Avis : À cœur ouvert - Page 4

Il y a beaucoup de longueurs dans cette histoire d'amour d'un couple de chirurgiens qui vivent une folle passion, en dépit des penchants de l'homme pour l'alcool. Moi qui d'habitude aime beaucoup J.Binoche, je trouve que ce role ne lui ressemble pas du tout et que son jeu est forcé. Le scénario n'est pas d'une grande richesse et les scènes se répètent, dans une histoire pas très crédible (mis à part les scènes du bloc operatoire)

Bon film. Amours torride entre chirurgien. Homme alcoolique mais l amour est tellement présent que le couple reste uni. Un enfant mais il ne change pas, engueulade , elle le cherche mauvaise chute et plusieurs fin peuvent être imaginées. Juliette Binoche est excellente. Bon film à vous.

« Il y a l'amour. Et puis il y a la vie, son ennemie. » Jean Anouilh... c'est vai, la réalisation est à travailler. Manque de confiance peut-être? Mais le sujet est là, les acteurs vraiment présents. Vivants. La seconde partie du film est plus aboutie et je plains ceux du public qui n'auront pas compris la fin... Qui donne sa poésie au film, et son dénouement... Et qui pardonne les longueurs et les erreurs que bien d'autres réalisateurs ont fait au début de leur carrière. Une belle histoire en tout cas... Merci;-)

Très beau film de Marion Laine, Le couple Juliette Binoche et Edgar Ramirez fonctionne a merveille. Ce film romantique change des films d'amour que l'on a l'habitude de voir au cinéma. Aborder un sujet grave comme celui de l'addiction n'est pas chose facile. Marion Laine réussit son pari en adaptant le roman de Mathias Enard. LE FILM ROMANTIQUE DE L'ETE !!!

C'est nul, y'a rien, le scénario est vide, c'est lent, on s'ennuie.

j'ai pas du tout accroché. j'ai trouvé des les première images beaucoup de violence. et la suite m a fait complètement déconnecter. le sujet de l alcoolisme comme il est traité ne m'a pas créer la moindre émotion. Dommage parce que de bons acteurs.

Quel film ! Un sujet en apparence banale l'amour dans un couple ! Mais le réalisateur bouleverse les codes et livre un film magnifique. L'arrivée d'un enfant, la perte d'un emploi, l'alcool n'est pas toujours simple pour un couple, c'est à première vue le message que veut transmettre le réalisateur. Toute fois tout au long du film on comprend que oui la vie de couple n'est pas toujours simple mais l'amour est souvent plus fort que tout et que le danger peut parfois en rapprocher plus d'un ! A voir !!

Affligeant au possible, film totalement vide, sans intérêt, à éviter absolument

"A coeur ouvert" raconte l'histoire d'une descente aux enfers, suspendue par quelques moments de grâce. Un éternel recommencement qui n'est pourtant pas une répétition. La réalisatrice filme avec quelque chose d'à la fois fiévreux et tenu ce temps suspendu à la passion, qui ne passe pas et pourtant passe et passe encore parce que le temps est forcément en marche, et qu'un enfant arrive. Le film avance comme on plongerait en apnée, permettant tout juste de prendre sa respiration avant de replonger. Et puis il y a les acteurs : la luminosité de Juliette Binoche, la présence d'Edgar Ramirez et la trop rare Aurélia Petit ! Bref courez-y !

