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Le charme profond d'"Un monde sans femmes", sa légèreté enjouée, sa drôlerie comme sa finesse, se trouvent teintés d'une amertume qui contribue évidemment à le rendre précieux.
Brac semble avoir fait sien un trait partagé par bien des oeuvres de ses idoles Nouvelle Vague, un certain sens de l'épiphanie tardive, de l'ultime soubresaut narratif qui éclaire soudain au coeur des films un double fond empreint de miraculeux.
La critique complète est disponible sur le site Libération
La délicatesse, la sincérité, l'authenticité et l'humour discret de ce cinéma sont précieux et font de Guillaume Brac un réalisateur singulier, dont on se plaira à suivre la route.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
(...) le quatuor de personnages est aux petits oignons, et les acteurs qui les incarnent véritablement formidables (...) Guillaume Brac (...) réussit donc haut la main son entrée en matière cinématographique (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Certains films redonnent confiance en l'avenir du cinéma français. (...) Des films qui auraient la fraîcheur superbe, la justesse désinvolte et le goût du dépaysement d'"Un monde sans femmes".
La critique complète est disponible sur le site Positif
Chronique douce-amère sur la beauté des amours de vacances mais aussi sur la misère sexuelle et la solitude, cet épatant moyen métrage révèle un auteur, Guillaume Brac, et un grand acteur, Vincent Macaigne.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'équilibre qu'il maintient entre légèreté et gravité, l'intérêt qu'il suscite pour ses personnages ne dissipent pas complètement l'impression d'une influence un peu scolaire sur le récit.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
On est séduit par la légèreté, la fraîcheur, l'enthousiasme des protagonistes face à la vie et à ses déboires, au temps qui passe doucement au gré d'activités peu lucratives mais si authentiques.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Guillaume Brac brosse le portrait de deux adultes tiraillés entre leurs idéaux et un quotidien peu conforme à leurs rêves de jeunesse, et d'une adolescente étonnament mature. En prenant le parti d'en rire, le cinéaste fait mouche.
On voit bien où veut en venir Guillaume Brac : trousser une romance légère et affligée, drôle mais viciée, entre Rohmer et Houellebecq. Et si cette dernière influence a tendance à charger la mule sociologisante de ce moyen-métrage applaudi en festivals, il ne brise en rien les vibrations érotiques, ce sentimentalisme tordu, fragile, modulé par le cinéaste avec grâce et subtilité.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
20 Minutes
On se laisse prendre par le charme tendre de ce bijou fragile.
Cahiers du Cinéma
Le charme profond d'"Un monde sans femmes", sa légèreté enjouée, sa drôlerie comme sa finesse, se trouvent teintés d'une amertume qui contribue évidemment à le rendre précieux.
Les Inrockuptibles
Brac saisit gracieusement tous les ressorts du jeu de la séduction, les insaisissables atermoiements du coeur, du désir et de la raison.
Libération
Brac semble avoir fait sien un trait partagé par bien des oeuvres de ses idoles Nouvelle Vague, un certain sens de l'épiphanie tardive, de l'ultime soubresaut narratif qui éclaire soudain au coeur des films un double fond empreint de miraculeux.
La Croix
La délicatesse, la sincérité, l'authenticité et l'humour discret de ce cinéma sont précieux et font de Guillaume Brac un réalisateur singulier, dont on se plaira à suivre la route.
Le Monde
(...) le quatuor de personnages est aux petits oignons, et les acteurs qui les incarnent véritablement formidables (...) Guillaume Brac (...) réussit donc haut la main son entrée en matière cinématographique (...).
Positif
Certains films redonnent confiance en l'avenir du cinéma français. (...) Des films qui auraient la fraîcheur superbe, la justesse désinvolte et le goût du dépaysement d'"Un monde sans femmes".
Première
La fine partition de Vincent Macaigne et Laure Calamy (...) accompagne idéalement la subtile écriture de Brac.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Télérama
Chronique douce-amère sur la beauté des amours de vacances mais aussi sur la misère sexuelle et la solitude, cet épatant moyen métrage révèle un auteur, Guillaume Brac, et un grand acteur, Vincent Macaigne.
Critikat.com
L'équilibre qu'il maintient entre légèreté et gravité, l'intérêt qu'il suscite pour ses personnages ne dissipent pas complètement l'impression d'une influence un peu scolaire sur le récit.
L'Humanité
On est séduit par la légèreté, la fraîcheur, l'enthousiasme des protagonistes face à la vie et à ses déboires, au temps qui passe doucement au gré d'activités peu lucratives mais si authentiques.
Le Figaroscope
Fantaisie et naturel, un moyen métrage dans la lignée de Jacques Rozier ou de Pascal Thomas.
Les Fiches du Cinéma
Guillaume Brac brosse le portrait de deux adultes tiraillés entre leurs idéaux et un quotidien peu conforme à leurs rêves de jeunesse, et d'une adolescente étonnament mature. En prenant le parti d'en rire, le cinéaste fait mouche.
TéléCinéObs
On voit bien où veut en venir Guillaume Brac : trousser une romance légère et affligée, drôle mais viciée, entre Rohmer et Houellebecq. Et si cette dernière influence a tendance à charger la mule sociologisante de ce moyen-métrage applaudi en festivals, il ne brise en rien les vibrations érotiques, ce sentimentalisme tordu, fragile, modulé par le cinéaste avec grâce et subtilité.
L'Express
(...) les bavardages du coeur ont quelque chose de fatigant et d'affreusement passés de mode.