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    À cœur ouvert
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    2,3
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    68 critiques spectateurs

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    maximepeca
    maximepeca

    2 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 18 août 2012
    Scénario aussi mauvais qu'improbable. Les événements s'enchainent sans qu'on comprenne réellement où l'on veut nous emmener. Plat. Mais que fait Juliette Binoche là-dedans ?! Les personnages sont si antipathiques qu'on ne s'attache jamais, on décroche, on a envie de sortir de la salle.
    Fuyiez, moins bien qu'un téléfilm TF1 !
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 189 abonnés 7 500 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 août 2012
    Javier & Milla sont deux chirurgiens cardiaques qui excellent dans leur domaine mais leur vie couple bat de l’aile. Si tous deux parviennent à redonner une seconde vie aux cœurs de leur patients, c’est bien le cœur de leur couple qui bat de l’aile continuellement. Javier sous constante perfusion d’alcool et Milla enceinte jusqu’au cou parviendront-ils à recoller les morceaux et à sauver leur couple avant que leur relation ne vire au cauchemar ? Pour son second long-métrage (de cinéma), Marion Laine a adapté le roman "Remonter l’Orénoque", de Mathias Énard (publié en 2005) et en a restitué un joli drame passionnel qui hélas a tendance à tourner en rond et donc, à devenir répétitif (on fera abstraction de la fin flirtant avec l’onirisme, ne sachant pas trop où a voulu en venir la réalisatrice). Malgré cela, il faut bien admettre que le duo formé par Juliette Binoche & Edgar Ramírez est criant de vérité, deux acteurs de talent, à commencer par Binoche (qui n’a plus rien à prouver) et Ramírez, acteur vénézuélien peu connu en France mais qui s’était révélé aux grand public grâce au téléfilm Carlos (2010).
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 16 août 2012
    excellent film entre
    sauvés des vies et vivre leur histoire d'amour fou mélangé entre la passion et destruction .
    Binoche toujours belle .
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 16 août 2012
    Eh chaud devant ! Une prise de tête, une ! Un couple à l'aise dans la vie. Bonnes situations professionnelles. Bons coups, autant elle que lui ; ils s'aiment. Pourtant, ils se prennent bien la tête. Surtout lui : il boit, sans que l'on comprenne bien son désarroi. Mila aime-t-elle Javier ? Javier veut-il vraiment du bébé de Mila ? Bref ça tourne un peu en rond. Du pur cinéma subventionné !
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 16 août 2012
    Affligeant au possible, film totalement vide, sans intérêt, à éviter absolument
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 16 août 2012
    Très beau film, qui m'a beaucoup embarqué. Un film qui montre comment l'alcool peut détériorer une personne et plus particulièrement une vie de couple. Je le conseille
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 15 août 2012
    Ce film n'est en aucune manière crédible du début jusqu'à la fin !
    Evitez de gaspiller votre argent.
    Ievut
    Ievut

    13 abonnés 14 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 août 2012
    Dramatique. Le couple choisi excellent, profitent la présence d'un autre chaque moment... L'amour éternel mais malheureux...

    2 heures passent très vite. Dommage.
    traversay1
    traversay1

    3 567 abonnés 4 859 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 15 août 2012
    Avec son scénario chétif, A coeur ouvert avait intérêt à être réalisé avec originalité et talent pour que le notre, de coeur, palpite. Parce que cette histoire d'un couple de chirurgiens dont l'amour fusionnel est mis en péril par l'alcoolisme de l'un et la maternité de l'autre menaçait fort de ne pas tenir la route sur 90 minutes. C'est bien le cas, et la réalisation de Marion Laine, malheureusement, renforce une impression d'artificialité alors que la volonté est de parvenir à un sommet de romantisme, désir symbolisé par les dix dernières minutes oniriques du film, ridicules au possible. Edgar Ramirez et Juliette Binoche forment un couple bien charnel, auquel on croit, mais dans cette fiction stéréotypée et figée dans ses bonnes intentions, ils ne peuvent que surnager avec leurs qualités de comédiens sans pouvoir sauver quoi que ce soit. A coeur vaillant, ce n'est pas toujours possible.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 15 août 2012
    Tres bon film, interprétation remarquable. L'histoire est assez originale tout en restant une tranche de vie. Libre a chacun d'interpréter la fin
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 15 août 2012
    Une très bonne interprétation et une histoire bouleversante.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 14 août 2012
    Malgré un thème qui paraissait intéressant, je n'ai vraiment ressenti aucune émotion dans ce film........

