Avis : Rocketman - Page 10

Je ne suis pas un connaisseur, de Elton John, j'avais jamais écouté ces musiques avant ce film.

J'ai bien aimé ce film, le film m'a surpris , surtout au début, les musiques sont assez bonnes, la mise en scène est bonne, les acteurs sont bons, Taron Egerton joue très bien le rôle du chanteur, tout est assez satisfaitsant dans ce film, on s'ennuie pas, mais il y a des choses qui m'on dérangé, mais sa fais partie de la vie de Elton John.

Conclusion
Une bonne découverte, avec de bonnes musiques qui m'on ambiancé.

Quelle déception ce film...... C est d un ennuie total, mais où est Elton John, et cet acteur qui ressemble à tous sauf à Elton..

Désolée mais je n'ai pas aimé du tout. L'acteur est excellent mais ce côté comédie musicale ou tous ces acteurs a la moindre séquence chantent ensemble, dansent, je n'aime pas. J'ai entendu des gens Comparer rocket man à bohemian rhapsody mais ça n'a rien à voir du tout. Tant au niveau interprétation qu'au niveau général. C'est du platitude... Dommage car je le redis l'acteur est éblouissant mais cela a un goût d'inabouti, d'inachevé. Dommage

J'ai eu la chance d'assister à l'avant première de Rocketman, ce qui me permet d'avoir un avis plus précis sur le film qui retrace la vie de l'icône qu'est Elton John.
Ma première impression en sortant de la salle de cinéma est que ce film de 2h est tout simplement flamboyant. Le spectateur est pris dans un tourbillon de hits, de costumes et d'une vie vécue à cent à l'heure par l'artiste. Présenté sous la forme d'une comédie musicale très bien dosée, le film nous permet d'entrer dans la vie intime (et pas toujours très joyeuse) d'Elton John.
J'ai beaucoup aimé ce film pour plusieurs raisons. Tout d'abord, l'interprétation de Taron Egerton est juste. Il est forcément dans l'extravagance comme l'était Elton mais sans pour autant en faire trop et le fait qu'il interprète lui-même les chansons du film est vraiment agréable. J'espère qu'il sera récompensé d'une façon ou d'une autre pour son interprétation car vraiment, il y met du sien (d'autant plus que physiquement parlant, il est aussi pas mal crédible dans sa ressemblance avec Elton John !)
Ensuite, une bonne partie de ce qui fait Elton John est retracé : son enfance, ses rencontres, ses hauts et ses bas... Certaines scènes qui pourraient être un peu dures à regarder sont adoucies par la présence des mélodies de l'artiste et c'est pour cette raison que d'après moi le style comédie musicale fonctionne bien. Chaque moment crucial de la vie d'Elton est l'origine d'un tube que vous comme moi avons forcément entendu une fois dans notre vie. Si vous avez la possibilité de lire les sous-titres français pendant les chansons, n'hésitez pas à le faire.
Pour continuer, quand on sait que c'est Elton John qui est producteur du film, on peut s'attendre à ce que certaines choses soient racontées avec des pincettes or ce n'est pas le cas. Autant dire qu'il ne s'épargne pas et que tous ses excès sont soit montrés à l'écran, soit sous-entendus.
Visuellement parlant, le film est également magnifique. C'est tout simplement un concentré de couleurs et de lumières et que dire des chansons qui s'enchaînent... Je ne saurais dire combien de tubes sont repris mais la liste doit être assez phénoménale et elle permet de confirmer qu'Elton John est vraiment un artiste qui a marqué le monde de la musique. Peu importe la génération, chacun trouvera une chanson qu'il connaît forcément.

J'imagine que la comparaison avec Bohemian Rhapsody sera inévitable pour certains mais ça serait une erreur. Je continue de penser que les deux films sont incomparables car les artistes concernés sont trop différents. De plus, le ton des deux films n'est absolument pas le même. La seule ressemblance que je me permettrais de faire c'est qu'en sortant des deux films j'en suis venue à la même conclusion : le succès ne fait pas forcément le bonheur car il est parfois à l'origine d'une grande solitude.

Pour conclure, je dirais que Rocketman est un film à l'image d'Elton John, à savoir extravagant, pétillant, touchant et spectaculaire. Si j'ai l'occasion de le faire, j'irais volontiers le revoir une deuxième fois en salle.

