rapproché d'une oeuvre cinématographique, que ce soit par la profondeur de son scénario, le charisme de ses héros ou le soin apporté à sa mise en scène. Une adaptation ciné de cette grande saga vidéoludique semblait donc aller de soi. Il est même étonnant qu'elle ait mis si longtemps à voir le jour. Pour un premier film basé sur la franchise, le challenge était de taille : apporter quelque chose de plus par rapport à des jeux qui sont déjà de véritables films interactifs tout en respectant leur univers et sans perdre le profane, le tout avec une histoire qui trouve son dénouement en moins de 2 heures. Chaud! On peut saluer l'effort du réalisateur et des producteurs qui ont essayé de limiter autant que possible le recours aux images de synthèse (par exemple, le fameux "saut de la foi" a été effectué par un cascadeur depuis le haut d'une grue). pour éviter au spectateur d'avoir l'impression d'assister à une démo non jouable. Les scènes d'action sont bien chorégraphiées et filmées dans un style plantant et ultra-spectaculaire du jeu, avec les mêmes mouvements de caméra. Bien joué sur la forme donc. Mais sur ce qui devrait faire la valeur ajoutée du fllm par rapport aux jeux, à savoir l'histoire, les dialogues et les acteurs, on est loin du compte. Déjà, le scénario se limite à poser vite fait les bases de cet univers ( les templiers VS les assassins, la pomme d'Eden, la mémoire génétique) façon blockbuster. Le profane s'y retrouvera facilement mais celui qui connaît les jeux restera sur sa faim. Ensuite les dialogues sont d'une platitude absolue et Marion Cotillard joue plus mal que jamais, récitant son texte en mode robotique sans avoir l'air d'y accorder le moindre intérêt. Fassbender fait le job mais l'ensemble est trop superficiel pour que l'on s'attache à son personnage. Bref, cette adaptation ciné échoue à retranscrire le souffle épique de la saga et à s'affranchir des formules habituelles du blockbuster. Peut-être qu'une suite, qui n'aura pas à installer cet univers très riche, pourra aller plus loin... Mais alors sans la Cotillard, sinon je reste avec mon joypad et ma console!
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 11 mai 2017
    L'idée du film est interessante et très anticléricale: la religion asservit les gens et il faut sauver le libre arbitre (concept digne d'un cours de philo ). Malheureusement la conception du film a tout gâché: assassin's creed n'est qu'un jeu vidéo avec des acteurs: les personnages n'ont aucune profondeur, mention spéciale à Marion Cotillard qui joue comme un pied et Fassbender est aussi insipide qu'un bloc de glace. Il y a trop de scène de combat ( à la con car les gens volent), cela ravira les amateurs de jeu vidéo mais ça refroidit ceux qui aiment le cinéma.
    Bref c'est un vrai gâchis car l'idée de base était en or, ils auraient pu aboutir à un classique comme Blade Runner et sont arrivés à nous sortir un téléfilm à plusieurs millions de dollars.
    Tant d'argent utilisé à mauvais escient, le cinéma est un non sens économique.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 10 mai 2017
    Alors, alors, alors... Ce film tellement décevant autant par son scénario que par ces écarts répétés à l'histoire originale que j'affectionne tant. Pour le scénario certains peuvent aimer et comme on me le dit souvent les gouts et les couleurs ne se discutent pas. Si je fais ce commentaire sur le film c’est pour souligner l’affreuse réalité qui est que Ubisoft a vendu l’une des plus grandes histoires de l’industrie vidéoludique à n’importe qui.
    Commençons : Tout d’abord il n’y pas une seule et unique pomme d’éden, mais plus 5 et toute les pommes d’éden n’ont probablement pas encore été répertoriées. La pomme ne contient pas du tout le libre arbitre de l’homme, mais été un homme utiliser pour contrôler l’esprit des hommes. Pour continuer Abstergo : Abstergo Industries est entité fondée en 1937 dont les prémisses se font ressentir des 1910. L’entreprise fut fondée par deux maitres templier Henry Ford et Ransom Eli Olds et non par Alan Rikkin. Au cours du temps Abstergo devient plus qu’une simple entreprise, la société et l’ordre ne faisaient plus qu’un. Maintenant l’animus : formidable création d’Abstergo Indutries l’animus est belle est bien une machine qui consiste à décoder l’ADN pour le retransmettre en souvenirs, mais elle n’est ni un bras articulé ni construit par la Dre Sophia Rikkin comme le suppose le film. L’animus fut construit à la fin du XXe siècle par le Dr et maitre Templier Warren Vidic.
    Je ne viens de citer que les plus gros points… Un conseil fan des Assassin’s Creed fuyez.

