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    Rocketman
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    4,0
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    552 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 4 juin 2019
    pas d'émotion ressentie. Peut-être du au fait que ce soit comme une comédie musicale ? La musique est bien sur géniale. Cependant je me suis ennuyée. Un bémol : la 1ere partie du film jusqu'au tout 1er concert m'a plu.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 25 mai 2019
    D'un ennuie profond malgré la performance de son acteur principal. comédie musicale pataude sans personnages attachants. Nombreuses scènes ridicules et qui font mal aux oreilles (en particulier celles avec Elton enfant)
    Livecommeuncoq R.
    Livecommeuncoq R.

    3 abonnés 40 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 mai 2019
    En avant première ce soir.... une merveille !! Quel artiste ! Quelle joie ! Un film qui passe a une vitesse incroyable The RoketMan c’est de la bombe....
    Yasmine T.
    Yasmine T.

    2 abonnés 35 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 6 juin 2019
    Grosse déception !
    Certains passages sont plutôt intéressants mais globalement, ce film est trop loufoque et surjoué pour susciter de l'émotion.
    Je n'ai pas du tout apprécié le côté comédie musicale et métaphorique. À trop vouloir être original, ce film frôle par instants le ridicule spoiler: (on pense notamment à la scene de la piscine où il se voit enfant en costume de cosmonaute)
    et ne permet aucune émotion à des moments pourtant tragiques.

    Malgré ce qui a pu être dit dans la presse, il n'y a strictement aucune comparaison possible avec le grandiose "Bohemian Rhapsody", beaucoup plus classique, certes, mais beaucoup plus fort et émouvant.
    ffred
    ffred

    1 726 abonnés 4 021 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 juin 2019
    Forcément, la comparaison avec Bohemian Rhapsody était inévitable. A mon sens, les deux films ont peu de points communs. Même si les deux anglais en avaient beaucoup (et étaient même très amis). La mise en scène de Dexter Fletcher est bien plus solide que celle Bryan Singer (qui de toute façon avait été viré avant la fin du tournage). Le scénario de Lee Hall (Billy Elliot, Cheval de Guerre, Confident Royal...) est aussi bien plus consistant (Elton John est co-producteur, il a du donner son avis, ce qui a du bien l'arrnager tout de même...). Il élude moins (et même pas du tout) l'homosexualité ou les addictions du personnage. Il y a aussi plus d'humour, plus d'extravagance et plus d'émotion également. Quelques craintes avec le côté comédie musicale au début, mais au final ça passe bien. Taron Egerton (qui interprète lui-même toutes les chansons) explose dans le rôle titre, on le savait talentueux, il confirme. Une prestation au moins aussi comparable à celle de Rami Malek en Freddie Mercury. Même si le tout reste assez classique, voilà un biopic (de son vivant) chatoyant, sympathique et attrayant. Les qualités du film et le fait que mon enfance est plus été ballotée par les chansons d'Elton John que par celle de Queen, font que ma préférence va donc à ce Rocketman.
    📞 Appelez-moi Jo
    📞 Appelez-moi Jo

    32 abonnés 188 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 avril 2020
    Dexter Fletcher prend sa revanche et livre avec ROCKETMAN un divertissement musical plaisant et de bonne facture.
    À Crocs D’Écrans
    À Crocs D’Écrans

    190 abonnés 1 009 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 juin 2019
    Quand on a vu l’annonce de ce film, on s’est dit de suite: mince on a loupé l’info, Elton John est mort?! Mais après vérification en fait non… Mais du coup, depuis quand on fait des biopics sur des vedettes encore vivantes ?! Après une nouvelle enquête, on découvre que c’est lui-même qui a voulu le faire ! Bien joué, la plupart des autres stars ne verront jamais leurs vies sur grand écran ! Plaisanterie mise à part, que donne ce biopic un poil arrangé ? Et bien ça fonctionne parfaitement : Elton John est à l’origine de nombreux titres cultes, largement de quoi parsemer le film de sons entrainants. La prestation de Taron Egerton est bluffante, il donne tellement d’énergie, il chante, il danse, il joue, cet artiste complet retransmet la fougue du chanteur avec passion. On se laisse emporter très facilement, les arrangements des chansons sont inspirés et bien pensés. Bref, rien à dire, c’est touchant, entrainant, on a envie de dire, vivement Rocketman 2!
    moket
    moket

