Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
34 critiques presse
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Un autoportrait bouleversant de Steven Spielberg.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Ecran Large
par Simon Riaux
Spielberg ne se dépatouille pas toujours bien de la recette de Roald Dahl, mais façonne un conte techniquement éblouissant, où il explore avec poésie son statut de conteur colossal.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Femme Actuelle
par La Rédaction
Un joli conte pour enfants.
Franceinfo Culture
par Jean-François Lixon
Entre prises de vues réelles et animation numérique, il reprend un roman du célébrissime auteur gallois pour la jeunesse Roald Dahl, dont on fêtera le centenaire de la naissance en septembre. Adaptation très réussie qui saura aussi plaire aux adultes.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Gala
par Jean-Christian Ha
Une fois de plus, Steven Spielberg nous entraîne dans un voyage dont lui seul a le secret. L’histoire est belle, légère, sans aucun cynisme ni mauvais sentiment, excepté la bêtise des géants qui veulent manger la petite fille.
La critique complète est disponible sur le site Gala
L'Ecran Fantastique
par Alexandre Jourdain
Steven Spielberg n'a rien perdu de sa superbe.
La Croix
par Arnaud Schwartz
Très bien secondé par le chef décorateur Rick Carter, qui avait déjà officié sur "Avatar" au côté de James Cameron, Steven Spielberg réussit à mêler habilement l’univers de l’écrivain au sien, pour donner naissance à une œuvre familiale, singulière et séduisante.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Un délicat mélange d’ombre et de lumière, d’humour et d’émotion, d’intimisme et de spectaculaire. Plaisir renforcé par la piquante novlangue (le gobblefunk) de Roald Dahl. On y papotine magierêve, épouvansonge. Les freluquettes riquiquites côtoient les Gobe-Gésiers. Miamissime. Exqui-déli-savouricieux !
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Il était une fois… Spielberg, son esprit d’enfance, son goût pour l’imaginaire et son art unique de raconter des histoires.
Le Figaro
par Olivier Delcroix
À 69 ans, le réalisateur ose une singulière « love story » entre une petite fille et un géant solitaire. Avec des séquences irrésistibles mettant en vedette la reine d’Angleterre et Buckingham Palace.
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Ce n'est pas aussi fort qu'"E.T." mais c'est du grand cinéma.
Première
par Frédéric Foubert
Le film ressemble au géant qu'il met en scène : un peu gauche, mal peigné, mais irrésistible et ultra attachant. Petit, peut-être, mais quand même costaud.
Public
par Florence Roman
Un petit bijou de poésie et de fantaisie qui vous laisse les yeux écarquillés d'émerveillement et le coeur au chaud.
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
Une oeuvre qui mélange gravité et malice mais manque, hélas, d'une touche de fantaisie. Le géant grognon qui sommeille en nous ne boudera cependant pas son plaisir.
Télé 2 semaines
par Emilie Leoni
Petit bémol : le rythme inégal du film qui fait que nous, les grands trouvons parfois le temps long. Steven Spielberg n’en est pas moins un conteur pour enfants hors pair. Et si l’histoire d’amitié entre ce Bon Gros Géant et Sophie n’égalera jamais celle d’E.T. et d’Elliott, le film saura faire rêver nos têtes blondes. Et les combler !
La critique complète est disponible sur le site Télé 2 semaines
aVoir-aLire.com
par Alexandre Jourdain
Drôle et enchanteur, le nouveau conte de Spielberg met à l’amende toute la concurrence. L’œuvre bariolée de Roald Dahl constitue décidément un terreau fertile pour le divertissement.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Josué Morel
Ne faisons toutefois pas non plus la fine bouche : un film de Spielberg, même mineur, se révèle être un coffre à jouets renfermant quelques merveilles.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Express
par Christophe Carrière
Le Bon Gros Géant n'est pas un mauvais film, mais Steven Spielberg, spécialiste, voire créateur de ce genre de rêverie depuis E.T., n'arrive pas à renouveler le miracle de ses débuts.
