Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Ce documentaire [...] est tout simplement unique.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Excessif
par Romain Le Vern
On pensait subir une publicité vaguement racoleuse à la gloire de la pornstar provoc, on découvre un météore. (...) "Il n'y a pas de rapport sexuel" est aussi et surtout un film libre, à la fois hilarant et pathétique, triste et embarrassant, totalement dépourvu de jugement ou de théorie vaseuse.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Monté avec un sens aigu de la dramaturgie qui n'en fait pas un objet de galerie mais bel et bien de salle obscure, "Il n'y a pas de rapport sexuel" (...) montre aussi les moments de grâce volés à la rapacité de la caméra (...). On se dit qu'il s'en faudrait de peu pour que le surgissement de la beauté dans le porno ne soit plus l'exception mais la règle.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Critikat.com
par Nicolas Maille
De cette rencontre entre deux extrêmes (le X et le cinéma arty), il naît forcément quelque chose de tout aussi extrême : un mélange entre "Le Journal du Hard", "Secret Story" et un documentaire de Wiseman passé aux rayons X.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Isabelle Regnier
La matière en soi est passionnante. Mais elle est loin de résumer ce film, qui échappe à toutes les catégories existantes (...) c'est une oeuvre conceptuelle troublante, qui ouvre chez le spectateur des abîmes de questionnement (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
À partir des images prises par une caméra témoin sur les tournages des films X de HPG, Raphaël Siboni fabrique un objet atypique et dérangeant, qui nous balade entre le malaise et le rire, le dégoût et l'attendrissement, l'ennui et la stupeur.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Cahiers du Cinéma
par Jean-Sébastien Chauvin
"Il n'y a pas de rapport sexuel" n'est jamais sinistre ou ennuyeux, il est même tour à tour fascinant et drôlatique, parfois remuant (...), émouvant.
Libération
par Philippe Azoury
Ce qui gêne (...) c'[est] le fait qu'"Il n'y a pas de rapport sexuel" soit présenté comme 'un film de Raphaël Siboni' (...) Des moments de grande humanité et de cruauté mêlées. (...) Et surtout, cette étrange impression de voir pour la première fois le porno de dos (son envers, sa vérité).
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Philippe Rouyer
D'une scène à l'autre, l'intérêt est très inégal.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Moins aléatoire qu'en apparence, ce kaléidoscope évite le piège de la complaisance pour construire une mise à nu, au propre comme au figuré, pleine de désarroi, de mélancolie et d'une auto-ironie au vitriol.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Jérémie Couston
(...) Un documentaire (...) étrangement touchant et désopilant sur le porno. On y découvre l'envers, très prosaïque, du décor : la fatigue, l'attente, le bruitage d'une fessée et des personnages à l'impayable franc-parler.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
Ce documentaire [...] est tout simplement unique.
Excessif
On pensait subir une publicité vaguement racoleuse à la gloire de la pornstar provoc, on découvre un météore. (...) "Il n'y a pas de rapport sexuel" est aussi et surtout un film libre, à la fois hilarant et pathétique, triste et embarrassant, totalement dépourvu de jugement ou de théorie vaseuse.
Les Inrockuptibles
Monté avec un sens aigu de la dramaturgie qui n'en fait pas un objet de galerie mais bel et bien de salle obscure, "Il n'y a pas de rapport sexuel" (...) montre aussi les moments de grâce volés à la rapacité de la caméra (...). On se dit qu'il s'en faudrait de peu pour que le surgissement de la beauté dans le porno ne soit plus l'exception mais la règle.
Critikat.com
De cette rencontre entre deux extrêmes (le X et le cinéma arty), il naît forcément quelque chose de tout aussi extrême : un mélange entre "Le Journal du Hard", "Secret Story" et un documentaire de Wiseman passé aux rayons X.
Le Monde
La matière en soi est passionnante. Mais elle est loin de résumer ce film, qui échappe à toutes les catégories existantes (...) c'est une oeuvre conceptuelle troublante, qui ouvre chez le spectateur des abîmes de questionnement (...).
Les Fiches du Cinéma
À partir des images prises par une caméra témoin sur les tournages des films X de HPG, Raphaël Siboni fabrique un objet atypique et dérangeant, qui nous balade entre le malaise et le rire, le dégoût et l'attendrissement, l'ennui et la stupeur.
Cahiers du Cinéma
"Il n'y a pas de rapport sexuel" n'est jamais sinistre ou ennuyeux, il est même tour à tour fascinant et drôlatique, parfois remuant (...), émouvant.
Libération
Ce qui gêne (...) c'[est] le fait qu'"Il n'y a pas de rapport sexuel" soit présenté comme 'un film de Raphaël Siboni' (...) Des moments de grande humanité et de cruauté mêlées. (...) Et surtout, cette étrange impression de voir pour la première fois le porno de dos (son envers, sa vérité).
Positif
D'une scène à l'autre, l'intérêt est très inégal.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
Moins aléatoire qu'en apparence, ce kaléidoscope évite le piège de la complaisance pour construire une mise à nu, au propre comme au figuré, pleine de désarroi, de mélancolie et d'une auto-ironie au vitriol.
Télérama
(...) Un documentaire (...) étrangement touchant et désopilant sur le porno. On y découvre l'envers, très prosaïque, du décor : la fatigue, l'attente, le bruitage d'une fessée et des personnages à l'impayable franc-parler.