    539 abonnés 4 345 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 mai 2020
    Un biopic énergique et vitaminé, un spectacle coloré et un Taron Edgerton au top qui transmet à merveille l'énergie et la folie douce de sir Elton. Si l'on compare à Bohemian Rhapsody, il manque toutefois un petit quelque chose pour nous emporter totalement.
    CH1218
    CH1218

    207 abonnés 2 904 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 juin 2021
    Après avoir lu son autobiographie (que je recommande vivement), j’ai revu « Rocketman » avec un œil neuf et changer d’avis par rapport à mon impression première. Malgré des défauts liés au difficile exercice du biopic, le résultat condense avec sincérité les hauts et les bas d’une pop-star qui cache, derrière son succès et son exubérance, une fragilité de mille maux et d’addictions. Certaines chansons sont finement intégrées, en mode comédie musicale, à des moments de vie, apportant un plus sur l’interprétation des textes de Bernie Taupin. Le talent de Taron Egerton emmène le film sur son aire de lancement et prouve qu’Elton John est, en dépit des excès du passé, "still standing".
    HawkMan
    HawkMan

    182 abonnés 1 183 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 24 juillet 2020
    A l'instar du film biopic sur le groupe Queen, on a ici un biopic sur la vie incroyable d'Elton John. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que la vie de cet immense artiste fut singulière !
    Que dire, Elton John n'est pas à présenter, il est simplement à écouter !
    Et ce biopic est très efficacement construit avec une performance Taron Egerton qui lui ferait également mérité un oscar tellement son jeu est brillant.
    Bref : un film magnifique pour un artiste tout aussi magnifique.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 25 mai 2019
    Je vis au Royaume Uni et le film est deja sorti ici...
    Que dire...
    J'ai trouve le film incroyablement pretentieux, les scenes qui s'enchainent n'ont de maniere generale ni queue ni tete et on apprend finalement pas grand chose sur sa carriere. Le tout enrobe d'effets speciaux que je trouve ridiculement utilise, a croire que le realisateur etait sous coke quand il a fait son film. Ca se veut sophistique, ca en devient pretentieux.
    C'est le premier biopic qui me ferait presque pas aime un artiste que j'aime pourtant a la base :D
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    702 abonnés 3 053 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 juin 2019
    Rocketman, c’est l’homme-fusée, l’artiste qui connaît une ascension fulgurante telle qu’il risque, à chaque instant, d’exploser en plein vol. Le film est à l’image de cette démesure destinale : le feu d’artifice allumé manque d’incendier l’écran de cinéma où tout s’enchaîne avec talent, où tout chante et danse de manière adéquate, avec – et là réside la grande force du métrage – ce souci constant de regarder derrière soi, d’arpenter les coulisses pour espérer y retrouver le petit garçon (Dwight en l’occurrence) qui hante le chanteur à la manière du spectre d’un passé qui ne passe pas. Car le film thématise une construction identitaire et ne cesse de rappeler au personnage ou son incapacité à devenir, ou le reniement de ce qu'il était. Cette tension s'incarne par des images en constant mouvement, car il y a ce quelque chose de très spectaculaire, une certaine idée du show qui se traduit dans le film par une énergie tant dans le mouvement – à l’instar de ce sublime plan circulaire qui tourne autour d’Elton alors au piano – que dans le travail de composition des plans ; nul hasard si l’on retrouve au générique le nom de Matthew Vaughn, crédité ici en tant que producteur et qui, déjà, réunissait Taron Egerton et Elton John dans le second volet de Kingsman. Pourtant, malgré sa thématique identitaire omniprésente, le film peine à ancrer sa star dans les différentes époques traversées. De l’Angleterre à l’Amérique, il n’y a qu’un pas, et ce pas n’est jamais traité : qu’en est-il des différences culturelles, que nous dit Elton John de la difficulté (ou au contraire de la facilité) que rencontre un jeune Anglais à chanter pour les États-Unis. Parce qu’il se focalise exclusivement sur l’artiste, le métrage fait preuve d’une courte vue qui vient déformer le traitement historique qu’une telle histoire exigeait. L’entièreté de Rocketman alterne grand spectacle et ruptures dramatiques aussi brutales que trop à charge ; une œuvre de cinéma n’a pas vocation à régler des comptes d’un individu avec sa famille. Ce grand écart tend à autonomiser les séquences chantées et dansées, les rendant par la même occasion souvent gratuites, et alourdit la fluidité du récit. N’oublions pas que le vrai (ou prétendu vrai) diffère du vraisemblable ; en tant que fiction, Rocketman essaie d’injecter l’âpreté d’une existence mais souffre de l’instabilité de son postulat même : proposer une comédie musicale à la fois fantasmatique et réaliste. Cette valse constante entre la scène publique et la violence intime échoue en partie à dépasser le biographique pour clarifier une ligne directrice, une vision de l’artiste autant que de l’homme : l’absence de point de vue artistique creuse dans le film des sillons proches de l’hagiographie, où Elton se voit érigé en alter ego de Mozart au point de composer ses chansons sans la moindre hésitation. Comme si le génie restait une donnée innée, naturelle, immuable. Or, nous constatons bien, entre les lignes, que la consommation de drogues ainsi que les divers excès non seulement offrent au personnage les conditions matérielles et créatrices de sa renaissance, mais occasionnent une souffrance qui aussitôt ranime les plaies jamais bandées, souffrance qui enfante l’art et donne lieu au chef-d’œuvre. En réduisant les travers de la vie de star à un discours tenu dans le cadre d’une cure de désintoxication, Rocketman détourne la plus-value (aussi pénible soit-elle) de l’exubérance et des paradis artificiels dans le processus de création artistique, supprime le contexte historique et musical dans lequel Elton non seulement a fait ses marques, mais a puisé son énergie de la différence. Demeure néanmoins un film de qualité aux interprètes remarquables – mention spéciale à Taron Egerton, tout simplement immense – et qui a le mérite de s’écarter des sentiers battus par le traditionnel biopic pour proposer une immersion dans la profondeur déjantée et sensibles des mots si magnifiquement chantés d’Elton John.
    alain D.
    alain D.