    Source : assassinscreed.wikia.com
    kal-el 02
    kal-el 02

    114 abonnés 843 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 mai 2017
    Excellente idée sur le papier de transposer l'univers du jeu vidéo au cinéma, le scénario de base a un sacré potentiel au fond et les séquences du jeu pour ceux qui connaissent ont de quoi mettre l'eau à la bouche. Pourtant d'emblée, on sent que l'on va avoir quelque chose de différent de ce que l'on attend. Pour résumer, toutes les phases dans l'Animus à l'époque de l'Inquisition sont bluffantes et très prenantes, malheureusement, le reste apparait assez plat avec une direction d'acteur étrange qui n'arrange rien, on a irrémédiablement l'impression que les personnages sont tous atteints d'une léthargie insurmontable dès lors que l'on sort de l'Animus, et autant dire que sur deux heures, le temps se fait parfois long ... Malgré tout, sur le plan visuel c'est réussi et l'intrigue a été décomplexifiée au maximum pour être abordable au plus grand nombre, conséquence directe : on ne laisse que peu de place aux surprises. Tout s'enchaine sans trop de temps morts tout de même et ça reste limpide mais ça ne décolle jamais vraiment non plus. Un peu déçu je l'admet, surtout après avoir vu la superbe B.A., pour autant c'est pas mal dans l'ensemble et ça vaut bien un petit coup d'oeil
    Frédéric M.
    Frédéric M.

    183 abonnés 1 846 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 mai 2017
    Bien que la photographie et les effets spéciaux soient soignés, le film ne captive pas suffisamment du à un scénario ultra mince et les acteurs assez fades. Heureusement que le jeu est bien meilleur ..
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 2 mai 2017
    Mais quelle daube ! En tant que fan du jeu comme en tant que spectateur du film je me sens insulté ! Quel gâchis, les acteurs ont l'air de s'ennuyer, Marion Cotillard est en cire, les dialogues sont affligeants, les fx dépassés, l'image est sombre, les scènes d'action sont très brouillonnes...
    Alors que dans le jeu, le héros était "synchronisé" à l'ADN de ses ancêtre via des connections neuronales et installé dans un fauteuil comme dans Matrix, dans le film l'animus est conçu sous la forme d'une salle de réalité virtuelle en hologrammes avec un bras articulé pour simuler les mouvements du héros, j'imagine que c'est pour donner du dynamisme à la réalisation mais l'effet est raté, il fallait garder le concept du jeu qui est beaucoup plus réaliste, en plus le fonctionnement de l'animus est très mal expliqué dans le film, mais c'est normal car on patauge dans l'incohérence tout le long..
    Bref on entre pas du tout dans l'histoire, et la fin clôture ce supplice sur une ouverture vers une suite.. non svp épargnez nous!
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 29 avril 2017
    Mouvements de caméra qui donne la nausée lors des scènes d'action, les très rares fois où la clarté est présente, c'est pour voir Marion Cotillard aussi expressive qu'une huître, bref, un joli loupé alors qu'il y avait matière à faire. Tant pis
    Toto INF
    Toto INF

    36 abonnés 555 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 avril 2017
    Un homme au jeu, mais cinématographiquement parlant, ultra classique.
    Un film d'action aventure sans rien de transcendant, si ce n'est un peu trop prétentieux, de par son ambiance pseudo classe, mais cet aspect là du film est hérité des jeux.
    Un autre point négatif, et que malgré les deux heures du film, ils trouvent encore le moyen d'aller très vite scénaristiquement parlant, de schunter de nombreuses éléments du récit, pour proposer une fin sans saveur.
    A réserver pour les fans décérébrés d'une franchise vidéo ludique qui peine vraiment à se renouveler.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 28 avril 2017
    nul. Les films qui s'inspirent des jeux vidéos cela à toujours été un échec.de plus les scène d'actions sont brouillons.le film est sombre.bref des progres à faire
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 27 avril 2017
    Mon dieu ce que ce film est ch.... !!! J'ai été grand adorateur du jeu et je ne retrouve rien de ce qui a fait le succès du jeu...
    jeanbawood
    jeanbawood

