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Premier Western réalisé par le cinéaste Hongrois André De Toth en 1947 et, même si son travail est propre visuellement, l'histoire sent un peu le déjà vu!
La curiosité pour ma part est de voir pour la première fois l'actrice Veronica Lake dans un long métrage, moi qui la connaît surtout pour son sosie dans le film de 1997 "L.A Confidential" de Curtis Hanson avec Kim Basinger dans le rôle. Ici , elle joue une femme à poigne qui recrute des hommes pour protéger les terres de son mari par des hommes sans scrupules qui veulent les biens. Le réalisateur André De Toth marque sa patte au genre Western qui s'en fera sa spécialité en filmant l'intrigue en noir et blanc , comme un polar, avec de beaux décors et paysages en fond d'écran, de bons comédiens comme la vedette Joël Mc Créa et dans un second rôle Lloyd Bridges. Bon, l'histoire, c'est classique en vu et revu, ce qui n'en fait pas un Western mémorable, c'est bien dommage.
La curiosité pour ma part est de voir pour la première fois l'actrice Veronica Lake dans un long métrage, moi qui la connaît surtout pour son sosie dans le film de 1997 "L.A Confidential" de Curtis Hanson avec Kim Basinger dans le rôle. Ici , elle joue une femme à poigne qui recrute des hommes pour protéger les terres de son mari par des hommes sans scrupules qui veulent les biens. Le réalisateur André De Toth marque sa patte au genre Western qui s'en fera sa spécialité en filmant l'intrigue en noir et blanc , comme un polar, avec de beaux décors et paysages en fond d'écran, de bons comédiens comme la vedette Joël Mc Créa et dans un second rôle Lloyd Bridges. Bon, l'histoire, c'est classique en vu et revu, ce qui n'en fait pas un Western mémorable, c'est bien dommage.
Ce qui me frappe dans ce très bon western c'est un détail sur je n'avait jamais noté car Veronica Lake avait souvent joué avec Alan Ladd tous les deux de petites tailles mais face cette fois au géant Joël McRea (1m87 sous la toise) c'est frappant.
Western sans beaucoup d'originalité mais réalisé dans de beaux paysages. Un personnage droit dans ces bottes respectant la loi. Un propriétaire sans scrupule et deux femmes l'une ange, l'autre démon aimant le même homme. On ne s'ennuie pas mais pas captivé.
Western magnifique, j'ai rarement vu des décors sombres aussi bien filmés. Joel McCrea et Veronica Lake sont parfaits. Andre de Toth qui a réalisé aussi un autre chef d'oeuvre ( La Chevauchée des bannis) est vraiment unique, on sent qu'il a apporté quelque chose de différent dans le western.
Un bon western de sèrie plutôt mieux fait que les autres, car souvent comparè à des films noirs sortis à la même èpoque, et où l'on retrouve tout le soin d'artisan consciencieux du hongrois Andrè De Toth, le borgne de la sèrie B estimable et sans fioritures! En femme de feu, la belle Veronica Lake est dans le genre des chevaux sauvages en imposant sa volontè! Elle contribue pour beaucoup à l'intèrêt que nous prenons à ce western, d'après un roman de Luke Short, même si sa prestation reste finalement en dessous de ses personnages de femme fatale chez Tuttle ou Heisler! Côtè masculin, c'est Joel McCrea qui tient le rôle principal! Et pour les seconds rôles, on reconnaîtra Preston Foster (à l'opposè de son rôle dans "My Friend Flicka"), le jeune Lloyd Bridges, Charles Ruggles et Donald Crisp en shèrif trop gentil! Rien à redire sur les extèrieurs du film où nous pouvons admirer les magnifiques paysages de l'Utah entre montagnes rocheuses et rivières, avec une photographie constamment bonne...
weihnachtsmann
Un western assez moyen il faut le reconnaître. La faute à l'interprétation plus que molle et aux décors de carton pâte. On est loin des grands épopées. Une femme de caractère qui semble bien fragile
Bon western à mon sens par le biais de l'importance du role donné aux femmes. Veronica Lake mais aussi l'interprète de Rose.C'est assez bien écrit, la foi dans la loi du héros est battue en brèche, les décisions des personnages, quel que soit le camp sont étonnantes parfois. Ici pas de blanc ni de noir , quelque chose de plus subtil. Mise en scène intéressante à mon sens également.
