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La sortie en salles de "Java Heat" mérite que l’on s’y attarde. Pas forcément réputé pour sa qualité, le cinéma contemporain indonésien vient de marquer le coup avec une super-production qui malheureusement ne changera pas la donne. Le scénario du film s’avère par contre, au premier abord, intéressant :
spoiler:
un attentat est perpétré à Yogyakarta contre le Sultan (par ailleurs gouverneur). Un jeune américain (Kellan Lutz, qui joue le rôle du beau gosse viril et attachant) est interrogé par un enquêteur rattaché au Densus 88. Le jeune américain, soit disant étudiant mais qui est en fait un agent du FBI doublé d’un Marine (oui, à partir de là, c’est à dire les premières minutes du film, c’est le drame) va donc enquêter aux cotés de son comparse indonésien, afin de découvrir qui est à l’origine de cet acte
. Il faut toutefois reconnaître que si "Java Heat" n’est pas avare de stéréotypes, certaines scènes analysent relativement bien la culture javanaise, et plus particulièrement Yogyakarta. Mais le scénario est tellement bancal, le jeu des acteurs tellement vide, et certaines scènes totalement absurdes, que l’on s’ennuie vite, ce qui est d’autant plus dommage que les productions indonésiennes actuelles sont réellement mauvaises. Le rôle du méchant est tenu par Mickey Rourke (quelle déchéance…) et la scène finale dans le temple de Borobudur résume à elle seule le film : un vrai navet
. Il faut toutefois reconnaître que si "Java Heat" n’est pas avare de stéréotypes, certaines scènes analysent relativement bien la culture javanaise, et plus particulièrement Yogyakarta. Mais le scénario est tellement bancal, le jeu des acteurs tellement vide, et certaines scènes totalement absurdes, que l’on s’ennuie vite, ce qui est d’autant plus dommage que les productions indonésiennes actuelles sont réellement mauvaises. Le rôle du méchant est tenu par Mickey Rourke (quelle déchéance…) et la scène finale dans le temple de Borobudur résume à elle seule le film : un vrai navet
Film d'action qui semble débouler tout droit des années 1990, tant la construction ressemble à s'y méprendre à des films comme "48 heures de plus". On retrouve en effet un scénario d'une linéarité exemplaire, avec l'association classique entre le ricain primaire au grand cœur et le local de l'étape un peu naïf mais apportant la nécessaire sagesse. Le manichéisme de l'univers dans lequel ils évoluent transparaît même dans l'affiche, avec cette magnifique césure horizontale censée rappeler au spectateur un peu neuneu qui sont les gentils et qui est le gros vilain. Ce dernier rôle échoue d'ailleurs dans les mais d'un Mickey Rourke décidément à des années lumières de ses heures de gloire. Plus globalement, le mauvais jeu théâtral semble être l'un des principaux atouts du film, tant chacun rivalise d'ingéniosité pour se montrer sous son plus mauvais jour. Kellan Lutz remporte toutefois haut la main la palme du ridicule, ses interventions étant à peu près de 0,001/10 sur l'échelle de la crédibilité. En somme, "Java Heat" est un film à vite oublier, les nostalgiques du cinoche américain des années 90 gagneront à revenir aux sources afin de trouver leur bonheur.
FaRem
C'est un film très moyen j'ai eu du mal pour le voir jusqu’au bout, le scénario est poussif et pas très intéressant, la VF n'aide pas et les dialogues sont un peu limites.
Un thriller dépaysant, un peu dans la lignée des grands films d'aventure des années 40/50 avec en sus le modernisme dû à notre époque. deux heures qui passent vite malgré parfois de petites baisses de régime. Un bon divertissement.
Java Heat est un film d'action des annees 80 /90. Ni scandaleux ni conscient de soi, le résultat est clair et concis. Malheureusement, Java heat est aussi un film d'action dont les personnages n'ont pas peur des clichés , des dialogues boiteux, et du zero charisme 2/5
Du suspens,de l'action,des acteurs crédibles avec une histoire et un dépaysement asiatique donnent un moment de cinéma agréable sans temps mort, bref un film que je recommande ma note 3.8/5
Tout est assez moyen dans ce film, un début assez lent, visuellement on se croirait dans un film d'action des années 90, les acteurs ne dégage quasiment aucun charisme on a beau essayé de s'attacher à eux rien y fait mais bon en dehors de ça au final il se montre assez sympa malgré un scénario vu et revu à regarder si rien à se mettre sous la dent.
Dik ap Prale
Split screen douteux pour exposer l'affrontement entre un marine body-Buldé (Et non, ce n'est pas une WWE production) et un Mickey Rourke - aussi superflu que dans Double Team (1996). Il est ici le super méchant très mal entouré ce qui participe à cette grosse supercherie. L'histoire... on le comprend aussi vite qu'on est contraint de suivre d'autres événements... est celle d'un braqueur de bijoux qui maquille ses crimes en les dissimulant derrière des attentats à la bombe. L'idée était intéressante, justifiant amplement un affrontement à travers le monde nous amenant jusqu'au lieu d'action, peu exploré dans le cinéma Américain... l'Indonésie. Mais tout est vite laissé pour compte par une surenchère sur l'intrigue: une relation de copinage entre un flic et un marine, une histoire de Kidnapping, la vengeance d'un frère, l'enquête sur les attentats... tout ceci sans doute pour bien faire, fini logiquement par noyer le poisson. A vouloir trop en raconter, le film néglige l'essentiel... son méchant et ses intentions criminelles ainsi que son entourage, ses réseaux qui le rendrait un tant soit peu plus crédible. La seule chose évidente que l'on comprend c'est que l'action se déroule en Asie, parce que monsieur aime les petits garçons. Bien vu l'implantation de l'histoire. Enfin bref, passons les quelques scènes d'action qui promulgue un peu de plaisir et mattons-nous un autre film d'action.
Après Sin City et The Wrestler, on pensait que Mickey Rourke serait à l'abri du besoin et qu'il ne tournerait plus jamais dans un film pour des raisons alimentaires. Le scénario est ultra-prévisible, c'est consternant, Kellan Lutz manque cruellement de charisme et de talent... Les scènes d'action se suivent et se ressemblent, le tout sans aucune cohérence... Au final, Java Heat est clairement un des plus mauvais films de l'année, digne de tout ce que faisait Mickey Rourke dans sa traversée du désert.
On est bien loin du meilleur jeu de role de Mister rourke mais pourtant, ce film se laisse etonnamment bien regardé. suffisant d'action et un scénario qui se tient pour un petit film qui fait son effet. Idéal pour un plateau télé
Une histoire de princesse sur fonds de terrorisme et de coup d'état. Hum... on n'entre jamais dans cette quasi-galère molle comme une peinture de Dali. Pas de rythme, des scènes répétitives... On s'ennuie vraiment à voir se battre et de débattre nos deux héros qui n'y croient pas eux-mêmes. Il manque à ce trop long métrage une étincelle de fun. Pour le reste c'est correct mais ça ne suffit point.
Scénario un peu décevant mais pas mal d'action qui rattrape un peu l'histoire sans suspense. Kellan Lutz est toujours bien foutu et Mickey Rourke joue toujours aussi bien les méchants. Rien de bien nouveau en somme !
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