    6 abonnés 5 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 avril 2017
    "Rappel toi : Rien n'est vrai; Tout est permis", tiré de la licence des jeux vidéo du même nom, Assassin's Creed n'a pas à rougir de son format cinématographique.
    On ce laisse totalement embarqué dans ce film, les fans de la licence de console ne seront pas déçus. On y retrouve toute les idées, les références, les marques de du jeux spoiler: Référence à la pomme d'Eden, le Credo des Assassins, Abstergo, le sectionnement de l'annulaire lors de l'entré dans la confrérie
    .
    On y retrouve une lutte continuelle entre la Confrérie des Assassins et l'ordre ancestral des Templiers. Néanmoins le film ce démarque de la licence en proposant une forme différente en incluant de nouveaux personnages, mais un fond commun spoiler: la recherche de la pomme et la lutte contre les Templiers

    Les acteurs sont convaincants, ont si prête au jeu et on est très vite embarqué dans l'intrigue.
    Les aspects visuels et les combats sont captivants et très bien réalisés.
    Il n'y a qu'une déception pour moi qui est le manque de retour en arrière pour laisser place à un présent trop mise en valeur.
    Donc totalement conquis par ce film !! Je le conseille et je suis en attente d'une prochain nom de la licence.
    Kilian Dayer
    Kilian Dayer

    109 abonnés 838 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 27 avril 2017
    Les implications de Michel Fassbender, Marion Cotillard et Justin Kurzel, un trio ayant très bien fonctionné sur le récent Macbeth, et de la firme Ubisoft elle-même, mastodonte de l’univers vidéo ludique derrière la licence, une parmi tant d’autres, n’y changeront rien. Assassin’s Creed, dans sa version cinématographique 2016, est une coquille vide, un essai qui ne se voudra jamais concluant. L’échec est d’autant plus retentissant que l’Entertainment annonçait ici un renouveau dans l’adaptation des jeux vidéo sur grand écran, manière de dire que les éditeurs des supports originaux s’impliqueraient directement dans la production et l’élaboration, à tous les niveaux, des films qui en découleraient. Cafouillage, surplus d’un orgueil artistique mal placé, scénariste en pleine divagation? Que penser, concrètement, de ce Blockbuster désincarné, maladroit, si ce n’est qu’une fois encore, la machine hollywoodienne et ses tentacules nous livrent le niveau zéro du cinéma sur un plateau richement décoré?

    A la décharge de tout le monde, disons que les jeux vidéo eux-mêmes, dans leurs multiples déclinaisons, sur lesquels le cinéaste aux commandes s’appuie grandement, ne sont pas des exemples de limpidité narrative absolue. Oui, jamais la narration n’aura été la force de la firme Ubisotf, tout du moins depuis la prolifération de ses licences en mode monde ouvert. Pétri de bonnes intentions, de belles idées, la licence se mute en un film amorphe, un exercice de style pompeux qui ne ravira même pas les fans de la première heure. Vide, tout aussi vide qu’artistiquement discutable, le film se veut le résultat d’une addition de toutes les faiblesses de la saga vidéo, sans tenir compte de la moindre de ses qualités ou potentiels. Voyage dans le temps, corrélation entre passé et présent, exploration, des sous-thèmes proprement écartés par la production d’un film qui se veut un concentré malhabile de tout ce que la franchise avait de moins intéressant à offrir.

    Un gâchis, dirons-nous, du fait de la présence d’un acteur au talent indiscutable qui, jusqu’ici, n’avait commis aucun faux pas. Les errances de Justin Kurzel, celui qui était parvenu à redonner un souffle intéressant à une œuvre usée jusqu’à la corde, toujours le même Macbeth, n’augurent elles aussi rien de bon. Le cinéaste, s’il semble pourvu d’un sens particulier de la mise en scène, se noie sous ses effets numériques illisibles et souvent sinistrement brouillons. Si personne ne semble pourtant aussi à la rue que le ou les scénaristes, ici, avouons toutefois que la piètre performance de Marion Cotillard se veut ici comme étant la cerise sur un gâteau fichtrement rassis.

    Tout ça n’est en définitive qu’une illusion de divertissement, un projet tristement creux, une tentative bien malheureusement mise à sac du renouveau de l’adaptation de jeux vidéo au format cinéma. Malhonnête, disons le franchement, envers son public, ce film médiocre se dote d’une fin totalement affligeante, porte ouverte à une suite qu’il me sera strictement impossible de voir tant l’arnaque artistique et narrative suinte ici de toutes les surfaces de la bobine. Décidément, Assassin’s Creed, la franchise, qu’importe son support, s’offre le luxe de la médiocrité. Inquisition espagnole, temps des croisades, renaissance ou révolution française, peu importe, la licence vient de signer son arrêt de mort. 02/20
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