L'Humanité
par Vincent Ostria
La confrontation entre cette figure familière et le gnome gigantesque fournit à la fable son humour. Le reste de cette aimable aventure est ponctué de préceptes moralistes et de séquences féeriques qui ne mangent pas de pain mais ne bouleversent rien non plus.
Le Parisien
par Thierry Dague et Alain Grasset
Avec ce conte pour enfants qui mélange animation numérique et prises de vues réelles, Steven Spielberg renoue avec ses obsessions : l'abandon, la confrontation avec la différence, la foi en ses rêves. Ce qui n'empêche pas des scènes de pure comédie, comme l'hilarante séquence avec Elizabeth II, incarnée par l'excellente Penelope Wilton.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
En adaptant “Le Bon Gros Géant” de Roald Dahl, le cinéaste promet un de ces grands films sur l'enfance dont il a le secret. Si le défi technique est relevé, le récit patine et manque d'émotion et de fantaisie.
Les Inrockuptibles
par Jean-Marc Lalanne
La main est un peu lourde mais le récit trouve des échos assez personnels. Un géant ou un nain ? C'est toute l'ambiguïté du statut de Spielberg dans l'histoire du cinéma américain de ces quarante dernières années.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Un "petit" Spielberg qui réserve toutefois quelques belles séquences (...).
Voici
par Vincent Cocquebert
Ce BGG nous balade entre deux univers, l'un réel, l'autre imaginaire, sans parvenir à nous y plonger tout à fait, saupoudré d'un humour un brin potache, désamorcé par de trop rares fulgurances poétiques. Reste, malgré tout, un bon gros divertissement.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
(...) ce récit d’apprentissage comporte des idées de mise en scène et une photographie subtile signée Janusz Kaminski. Mais l’histoire datée manque d’enjeu et la jeune interprète maniérée en fait des tonnes. Une aventure qui se destine en priorité aux plus jeunes.
Le Point
par Philippe Guedj
Joué en performance capture par Mark Rylance, qui s'est inspiré de son propre cabot pour trouver le ton juste (on comprend mieux les yeux de chien battu…), le géant du titre échoue à vraiment nous toucher. Il ne suffit pas d'un sourire où s'affiche toute la dégoulinante bonté du monde pour inonder nos iris, cher Steven !
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Paris Match
par Yannick Vely
Si la forme est magique, «Le bon gros géant» ne restera pas dans les mémoires comme le classique qu'il aurait pu être. Il manque quelque chose au récit, un «danger», une tension, un vrai suspense.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
"Le Bon Gros Géant" est assurément le film le plus indigne de son auteur et affiche une laideur encore plus offensante que celle de Hook. Il y a fort à parier que cette compromission ne soit due qu’au désintérêt profond du cinéaste pour ce projet : il nous doit (au moins) un chef-d’œuvre en retour.
L'Obs
par Guillaume Loison
Disons-le tout net : "Le Bon Gros Géant" est le plus mauvais film de Steven Spielberg. Pire, ce salmigondis d’effets spéciaux bâclés, de personnages en carton et d’humour trépané atteint un tel degré de nullité qu’on peine à croire qu’un cinéaste d’une telle stature en soit vraiment l’artisan.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Isabelle Regnier
Au travail poétique sur les mots qui fait la beauté du livre, Steven Spielberg substitue une mise en scène spectaculaire déployée dans une imagerie laide.
Libération
par Clémentine Gallot
Sursaturé de fond sonore coupant court à toute respiration et dégoulinant par moments de bons sentiments, l’objet paraît pourtant d’autant plus anachronique qu’il est asphyxié sous les effets spéciaux numériques.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Cédric Delelée
On ressort de ce film déprimant avec un goût de cendres dans la bouche et la sale impression d'avoir assisté aux funérailles de son réalisateur.
Metro
par Mehdi Omaïs
Sans être indigne, "Le Bon Gros Géant" n’en est pas moins un ratage sur toute la ligne, un rendez-vous totalement manqué entre un auteur et son public. Quel dommage !
