Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Ouest France
par Sylvestre Picard
Si le scénario laisse souvent pantois, la virtuosité technique et visuelle laisse carrément bouche bée.
Première
par Sylvestre Picard
"Transformers : The Last Knight" est un puissant geste de cinéma dont l'effet vertigineux est démultiplié par les conditions dans lesquelles vous le verrez. Il convient donc de le voir dans une salle IMAX 3D (...). Mais le spectacle sera alors totalement garanti.
La critique complète est disponible sur le site Première
Public
par La Rédaction
Les enfants vont adorer revoir leurs jouets préférés se métamorphoser en grandeur XXL.
Closer
par La Rédaction
Combats épiques, explosions à grand renfort de ralentis, effets spéciaux plus vrais que nature... La recette de "Transformers", éprouvée, s'avère diablement efficace.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
L’atout majeur, au-delà de la dimension spectaculaire et divertissante, réside dans la technique. Les effets spéciaux, leur design et réalisation, correspondent à un blockbuster de cette taille, mais atteignent un impact visuel époustouflant en relief avec le procédé Imax.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Cinquième opus d’une franchise à fort rendement commercial, le présent épisode ne faillit pas à la règle qui est de surenchérir, d’un numéro à un autre, dans la prouesse technologique et les effets spectaculaires, sans trop se préoccuper du reste. Mission accomplie.
Le Quotidien de Paris
par Jean-Pierre Andrevon
Si incontestablement qu'on s'amuse, l'ensemble, trop disparate, peine à convaincre et laisse l'impression que trop c'est trop.
CNews
par La Rédaction
Malgré la présence intense et salvatrice d’Anthony Hopkins et des effets spéciaux qui demeurent spectaculaires, le film peine à renouveler sa recette, dont les purs fans sauront toutefois pleinement se contenter.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un spectacle de destruction massive partiellement décérébrant qui remplit son cahier des charges.
Le Monde
par Mathieu Macheret
On atteint là un stade de dégénérescence terminal du grand spectacle hollywoodien, employant la pointe de la technologie actuelle à faire précisément n’importe quoi, sans croire un seul instant à ce qu’il raconte, avec une inconséquence si décomplexée qu’elle forcerait presque le respect.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Renaud Baronian
Ce avant de réécrire l'histoire : les Autobots sont montrés en sauveurs de l'humanité, aidant les Terriens dans les grands conflits mondiaux. Voilà pour le scénario, édifiant. Restent les effets spéciaux, bluffants, et les effets sonores, tonitruants. A réserver aux fans absolus ou aux malentendants.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoareau
Sans surprise, ce cinquième opus foutraque et déplorable s’inscrit dans la lignée de ses prédécesseurs.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
À l’instar de Terrence Malick, autre démiurge fou situé à l’autre bout du spectre de l’industrie, là où les extrémités se rejoignent, Michael Bay est le seul maître à bord de son bateau ivre et assume de plonger tout entier dans le seul endroit qui l’ait jamais intéressé : l’image comme vortex dévorant et régurgitant. Ce pourrait être sublime, c’est surtout harassant.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Le Figaro
par La Rédaction
Si on sait que Transformers ne resplendit pas grâce à son scénario, alors pourquoi en faire un ? Mad Max a prouvé que l'on pouvait faire un film d'action pur et dur et être un excellent divertissement. Michael Bay crée quant à lui des intrigues inutiles et invite une pléthore de personnages secondaires aussi fugace qu'inutile.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Libération
par Didier Péron
Le film impitoyablement bavard finit quand même par se taire quand se lève l’espèce de bouquet final où semble se déchaîner, comme en libre parcours de poulets décapités, l’armée des graphistes numériques griffant nerveusement la palette graphique entre agonie et orgasme.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Alexandre Poncet
Définition de la notion d'opportunisme selon le Larousse : "attitude consistant à régler sa conduite selon les circonstances du moment, que l'on cherche à utiliser toujours au mieux de ses intérêts." Exemple concret : Transformers: The Last Knight de Michael Bay, et la "saga" dans son ensemble.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
Positif
par Adrien Gombeaud
Mark Wahlberg paraît si démotivé qu'il en devient touchant.
aVoir-aLire.com
par Romain Dubois
Enlisé dans un bourbier de beaufitude et enchaînant les mauvaises idées dans sa vacuité habituelle désormais, rien ne sauvera la franchise du naufrage.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Ouest France
Si le scénario laisse souvent pantois, la virtuosité technique et visuelle laisse carrément bouche bée.
