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Un visiteur
2,0
Publiée le 21 juillet 2016
Un livre de Roald Dalh adapté au cinéma par Steeven Spielberg, je n'avais aucun doute sur le fait qu'il allait être excellent et plein d'humour. Quelle déception lorsque j'y ai emmené mes trois enfants de 15, 13 et 9 ans: à la différence des autres adaptations au cinéma du même auteur (Mathilda, Charlie et la chocolaterie, ...), ce film n'est destiné qu'à un très jeune public (mais auront-ils vraiment la patience de le regarder pendant deux heures?). Bref, une séance décevante, interminable et sans aucun rythme. Je reconnais pourtant que mon fils de 9 ans a relativement bien apprécié, donc tout n'est pas noir...
Hélas, je m'attendais à mieux. Film au rythme trop lent sans réel suspense, sans trop d'action, sans rebondissement. j'ai failli quitter la séance tellement je m ennuyais.dommage.
2h de torture... C'est lent au possible, pas d'action, pas de rebondissement, pas d'histoire vraiment non plus...😥 Alors oui il y a une ou deux scènes à retenir, mais de là à payer 1 place de ciné, ça ne vaut vraiment pas le coup ! Très déçue... Même ma grande de 9 ans a dit en sortant : "je m'attendais à mieux"...
un conte pour enfants et plus grands. sur une histoire assez simple et un rythme assez lent la rencontre entre une petite fille rêveuse et un bon gros géant. les effets spéciaux l'image et le son sont excellents. on reste dans un univers d'enfants et que c'est bon de rêver.
Le Bon Gros Géant est un film familial. Un conte poétique que petits et grands apprécieront même si il est clairement destiné aux enfants. Le seul petit problème du film est son rythme qui faiblit et ennuie les plus grands. Pour le reste, le conte est joli, fantaisiste, et plein de bon sentiments. La rencontre de Sophie la jeune orpheline avec le Bon Gros Géant est épatante. Le géant mesure ,5 mètres. il est « souffleur de rêves ». Il est végétarien. Il est gauche, a un langage approximatif, adore le « frétibulle » , une boisson de sa création qui provoque des « crépiprouts » . Des Crépiprouts qui provoquent dans la salle les rires….La jeune Sophie va vivre de belles aventures et sa relation avec le BGG est tendre et amicale. Les décors et les lumières sont magnifiques, extérieurs ou intérieurs. On se balade dans le vieux Londres, dans les grands paysages des géants, dans le chateau de la Reine. L’équilibre entre le réel et l’imaginaire est parfait.
La jeune Ruby Barnhill est charmante. Sam Rylance incarne le personnage un peu gauche et naïf du BGG. Une prestation apparemment réussie. Vu en français, Le doublage de Dany Boon est également réussi (j’avais un doute).
L’histoire entre Sophie et le BGG ne vaut pas celle de ET et du petit Elliot mais le BGG est un film familial très plaisant. Poétique et destiné aux enfants, le conte est féérique.
J'aurai toujours une préférence pour le Spielberg conteur plutôt que celui qui raconte, parfois de façon académique, des pans de l'histoire du monde. Contrairement à certaines critiques, lus je ne pense pas que Spielberg ait perdu son sens de la mise en scène. Au contraire, il réussit une mise en scène virtuose entre classicisme et modernité, trouvant le bon tempo, ni effrené, ni trop lente, pour assoir la relation entre les deux personnages. Dans des décors chaleureux, il nous rappelle le besoin d'émerveiller le monde à travers ce géant qui insuffle des rêves dans le sommeil des humains (quelle belle scène que cette visite aux fenêtres dans les rues de Londres). C'est l'art du cinéma aussi que de projeter des rêves. Alors tant pis si l'histoire manque de rebondissement, que le conte manque parfois de noirceur, cette histoire, plus destinée aux enfants, et narrant la rencontre de deux âmes isolées, reste très belle.
C'est beaucoup trop enfantin ! Il faut arrêter de prendre les enfants pour des ahuris, hyper faciles à contenter. On a du mal à croire qu'ils pourront être captiver devant ça, si cela ennuie tellement les adultes. Et il y a plein de raisons à cela : Les scènes "d'action" sont sans intérêt, très mal rythmée, et à la limite du ridicule vu ce qui s'y passe. Excepté le "charabiage" assez sympa du géant, les dialogues sont également très pauvres et basiques. On dirait que Spielberg a décidé d'en mettre le moins possible pour ne pas dérouter les plus jeunes, mais c'est l'erreur à ne pas faire ! Les enfants peuvent très bien adorer un film bavard, aux dialogues élaborés comme "Zootopie". Enfin, le personnage du géant est assez attachants, mais les méchants sont catastrophiques ! Comment c'est possible de faire encore en 2016 des méchants aussi ridicules, et de manière involontaire ? Avec tous ces gros défauts, les enfants pourront être, au mieux, divertis par le cadre féérique installé, qui est la seule réussite du film. Mais on se demande vraiment comment le gars qui est à l'origine de "E.T. L'Extra-Terrestre" a pu autant régresser pour nous pondre ça aujourd'hui... Peut-être parce que Spielberg n'a sûrement pas vu de vrais bons films destinés à la jeunesse depuis longtemps. Il aurait dû se faire une cure de Disney et de Pixar avant de se relancer là-dedans.