    A éviter.............
    gemini-hell
    gemini-hell

    26 abonnés 395 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 21 août 2012
    Marion Laine, la même qui avait signé le très beau « Un Cœur Simple » avec les remarquables Sandrine Bonnaire et Marina Foïs ? Impossible, il doit s’agir d’un homonyme ou alors la dame a de graves ennuis de santé. Ainsi donc, les deux protagonistes principaux de son film sont chirurgiens et vivent ensemble tels des adolescents attardés qui s’éclatent en boîte, écument tous les troquets de leur quartier en connaissant les noms de chaque barman et qui baisent ensemble comme au premier jour. Une vraie vie de dingues de chirurgiens quoi ! Tout semble bien aller pour eux, leur professionnalisme est hautement reconnu sauf que le monsieur qui a un accent français à couper au couteau, le cheveux hirsute, la barbe en bataille, qui bouffe de la glace à même le pot vautré sur son canapé, a un sérieux penchant pour la bouteille. L’occasion nous est ainsi donnée d’observer notre héros cradingue en train de vomir, d’abattre les murs de son appartement et de le voir gambader pieds nus dans la rue et dans les zoos. Et puis patatras, voilà madame qui tombe enceinte et nous, spectateurs ébahis, on tombe sur le cul (Juliette Binoche, 48 printemps tout de même la bougresse). Enfin, quand certains rôles possèdent les velléités du Botox, après tout on en a vu tellement d’autres. Faut-il réellement poursuivre ? « A Cœur Ouvert » est le prototype parfait du film pour bobos, qui se prend très au sérieux mais qui au final se révèle hautement ridicule, improbable et nauséabond. En roue libre, Binoche fait du Binoche et Edgar Ramirez insupporte avec son interprétation catastrophique. Les seconds rôles sont tous inconsistants. Un ratage total.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 14 août 2012
    "no es posible !" comment Marion Laine a su attirer dans ses méandres scénaristiques une actrice telle que Juliette Binoche ? un acteur tel qu'Hypolite Girardot ? je peux comprendre qu'Edgar Ramirez ne sachant pas bien lire le français ait pu accepter à coup de "es un actor formidable" mais pour le reste .... On s'ennuie au fil de l'alcool qui remplit le sang de l'acteur principal, son serviteur Carlos ... pardon; Edgar affublé d'un autre prénom dans le film : Javier. On s'ennuie ferme, coma ethylique assuré, d'ailleurs je préconise trois bons verres de sangria avant de visionner ce film histoire d'éclater de rire aux très rares moments de comédie présents dans l'histoire. Que dire ? Juliette Binoche est une si belle et bonne actrice qu'il m'est difficile d'approuver son choix, voir ses derniers choix cinématographiques. Juliette fait de la moto, Juliette fait la fête, Juliette rit, Juliette opère à coeur ouvert et réussit, Juliette est enceinte, gardera gardera pas ? Sur M6 il y a des années de ça, je regardais les séries B le mercredi avant d'entamer mes devoirs de littéraire passionnée. L'erreur est humaine ..... idem pour Marion Laine. N'ayant pas vu son premier opus, je me laisse le troisième pour me décider mais concernant celui-ci, je ne peux pas conseiller d'y aller. C'est assez mauvais. Et cette fin complétement tirée au ridicule. Une séance de ciné remboursée, ça n'existe pas ? dommage ! ça devrait.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 14 août 2012
    Mon blog cinéma: http://ombreserrantes.com/