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J’ai vu ce film suite à une bévue assez désopilante, il faut bien le dire: j’avais l’intention de voir le film Voie Rapide dont j’avais oublié le titre. Du coup, une substitution inconsciente , de l’ordre du lapsus memoriae, a opéré une confusion entre « coeur ouvert » et l’expression « tombeau ouvert » dont le champ sémantique se rapproche de l’univers de la vitesse avec toute la fascination mortifère qu’elle provoque sur la voiture comme instrument de mort et de puissance: voici pour l’autoanalyse à deux centimes d’euro
Bref, me voici littéralement enfermé dans la salle de cinéma après m’être rendu compte de mon erreur, et j’avoue que je l’ai payée au prix fort . J’ai dû avaler une espèce de soupe indigeste, de mélasse niaiseuse, nauséabonde qui se complaît dans un sentimentalisme béat en croyant s’aventurer sur les terrains de la grande fiction romanesque avec son lot de souffle mélodramatique, d’ascension vers l’absolu du sentiment, dans une relecture grandiose de la passion comme souffle révolutionnaire face à la pesanteur de la communauté. Enfin, tout cela c’est sans doute ce qu’ a voulu faire la réalisatrice car le résultat, assez pitoyable, à défaut d’être pathétique dans ses moyens d’expression, culmine à un degré de lourdeur et de bêtise, à mi-chemin, pour parler vite, entre Plus Belle la Vie et Urgences ( tout en s’autoproclamant dans la lignée de Sirk, Doillon, Zulawski, pour élucider les références lourdement distillées par la réalisatrice tout au long de cette mixture).
Nous sommes dans un hôpital, au service chirurgie cardiaque où travaille de concert un couple de personnages joués par notre oscarisée Binoche et Edgar Ramirez( l’ex-admirable Carlos d’Assayas, ici transmuté en pithécanthrope adipeux et alcoolique qui multiplie les signes d’un pseudo charme-latino en égrenant des formules d’une rare subtilité, citons celle-ci au hasard au moment où le couple projette de partir sous d’autres cieux: » j’aimerais té voirrrr nou sour oune île desserte… »,: ai-je besoin de commenter cet alexandrin au lyrisme échevelé?). Deux amoureux pris sous le feu incendiaire de la passion dans un service de cardiologie om l’on remplace des coeurs: mon esprit, toujours très alerte, s’est demandé à la vitesse de l’éclair s’il n’y avait pas là quelque chose de l’ordre de la métaphore, mais ce réflexe interprétatif est, sans doute, bien audacieux.
Dans l’inconscience de ses sentiments débridés, la pauvre Juliette n’a pas l’air de prendre conscience que son amant a de graves problèmes avec l’alcool , il est pourtant imbibé du matin jusqu’au soir, ce qui commence à poser certains problèmes au chef de service qui va devoir prendre des solutions radicales. Un drame humain et existentiel va alors de déclencher: Pithecanthropus pilosus ( et debilus, d’ailleurs) va sombrer dans l’abîme de l’autodestruction, aidé, dans les limites de ses moyens, par Binoche, qui oscille entre empathie fusionnelle et scènes hystériques où elle singe ( pour Ramirez, notez que c’est normal), la grande violence des sentiments qu’elle magnifiait dans ses débuts avec Téchiné. En plus elle a oublié sa pilule( elle a pas l’air de bien comprendre comment ça fonctionne d’ailleurs, comme le suggère la discussion avec une de ses collègues: elle travaille dans quelle branche déjà?), et elle a un polichinelle dans le tiroir: et dire que notre couple adorée désirait se retrouver en-dehors de ses habitudes calcifiantes en retrouvant une virginité spirituelle près des chutes d’Iguazu ( notons au passage le sous-rousseauisme boboïsant insupportable qui irrigue tout le film, notamment dans les escapades de Ramirez au zoo où il vaut entrer dans la cage avec les singes: une sorte de confraternité sans doute, bref…).
Je passerai sous silence la fin, qui se vautre dans une invraisemblance absolue, où la réalisatrice conjugue pathos, indécence et ridicule avec un sens inné des proportions.

Un navet écoeurant.

Mon blog cinéma: http://ombreserrantes.com/
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Mon Dieu, quel ennui, mais quel ennui à regarder ce film. Je me suis forcé à aller jusqu'au bout ... Comment s'intéresser à ces deux guignols, des chirurgiens de 5 ans d'âge mental chacun ... Tout sonne faux ! Les situations, les personnages, le scénario, .... S'il existait une catégorie de films "films de bobos" il y aurait toute sa place ... A fuir !

Deux personnages très entiers, lui est alcoolique et "perturbé", et elle lui pardonne car elle est follement amoureuse et passionnée. Elle va tomber enceinte, et tout va s'effondrer...
Leur relation est tumultueuse, passionnée, et surtout complexe...
Un film qui remue, et qui ne laisse pas indifférent.
Une mention spéciale à Juliette Binoche.

J'ai apprécié ce film sur la descente aux enfers d'un couple qui s'aime passionnément, trop peut-être....!
La difficulté de faire face à l'alcoolisme de l'autre, parce qu'elle est réelle cette difficulté, et l'arrivé d'un enfant qui peut perturber l'équilibre de couple.
La seule chose négative que j'aimerais dire, c'est le manque de respect de la pudeur lors de la dernière scène au bloc opératoire, inconcevable dans la vraie vie....

quand les bobos picolent c'est chiant, comme leur vie, comme cette captation d'image (n'appelons pas ça un film) Edgar Ramírez c'est Actors Studio for the dummies, les figurants ont dû être étonnés.
binoche en mode automatique. roman de Mathias Énard qui n'a jamais lu Bukowski. en fait ils ont claqué la thune dans la partie du tournage en argentine,c'est pour ça que c'est une daube soporifique,triste comme un diner avec Sue Ellen

Dans ce film, Marion Laine semble abandonner toute ambition artistique au profit de métaphores visuelles simplistes ( comme ce bouquet de fleurs fanées...). Cette folie amoureuse en devient risible car outrancière. L'écriture maladroite rappelle certains mélo italiens télévisuels.
Il semble avoir manqué du temps à ce film. Écriture, réalisation et montage semble précipités et pourtant une histoire pareille aurait nécessité un brin de recul.
Enfin, de bons acteurs, qui semblent peu dirigés, permettent au spectateur d'avoir un petit quelque chose à se mettre sous la dent.