Adaptation d'un roman de Roald Dahl initiée depuis plusieurs années, "Le Bon Gros Géant" avait de quoi faire rêver. Avec ce conte enchanteur et enfantin dans lequel l'orpheline Sophie est amenée au Pays des Géants par le Bon Gros Géant (le BGG pour les intimes) pour y affronter une horde de géants mangeurs d'enfants, on attendait beaucoup de Spielberg. A vrai dire, on espérait un retour à la magie Amblin des années 80 initiée par "E.T. l'extra-terrestre" et ce d'autant plus que "Le Bon Gros Géant" est le dernier scénario écrit par Melissa Mathison, scénariste de "E.T." ou encore de "Kundun". Seulement voilà, le film ne fera que raviver la nostalgie de cette période bénie des années 80 à défaut de nous transporter. On attendait une œuvre remplie d'émerveillement et d'émotions, Spielberg nous en livre une copie très appliquée mais très lisse, quasiment dénuée d'âme. L'ensemble ne manque pourtant pas de technique et la séquence nocturne faisant apparaître le BGG (Mark Rylance, très bon dans un rôle initialement prévu pour Robin Williams) laisse apercevoir tout le savoir-faire d'un cinéaste qui n'a jamais cessé d’œuvrer pour nous émerveiller et nous faire vibrer. Malheureusement, Spielberg relâche très vite la barre et semble manquer d'inspiration. C'est d'autant plus décevant que "Le Bon Gros Géant" ne manque pas d'idées savoureuses pour nous plonger dans son univers, jouant avec les différences de taille avec une technique solide tout en tâchant de nous émerveiller par une foule de détails très inventifs. Si dans le détail, tout ça paraît très bien, c'est dans sa globalité que le film ne fonctionne pas. Tout d'abord à cause de son scénario, il faut bien le concéder. Ce qu'a écrit Melissa Mathison ne fonctionne que sur un seul degré de lecture avec énormément de raccourcis scénaristiques et de moments sombres largement édulcorés. Au lieu d'apporter de la magie dans tout ça, Steven Spielberg semble alors coincé et livre une imagerie très jolie sans jamais donner de la profondeur à un univers qui ne demande qu'une petite étincelle pour vraiment briller. Techniquement, "Le Bon Gros Géant" est pourtant irréprochable mais tout dans son univers paraît cruellement vide, dénué d'âme à l'image de son héroïne principale et de ses personnages secondaires. Seul le BGG parvient à vraiment exister, Mark Rylance lui apportant une bonne dose de tendresse dans le regard. C'est hélas bien peu pour que l'alchimie se fasse et on ne pourra qu'assister impuissant à un joli livre d'images animées qui ne décollera jamais et ce même dans les scènes où Spielberg laisse exploser une mise en scène fluide et impeccable sans jamais transcender le tout, allant jusqu'à bâcler le climax du film. Manquant de magie, Spielberg aurait-il perdu son âme d'enfant ?
La rencontre entre l’univers foisonnant de Roald Dahl et l’esprit créatif de Steven Spielberg présageait de bons augures. Un même imaginaire sans borne, une même fantaisie onirique, une même écriture imagée… Autant d’éléments qui se retrouvent dans l’adaptation sur grand écran du Bon Gros géant. Spielberg mélange ici prises de vue réelles et effets spéciaux pour donner vie à l’imagination de Dahl, où rêve et cauchemar font la paire. Les personnages évoluent ainsi entre Londres et le Pays des Géants, côtoient ombre et lumière, se cherchent, se trouvent, et s’amusent autant qu’ils doivent faire preuve de courage. Si ce joli conte souffre de quelques longueurs d’un sempiternel usage superflu de la 3D, il devrait néanmoins ravir les jeunes spectateurs.
Très bon FILM Signé Steven Spelberg ! Super Beau Scénario ! Super Film Famillial ! Oui, c'est un Super Film pour les Enfants, rempli de Fantaisie, et de Magie !
Un très bon film pour enfant. La magie pour les adultes dure les 2/3 du film, puis ça devient grotesque. Visuellement irréprochable, à voir en famille.
Le BGG se destine aux enfants, mais ces derniers risquent de ne pas avoir la patience nécessaire pour y adhérer. Concernant les adultes, si on se fie à mon ressenti, ils pourront se régaler avec les vingt premières et dernières minutes. Pour le reste, ils engageront une véritable lutte pour ne pas s’endormir tant c’est lent et bavard.
Le BON GROS GÉANT (BGG), réalisé par Steven Spielberg est un sympathique conte pour enfant. Original et par moment drôle, le film nous emporte dans un autre monde. On s'attache rapidement aux personnages, notamment au géant qui va voir son existence bouleversée par cette rencontre. Les effets spéciaux sont réussi et la motion capture n'est pas mauvaise. Ça change des blockbusters. 14/20.