    J’ai vu ce film suite à une bévue assez désopilante, il faut bien le dire: j’avais l’intention de voir le film Voie Rapide dont j’avais oublié le titre. Du coup, une substitution inconsciente , de l’ordre du lapsus memoriae, a opéré une confusion entre « coeur ouvert » et l’expression « tombeau ouvert » dont le champ sémantique se rapproche de l’univers de la vitesse avec toute la fascination mortifère qu’elle provoque sur la voiture comme instrument de mort et de puissance: voici pour l’autoanalyse à deux centimes d’euro
    Bref, me voici littéralement enfermé dans la salle de cinéma après m’être rendu compte de mon erreur, et j’avoue que je l’ai payée au prix fort . J’ai dû avaler une espèce de soupe indigeste, de mélasse niaiseuse, nauséabonde qui se complaît dans un sentimentalisme béat en croyant s’aventurer sur les terrains de la grande fiction romanesque avec son lot de souffle mélodramatique, d’ascension vers l’absolu du sentiment, dans une relecture grandiose de la passion comme souffle révolutionnaire face à la pesanteur de la communauté. Enfin, tout cela c’est sans doute ce qu’ a voulu faire la réalisatrice car le résultat, assez pitoyable, à défaut d’être pathétique dans ses moyens d’expression, culmine à un degré de lourdeur et de bêtise, à mi-chemin, pour parler vite, entre Plus Belle la Vie et Urgences ( tout en s’autoproclamant dans la lignée de Sirk, Doillon, Zulawski, pour élucider les références lourdement distillées par la réalisatrice tout au long de cette mixture).
    Nous sommes dans un hôpital, au service chirurgie cardiaque où travaille de concert un couple de personnages joués par notre oscarisée Binoche et Edgar Ramirez( l’ex-admirable Carlos d’Assayas, ici transmuté en pithécanthrope adipeux et alcoolique qui multiplie les signes d’un pseudo charme-latino en égrenant des formules d’une rare subtilité, citons celle-ci au hasard au moment où le couple projette de partir sous d’autres cieux: » j’aimerais té voirrrr nou sour oune île desserte… »,: ai-je besoin de commenter cet alexandrin au lyrisme échevelé?). Deux amoureux pris sous le feu incendiaire de la passion dans un service de cardiologie om l’on remplace des coeurs: mon esprit, toujours très alerte, s’est demandé à la vitesse de l’éclair s’il n’y avait pas là quelque chose de l’ordre de la métaphore, mais ce réflexe interprétatif est, sans doute, bien audacieux.
    Dans l’inconscience de ses sentiments débridés, la pauvre Juliette n’a pas l’air de prendre conscience que son amant a de graves problèmes avec l’alcool , il est pourtant imbibé du matin jusqu’au soir, ce qui commence à poser certains problèmes au chef de service qui va devoir prendre des solutions radicales. Un drame humain et existentiel va alors de déclencher: Pithecanthropus pilosus ( et debilus, d’ailleurs) va sombrer dans l’abîme de l’autodestruction, aidé, dans les limites de ses moyens, par Binoche, qui oscille entre empathie fusionnelle et scènes hystériques où elle singe ( pour Ramirez, notez que c’est normal), la grande violence des sentiments qu’elle magnifiait dans ses débuts avec Téchiné. En plus elle a oublié sa pilule( elle a pas l’air de bien comprendre comment ça fonctionne d’ailleurs, comme le suggère la discussion avec une de ses collègues: elle travaille dans quelle branche déjà?), et elle a un polichinelle dans le tiroir: et dire que notre couple adorée désirait se retrouver en-dehors de ses habitudes calcifiantes en retrouvant une virginité spirituelle près des chutes d’Iguazu ( notons au passage le sous-rousseauisme boboïsant insupportable qui irrigue tout le film, notamment dans les escapades de Ramirez au zoo où il vaut entrer dans la cage avec les singes: une sorte de confraternité sans doute, bref…).
    Je passerai sous silence la fin, qui se vautre dans une invraisemblance absolue, où la réalisatrice conjugue pathos, indécence et ridicule avec un sens inné des proportions.

    Un navet écoeurant.

    Mon blog cinéma: http://ombreserrantes.com/
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