Première
"Transformers : The Last Knight" est un puissant geste de cinéma dont l'effet vertigineux est démultiplié par les conditions dans lesquelles vous le verrez. Il convient donc de le voir dans une salle IMAX 3D (...). Mais le spectacle sera alors totalement garanti.
Public
Les enfants vont adorer revoir leurs jouets préférés se métamorphoser en grandeur XXL.
Closer
Combats épiques, explosions à grand renfort de ralentis, effets spéciaux plus vrais que nature... La recette de "Transformers", éprouvée, s'avère diablement efficace.
Franceinfo Culture
L’atout majeur, au-delà de la dimension spectaculaire et divertissante, réside dans la technique. Les effets spéciaux, leur design et réalisation, correspondent à un blockbuster de cette taille, mais atteignent un impact visuel époustouflant en relief avec le procédé Imax.
Le Dauphiné Libéré
Cinquième opus d’une franchise à fort rendement commercial, le présent épisode ne faillit pas à la règle qui est de surenchérir, d’un numéro à un autre, dans la prouesse technologique et les effets spectaculaires, sans trop se préoccuper du reste. Mission accomplie.
Le Quotidien de Paris
Si incontestablement qu'on s'amuse, l'ensemble, trop disparate, peine à convaincre et laisse l'impression que trop c'est trop.
CNews
Malgré la présence intense et salvatrice d’Anthony Hopkins et des effets spéciaux qui demeurent spectaculaires, le film peine à renouveler sa recette, dont les purs fans sauront toutefois pleinement se contenter.
Le Journal du Dimanche
Un spectacle de destruction massive partiellement décérébrant qui remplit son cahier des charges.
Le Monde
On atteint là un stade de dégénérescence terminal du grand spectacle hollywoodien, employant la pointe de la technologie actuelle à faire précisément n’importe quoi, sans croire un seul instant à ce qu’il raconte, avec une inconséquence si décomplexée qu’elle forcerait presque le respect.
Le Parisien
Ce avant de réécrire l'histoire : les Autobots sont montrés en sauveurs de l'humanité, aidant les Terriens dans les grands conflits mondiaux. Voilà pour le scénario, édifiant. Restent les effets spéciaux, bluffants, et les effets sonores, tonitruants. A réserver aux fans absolus ou aux malentendants.
Les Fiches du Cinéma
Sans surprise, ce cinquième opus foutraque et déplorable s’inscrit dans la lignée de ses prédécesseurs.
Les Inrockuptibles
À l’instar de Terrence Malick, autre démiurge fou situé à l’autre bout du spectre de l’industrie, là où les extrémités se rejoignent, Michael Bay est le seul maître à bord de son bateau ivre et assume de plonger tout entier dans le seul endroit qui l’ait jamais intéressé : l’image comme vortex dévorant et régurgitant. Ce pourrait être sublime, c’est surtout harassant.
Le Figaro
Si on sait que Transformers ne resplendit pas grâce à son scénario, alors pourquoi en faire un ? Mad Max a prouvé que l'on pouvait faire un film d'action pur et dur et être un excellent divertissement. Michael Bay crée quant à lui des intrigues inutiles et invite une pléthore de personnages secondaires aussi fugace qu'inutile.
Libération
Le film impitoyablement bavard finit quand même par se taire quand se lève l’espèce de bouquet final où semble se déchaîner, comme en libre parcours de poulets décapités, l’armée des graphistes numériques griffant nerveusement la palette graphique entre agonie et orgasme.
Mad Movies
Définition de la notion d'opportunisme selon le Larousse : "attitude consistant à régler sa conduite selon les circonstances du moment, que l'on cherche à utiliser toujours au mieux de ses intérêts." Exemple concret : Transformers: The Last Knight de Michael Bay, et la "saga" dans son ensemble.
Positif
Mark Wahlberg paraît si démotivé qu'il en devient touchant.
aVoir-aLire.com
Enlisé dans un bourbier de beaufitude et enchaînant les mauvaises idées dans sa vacuité habituelle désormais, rien ne sauvera la franchise du naufrage.