    15 abonnés 174 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 mars 2021
    Enthousiasmant, fantasmagorique, envoûtant, bref à la mesure de l'électron libre Elton. Un ravissement pour les yeux et les oreilles et une furieuse envie addictive de replonger sur ses vinyls. Et chapeau pour l'interprétation ! Un petit bonheur à découvrir sans mot des rations !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 4 juin 2019
    Un chef d'oeuvre. Je ne comprends pas ceux qui disent s'être ennuyés.
    Et que de bons acteurs. Envie de le revoir
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 354 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 mars 2021
    Bon alors…
    Faisons la liste (sélective)…
    Ray Charles en 2004,
    Johnny Cash et Kurt Cobain (plus ou moins) en 2005,
    Edith Piaf, Joy Division et Bob Dylan en 2007,
    John Lennon en 2009,
    Serge Gainsbourg en 2010,
    Jeff Buckley en 2011,
    Claude François en 2012,
    Jimi Hendrix en 2013,
    James Brown en 2014,
    Kurt Cobain (encore) en 2015,
    Chet Baker, Miles Davis et Elvis Presley en 2016,
    Nina Simone, Dalida, Barbara et Toni Braxton en 2017,
    Victor Tsoi et Freddy Mercury en 2018,
    Et enfin Mötley Crüe et les Beatles (indirectement) en 2019, soit l’année de sortie de ce « Rocket Man ».
    Autant donc l'affirmer tout de suite : c’est peu dire si ce film sort sur un sentier plus que balisé. Au-delà même du balisage, c’est carrément sur une ligne de Maglev que sort cet énième biopic dédié à une énième rockstar afin d'accompagner la réédition d'un énième album collector.
    ...Et ça, moi – histoire d’être honnête dès le départ – c’est clair que ce n'est pas ce qui me stimule le plus.
    Alors si en plus de ça je précise que je ne suis pas un inconditionnel d’Elton John, je pense que vous comprendrez aisément pourquoi ce film, quand il est sorti en salle, j’ai plutôt cherché à l’éviter…

    Seulement voilà, un an et deux confinements plus tard, mon rapport au cinéma à quelque peu changé.
    Maintenant chaque film vu me rappelle avec nostalgie ce temps béni où je les voyais en salle ; de même que, désormais, chaque film comportant des gens buvant des bières dans un pub ou s’adonnant à de grandes embrassades me rend aussi nostalgique de toutes ces pratiques là…
    Bref, vous l’aurez compris : janvier 2020 c’était clairement la période idéale pour découvrir ce « Rocket Man »...
    …Donc pourquoi pas.

