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Un visiteur
0,5
Publiée le 1 septembre 2012
Film plat sans suspense. Ennuyeux du début à la fin! Acteurs manquant terriblement de charismes et n'arrivant a nous convaincre qu'a travers de rare scènes d'actions.
Un film qui donne envie de vomir, le caméraman ne sait visiblement pas ce que veut dire stabilité, une caméra qui file le vertige, des acteurs qui n'ont rien a voir avec de vrais acteurs, un film plat sans suspens. Nuuuul
J'étais pas chaud pour voir ce film norvégien...mais je crois que j'ai rarement vu un film de braquage aussi précis, réaliste, où on se sent vraiment au coeur des faits. Ca m'a rappelé le réal Paul Greengrass avec Bloody Sunday et Vol 93 où tout est lent mais la tension permanente et monte en puissance ! C'est vraiment fait de manière originale et genre auteur mais pas chiant ! Une bombe !!
rarement vu un film de braquage aussi lent où tous les personnages sont sous anti depresseur. un flicdans sa voiture se faut allumer au fusil d'assaut, il fait tranquilement une marche arriere sans se baisser et.. pas de chance il meurt.. l'univers du film tourne au ralenti, on n'y croit pas 5min. dommage car l'histoire avait un gros potentiel.
Voici un film qui m'a surpris. Il semble que l'organisation policière allait réellement mal et que les services policiers se soient fait prendre "les culottes baissées". Les revolvers antiques contre des AK-47 montrent bien la différence de niveau de l'armement policier. Des criminels organisés ont tenu les forces de l'ordre en échec durant une trentaine de minutes. Les civils se promenaient sans trop se soucier de la présence de braqueurs en uniforme de SWAT. Ce pourrait même être le cas chez nous, dans la sacro-sainte province de Québec, où "tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil". C'est aussi le cas de la Grande Bretagne, ou les policiers sont rarement armés. Il est malheureux de voir se dérouler une telle pagaille, mais le film est bien réalisé car il semble bien transmettre la réalité de l'inconscience des piétons (le cycliste "qui doit travailler". en particulier et la dame qui va jusqu'à demander au voleur la permission de traverser la rue). On perçoit bien la passivité des "by-standers" alors que le chauffeur d'autobus ne se porte même pas au secours du policier gravement blessé. C'est triste, mais c'est souvent la réalité.