La critique complète est disponible sur le site Metro
Télérama
par Aurélien Ferenczi
Devenu un remarquable cinéaste pour adultes, Steven Spielberg a-t-il perdu sa patte de roi du divertissement ? A quels enfants s'adresse cette fable fantastique inégale, déjà un flop mémorable aux États-Unis ?
La critique complète est disponible sur le site Télérama
CinemaTeaser
Un autoportrait bouleversant de Steven Spielberg.
Ecran Large
Spielberg ne se dépatouille pas toujours bien de la recette de Roald Dahl, mais façonne un conte techniquement éblouissant, où il explore avec poésie son statut de conteur colossal.
Femme Actuelle
Un joli conte pour enfants.
Franceinfo Culture
Entre prises de vues réelles et animation numérique, il reprend un roman du célébrissime auteur gallois pour la jeunesse Roald Dahl, dont on fêtera le centenaire de la naissance en septembre. Adaptation très réussie qui saura aussi plaire aux adultes.
Gala
Une fois de plus, Steven Spielberg nous entraîne dans un voyage dont lui seul a le secret. L’histoire est belle, légère, sans aucun cynisme ni mauvais sentiment, excepté la bêtise des géants qui veulent manger la petite fille.
L'Ecran Fantastique
Steven Spielberg n'a rien perdu de sa superbe.
La Croix
Très bien secondé par le chef décorateur Rick Carter, qui avait déjà officié sur "Avatar" au côté de James Cameron, Steven Spielberg réussit à mêler habilement l’univers de l’écrivain au sien, pour donner naissance à une œuvre familiale, singulière et séduisante.
La Voix du Nord
Un délicat mélange d’ombre et de lumière, d’humour et d’émotion, d’intimisme et de spectaculaire. Plaisir renforcé par la piquante novlangue (le gobblefunk) de Roald Dahl. On y papotine magierêve, épouvansonge. Les freluquettes riquiquites côtoient les Gobe-Gésiers. Miamissime. Exqui-déli-savouricieux !
Le Dauphiné Libéré
Il était une fois… Spielberg, son esprit d’enfance, son goût pour l’imaginaire et son art unique de raconter des histoires.
Le Figaro
À 69 ans, le réalisateur ose une singulière « love story » entre une petite fille et un géant solitaire. Avec des séquences irrésistibles mettant en vedette la reine d’Angleterre et Buckingham Palace.
Ouest France
Ce n'est pas aussi fort qu'"E.T." mais c'est du grand cinéma.
Première
Le film ressemble au géant qu'il met en scène : un peu gauche, mal peigné, mais irrésistible et ultra attachant. Petit, peut-être, mais quand même costaud.
Public
Un petit bijou de poésie et de fantaisie qui vous laisse les yeux écarquillés d'émerveillement et le coeur au chaud.
Studio Ciné Live
Une oeuvre qui mélange gravité et malice mais manque, hélas, d'une touche de fantaisie. Le géant grognon qui sommeille en nous ne boudera cependant pas son plaisir.
Télé 2 semaines
Petit bémol : le rythme inégal du film qui fait que nous, les grands trouvons parfois le temps long. Steven Spielberg n’en est pas moins un conteur pour enfants hors pair. Et si l’histoire d’amitié entre ce Bon Gros Géant et Sophie n’égalera jamais celle d’E.T. et d’Elliott, le film saura faire rêver nos têtes blondes. Et les combler !
aVoir-aLire.com
Drôle et enchanteur, le nouveau conte de Spielberg met à l’amende toute la concurrence. L’œuvre bariolée de Roald Dahl constitue décidément un terreau fertile pour le divertissement.
Critikat.com
Ne faisons toutefois pas non plus la fine bouche : un film de Spielberg, même mineur, se révèle être un coffre à jouets renfermant quelques merveilles.
L'Express
Le Bon Gros Géant n'est pas un mauvais film, mais Steven Spielberg, spécialiste, voire créateur de ce genre de rêverie depuis E.T., n'arrive pas à renouveler le miracle de ses débuts.