J'ai donc mis quatre pour toutes ces raisons mais surtout parce que voir des femmes dans un western avoir d'autres roles que filles de passes dans les saloons, ça me semble intéressant.
J'ai donc mis quatre pour toutes ces raisons mais surtout parce que voir des femmes dans un western avoir d'autres roles que filles de passes dans les saloons, ça me semble intéressant.
C'est le seul western de la carrière de la belle, fascinante et talentueuse blonde qu'était Veronica Lake ; ce qui donne déjà un très grand intérêt à ce film. Mais chose supplémentaire, elle y joue un personnage de caractère donc double grand intérêt. Le problème c'est que son rôle est loin d'être suffisamment exploité à fond et que donc l'actrice n'apparaît pas assez. Mais l'autre problème, c'est que c'est loin d'être le seul problème de ce film très décevant. Rien de ce qui aurait pu donner de l'épaisseur à l'histoire est exploité à l'instar bien sûr déjà de la femme de caractère interprétée par Lake mais aussi d'autres éléments comme l'alcoolisme du personnage joué par Joel McCrea. L'absence de souffle dans la mise en scène et de rebondissements bien orchestrés n'arrangent rien à l'affaire, ce western est raté. Dommage pour la superbe Veronica, heureusement que la comédie et le film noir l'ont beaucoup mieux servi dans sa fulgurante mais mémorable carrière.
Bon ce n’est pas un grand western mais c’est tout à fait regardable. Après des premières minutes un peu mollassonnes le récit trouve son rythme et débouche sur une belle dernière demi-heure. L’histoire qui manque d’originalité capte pourtant l’attention du spectateur par sa mise en scène.
Premier western du cinéaste américain d'origine austro-hongroise André De Toth, Ramrod, plus connu dans nos contrées sous le titre Femme de feu impose la maîtrise technique du cinéaste et pose les bases de ses grands classiques et chefs d'oeuvre à venir. Si la mise en scène demeure impressionnante c'est surtout l'importance accordée au personnage féminin principal interprété par l'épouse du cinéaste, Veronica Lake, qui donne au film toute son originalité et ce bien avant Johnny Guitar de Nicholas Ray réalisé en 1954. Utilisée à contre-emploi, la blonde incendiaire des années 40 apporte toute sa force et sa fragilité à son personnage pour son unique incursion dans le genre. Rôle moteur de l'histoire, elle porte les plus lourdes responsabilités sur la vie et la mort des cowboys qui l'entourent, prêts à tout pour lui rendre service. D'ailleurs, elle n'hésite pas à user de ses charmes et de son oeil de biche pour arriver à ses fins et profiter des fines gâchettes avoisinantes. Adapté d'un roman de Luke Short, Femme de feu peut également se voir comme un véritable Film-noir. Son climat, la photographie, le cadre, tout donne au film une couleur particulière avec ses personnages mi-ange mi-démon, naviguant entre le bien et le mal. Au final, Femme de feu s'impose comme une série B à l'histoire classique (deux clans s'affrontent pour une parcelle de terrain), non dépourvue de longueurs (la traque finale) et qui croule parfois sous une musique grandiloquente, mais l'ensemble est transcendé par une mise en scène inventive qui abonde en défis techniques particulièrement réjouissants.
TTNOUGAT
Un bien curieux film en noir et blanc dont le scénario est déroutant tellement il est complexe. Son mérite ne tient que par les 4 acteurs connus dont Veronika Lake qui est une rareté et une curiosité dans un western. Bien qu'elle soit l'élément déclencheur de cette histoire, on ne la voit pas assez à mon goût, son rôle de femme fatale est contre balancé par l'apaisante Arleen Whelan qui ressemble un peu à Gene Tiernay. Rien n'est traité à fond: ni le coté alcoolique de Dave Nash, ni le coté voyou de Preston Foster, ni le rôle policier du vieux shérif Donald Crisp et le reste est à l'avenant. On a l'impression que le réalisateur ne veut prendre aucun risque; aussi fait-il traîner certaines séquences en longueur jusqu'à les rendre dénuées d'intérêt, comme la chasse à l'homme traqué dans l'obscurité. J'ai vraiment du mal à admettre que John Ford ait pu tomber d'accord avec les patrons d'Enterprise pour tourner un tel scènario.
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