    Résultat ?
    Bah… Le résultat c’est qu’au final ma crainte du départ s’est quand-même avérée fondée.
    « Rocket Man » c’est un peu pareil que « Ray »…
    …Tout en étant un peu pareil que « Tina »…
    …Tout en ressemblant quand même beaucoup à « La Môme »…
    …Et le tout en donnant vachement l’impression de revoir « Bohemian Rhapsody » avec un autre répertoire musical quoi !

    En même temps voilà : pas de surprise quand on voit que c’est Dexter Fletcher derrière la caméra.
    L’année juste avant le gars était aux côtés de Bryan Singer pour réaliser « Bohemian Rhapsody ». Un hasard diront certains… Ou bien la preuve, diront d’autres, que tous ces projets sont tellement duplicables à l’infini qu’on peut au final se permettre de carrément prendre le même gars pour les mettre en boîte..
    (…Je vous laisserais deviner dans lequel des deux camps je me trouve.^^)

    Parce qu’en effet, le vrai problème de « Rocket Man » selon moi c’est qu’il est prévisible et standardisé de bout en bout.
    D’abord l’enfance tourmentée, puis la recherche de soi, la réussite et la gloire… Jusqu’à ce moment de perdition et de doute qui va permettre d’enfin trouver un point d’équilibre… Une sagesse.
    Le schéma est connu et éculé.
    Il n’y a d’ailleurs rien dans ce film (à part le répertoire) qu’on n’ait pas déjà vu ailleurs.
    Même les quelques touches d’audaces comme la volonté de glisser des chansons et des danses au sein même de la narration comme une comédie musicale n’est pas sans rappeler, dans l’esthétique comme dans la mise en scène, une sorte de « La La Land » plus modeste…

    Alors malgré tout, j’arrive quand-même à lui attribuer un 6/10 à ce « Rocket Man », ce qui constitue pour moi une note honorable...
    6/10 c’est la preuve que, bon-an-mal-an, j’ai tout de même passé un moment plutôt sympa.
    Taron Egerton a beau en faire parfois des caisses, il apporte néanmoins l’énergie nécessaire pour emporter le tout.
    De même Fletcher a beau ne tenter des choses qu’à la marge (en frôlant parfois même le ridicule, notamment dans ces passages chantés à plusieurs), il n’empêche qu’il sait parfois offrir quelques moments plutôt bien sentis…


    spoiler: …comme par exemple celui au fond de la piscine que j’ai trouvé particulièrement suggestif.



    Mais à bien tout prendre – et on ne va pas se mentir non plus – ce qui a vraiment permis de faire passer la pilule avec ce film – comme d’habitude – c’est l’utilisation régulière du répertoire d’Elton John…


    spoiler: …Et la reproduction finale, plan par plan, du clip d’ « I’m Still Standing »contribue clairement à enfoncer le clou.




    Donc bon, d’accord, pourquoi pas… C’est vrai que c’est pas mal « Rocket Man ». Soit...
    Je pourrais d’ailleurs m’arrêter là et me contentant simplement de ce constat : j’ai profité d’un film pas mal donc « cool : c’est toujours ça de pris… »
    D’un autre côté ce genre de film me fait peur.
    Parce que « Rocket Man » est aussi une pierre de plus qui se rajoute sur l’édifice déjà surchargé des biopics standardisés et interchangeables…
    C’est qu’en 2021 ils sont quelques-uns à remettre une pièce dans la machine !
    « Stardust », « Aline », « Respect »…
    On va s’en bouffer encore combien des concerts romancés pour vendre de l’album ?
    Encore combien d’histoires d’egos meurtris de pauvres stars en souffrance ?

    Parce qu’à bien tout prendre, la vie d’Elton John méritait-elle vraiment un film sur elle ?
    Le gars a-t-il accompli un tel parcours initiatique si extraordinaire que cela mériterait qu’on l’explore et qu’on le dissèque ?
    Franchement moi je trouve que non.
    Et ce bilan, malheureusement, je pourrais le faire pour un petit paquet de ces biopics qui n’existent que pour vendre des compils.

    Donc allez, cette fois – dans le contexte du moment – ça passe.
    …mais, franchement, me concernant, gare au prochain qui me refera le coup à l’identique.
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