L'Humanité
La confrontation entre cette figure familière et le gnome gigantesque fournit à la fable son humour. Le reste de cette aimable aventure est ponctué de préceptes moralistes et de séquences féeriques qui ne mangent pas de pain mais ne bouleversent rien non plus.
Le Parisien
Avec ce conte pour enfants qui mélange animation numérique et prises de vues réelles, Steven Spielberg renoue avec ses obsessions : l'abandon, la confrontation avec la différence, la foi en ses rêves. Ce qui n'empêche pas des scènes de pure comédie, comme l'hilarante séquence avec Elizabeth II, incarnée par l'excellente Penelope Wilton.
Les Fiches du Cinéma
En adaptant “Le Bon Gros Géant” de Roald Dahl, le cinéaste promet un de ces grands films sur l'enfance dont il a le secret. Si le défi technique est relevé, le récit patine et manque d'émotion et de fantaisie.
Les Inrockuptibles
La main est un peu lourde mais le récit trouve des échos assez personnels. Un géant ou un nain ? C'est toute l'ambiguïté du statut de Spielberg dans l'histoire du cinéma américain de ces quarante dernières années.
Télé 7 Jours
Un "petit" Spielberg qui réserve toutefois quelques belles séquences (...).
Voici
Ce BGG nous balade entre deux univers, l'un réel, l'autre imaginaire, sans parvenir à nous y plonger tout à fait, saupoudré d'un humour un brin potache, désamorcé par de trop rares fulgurances poétiques. Reste, malgré tout, un bon gros divertissement.
Le Journal du Dimanche
(...) ce récit d’apprentissage comporte des idées de mise en scène et une photographie subtile signée Janusz Kaminski. Mais l’histoire datée manque d’enjeu et la jeune interprète maniérée en fait des tonnes. Une aventure qui se destine en priorité aux plus jeunes.
Le Point
Joué en performance capture par Mark Rylance, qui s'est inspiré de son propre cabot pour trouver le ton juste (on comprend mieux les yeux de chien battu…), le géant du titre échoue à vraiment nous toucher. Il ne suffit pas d'un sourire où s'affiche toute la dégoulinante bonté du monde pour inonder nos iris, cher Steven !
Paris Match
Si la forme est magique, «Le bon gros géant» ne restera pas dans les mémoires comme le classique qu'il aurait pu être. Il manque quelque chose au récit, un «danger», une tension, un vrai suspense.
Cahiers du Cinéma
"Le Bon Gros Géant" est assurément le film le plus indigne de son auteur et affiche une laideur encore plus offensante que celle de Hook. Il y a fort à parier que cette compromission ne soit due qu’au désintérêt profond du cinéaste pour ce projet : il nous doit (au moins) un chef-d’œuvre en retour.
L'Obs
Disons-le tout net : "Le Bon Gros Géant" est le plus mauvais film de Steven Spielberg. Pire, ce salmigondis d’effets spéciaux bâclés, de personnages en carton et d’humour trépané atteint un tel degré de nullité qu’on peine à croire qu’un cinéaste d’une telle stature en soit vraiment l’artisan.
Le Monde
Au travail poétique sur les mots qui fait la beauté du livre, Steven Spielberg substitue une mise en scène spectaculaire déployée dans une imagerie laide.
Libération
Sursaturé de fond sonore coupant court à toute respiration et dégoulinant par moments de bons sentiments, l’objet paraît pourtant d’autant plus anachronique qu’il est asphyxié sous les effets spéciaux numériques.
Mad Movies
On ressort de ce film déprimant avec un goût de cendres dans la bouche et la sale impression d'avoir assisté aux funérailles de son réalisateur.
Metro
Sans être indigne, "Le Bon Gros Géant" n’en est pas moins un ratage sur toute la ligne, un rendez-vous totalement manqué entre un auteur et son public. Quel dommage !
Télérama
Devenu un remarquable cinéaste pour adultes, Steven Spielberg a-t-il perdu sa patte de roi du divertissement ? A quels enfants s'adresse cette fable fantastique inégale, déjà un flop mémorable aux États-Unis ?