Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Gala
par Marie Haynes
Sans jamais tomber dans le pathos et ni dans l’excès, Marine Foïs excelle dans le rôle de cette femme qui ne supporte son existence qu’à travers l’alcool et le fantasme d’une autre vie incarnée par Nabil.
La critique complète est disponible sur le site Gala
Libération
par Didier Péron
Adaptation d’un roman de Duras, le premier long métrage de Fabrice Camoin séduit par son atmosphère étrange.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Yannick Lemarié
Certes, on pourrait reprocher certaines facilités à ce premier long métrage, mais ces peccadilles n'ôtent rien à la qualité d'ensemble d'un ouvrage fort bien conçu.
Voici
par La rédaction
Belle adaptation d'un livre de Duras.
L'Obs
par La Rédaction
La situation a quelque chose d’improbable, que le film peine à dépasser, même s’il est très correctement réalisé. Les acteurs font très bien ce qu’ils ont à faire, sans réussir à donner à "Orage" le souffle qui l’élèverait au-dessus du niveau moyen.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Une adaptation, sensible mais un peu laborieuse, du roman de Marguerite Duras, “Dix heures et demie du soir en été”.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Des péripéties invraisemblables mais énoncées habilement, et que Marina Foïs et Sami Bouajila habitent avec force dans une atmosphère tout électrique.
Les Fiches du Cinéma
par Aude Jouanne
Mélancolique et juste, cette libre adaptation de Marguerite Duras manque quelque peu de profondeur.
Première
par Isabelle Danel
Si les raisons qui poussent l’héroïne à sauver le meurtrier donnent le vertige, l’ensemble manque de corps et de punch. C’est dommage car en ajoutant le prisme du racisme et en jouant avec les temporalités (l’action se situe aujourd’hui mais semble hantée par le passé), le réalisateur ne manquait ni d’idées ni d’ambition.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Le récit s'étiole inexorablement.
VSD
par Olivier Bousquet
Un road-movie qui se plaît à faire la gueule.
Le Monde
par Isabelle Regnier
Ce qui frappe dans ce premier film, c'est la laideur morale de tous les personnages.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
On fume beaucoup dans ce film. Au final, c'est l'intensité qui part en fumée.
aVoir-aLire.com
par La rédaction cinéma
Malgré un fort potentiel, cette adaptation d’un roman de Marguerite Duras passe à côté de son sujet.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Gala
Sans jamais tomber dans le pathos et ni dans l’excès, Marine Foïs excelle dans le rôle de cette femme qui ne supporte son existence qu’à travers l’alcool et le fantasme d’une autre vie incarnée par Nabil.
Libération
Adaptation d’un roman de Duras, le premier long métrage de Fabrice Camoin séduit par son atmosphère étrange.
Positif
Certes, on pourrait reprocher certaines facilités à ce premier long métrage, mais ces peccadilles n'ôtent rien à la qualité d'ensemble d'un ouvrage fort bien conçu.
Voici
Belle adaptation d'un livre de Duras.
L'Obs
La situation a quelque chose d’improbable, que le film peine à dépasser, même s’il est très correctement réalisé. Les acteurs font très bien ce qu’ils ont à faire, sans réussir à donner à "Orage" le souffle qui l’élèverait au-dessus du niveau moyen.
Le Dauphiné Libéré
Une adaptation, sensible mais un peu laborieuse, du roman de Marguerite Duras, “Dix heures et demie du soir en été”.
Le Journal du Dimanche
Des péripéties invraisemblables mais énoncées habilement, et que Marina Foïs et Sami Bouajila habitent avec force dans une atmosphère tout électrique.
Les Fiches du Cinéma
Mélancolique et juste, cette libre adaptation de Marguerite Duras manque quelque peu de profondeur.
Première
Si les raisons qui poussent l’héroïne à sauver le meurtrier donnent le vertige, l’ensemble manque de corps et de punch. C’est dommage car en ajoutant le prisme du racisme et en jouant avec les temporalités (l’action se situe aujourd’hui mais semble hantée par le passé), le réalisateur ne manquait ni d’idées ni d’ambition.
Studio Ciné Live
Le récit s'étiole inexorablement.
VSD
Un road-movie qui se plaît à faire la gueule.
Le Monde
Ce qui frappe dans ce premier film, c'est la laideur morale de tous les personnages.
Le Parisien
On fume beaucoup dans ce film. Au final, c'est l'intensité qui part en fumée.
aVoir-aLire.com
Malgré un fort potentiel, cette adaptation d’un roman de Marguerite Duras passe à côté de son sujet.