Exceptionnel je n’avais pas envie que le film s’arrête acteur plus vrai que nature musique sensationnel

On pensait avoir tout vu en termes de biopic, savoir à quoi s'attendre après avoir découvert les bande-annonces concernant celui d'Elton John, d'autant plus en apprenant la place aux manettes de Dexter Fletcher, co-réalisateur officieux (Bryan Singer ayant quitté le projet avant le bouclage) du factuellement controversé Bohemian Rhapsody. Et puisque seuls quelques mois séparent les sorties du récit autour de Freddie Mercury/Queen et celui concernant le virtuose auteur de Sacrifice, la comparaison devient évidente. Évacuons là d'emblée, en citant les rares points communs sautant aux yeux : le premier plan sur un long couloir lumineux, la présence d'un manager/producteur véreux ayant un temps une relation amoureuse avec le chanteur, un acteur exceptionnel dans le rôle principal (Taron Egerton) n'ayant rien à envier à Rami Malek, et puis c'est tout. La peur d'une vie édulcorée était encore plus vive compte tenu du rôle de producteur exécutif tenu par Elton himself. Le premier quart d'heure se charge d'annoncer la couleur : non seulement le Britannique ne se donne pas le beau rôle, avouant toutes ses failles lors d'une séquence d'ouverture efficace, mais la structure du film traduit une belle ambition, une non-linéarité du récit couplée à des choix de mise en scène audacieux. À l'image du choix de la comédie musicale pour booster les chansons établissant un pont entre la vie et l’œuvre de l'artiste. À l'exception d'un focus sur un concert new-yorkais fondateur, le film s’embarrasse peu de coller à une chronologie précise ou de relater une succession de faits pouvant justifier le schéma ascension/excès/chute. Nous sommes dans une psychanalyse personnelle, une rédemption fantaisiste pour mieux démystifier l’icône qu'il est devenue. Nous plongeons aussi bien dans les faiblesses de la star que dans les troubles enfantins de Reginald Dwight, ici dissocié comme un personnage à part entière. L'histoire resterait classique sans une mise en scène survitaminée, sans conteste la meilleure surprise du film. Beaucoup d'idées poétiques, planantes (l'écoulement du temps via le piano tournant de Pinball Wizard), de concepts flamboyants, de plans-séquences ou de projection du spectateur dans le cerveau névrosé d'Elton John (séquence magique de la piscine, scène du miroir). Fletcher est capable d'alterner cette dimension fantastique inattendue avec des scènes sociales plus classiques, notamment lors des froids échanges avec les parents de la star. En dépit de la privation d'enfance dont il a été victime, on ne verse jamais dans le pathos ou l'absolution, c'est un message éminemment humaniste qui ressort de son expérience de vie hors du commun. La musique y a une place importante, mais n'est jamais prétexte à combler des cases vides ou se substituer à l'impact de la réalisation. Un film qui s'adresse à tous, et peut-être même avant tout aux non-fans du chanteur aux lunettes extravagantes.

Très fun dans son parti pris, Rocketman s’avère une suite de séquences musicales qui relatent les moments forts et autodestructeurs de la vie d’Elton John. Devant l’impossibilité de tout résumer en deux heures, défauts de certains biopics dont le récent Bohemian Rhapsody, Dexter Fletcher propose avec originalité une autre version du genre. Fun et assumé, conjugué à l’interprétation du génial Taron Egerton, le spectacle est assuré. requiemovies.over-blog.com/

Je suis un enfant du "Top 50" et un adolescent du "Hit Machine", je connais d'Elton John que ses titres récents mais son biopic "Rocketman" de Dexter Fletcher montre le chanteur en personnalité de profondeur avec ses succès et ses blessures en même temps qu'une comédie musicale de ses grands tubes avec des chorégraphies d'une virtuosité visuelle avec les paroles des chansons sous titrés en Français qui retracent des moments de sa vie. De ses débuts en Angleterre avec le divorce de ses parents jusqu'à sa consécration dans la musique, de ses déboires sentimentaux jusqu'à la drogue et l'alcool, voila un biopic que j'ai aimé qui plus est produit par Sir Elton John himself, j'ai trouvé l'histoire intéressante et pour ceux qui n'ont pas connu les années 70 comme moi, on apprend des choses. La réussite de ce film aussi, c'est la très grande interprétation de Taron Egerton qui incarne et chante Elton John formidablement bien. Il y a Jamie Bell qui joue son parolier à ses cotés. Formidable, quoi de plus.

Après le succès commercial de "Bohemian Rhapsody", les biopics musicaux semblent avoir la cote ! "Rocketman" revient sur la vie d'Elton John, de son enfance difficile entre un père froid et une mère absente, à un succès planétaire, en passant par une phase de déchéance. Une construction narrative très classique, retrouvée dans de nombreux biopics. Mais à la différence des autres biopics musicaux, "Rocketman" fait preuve d'une réelle audace visuelle. Les passages musicaux et introspections du protagonistes sont mis en scène de manière dynamique et survoltée, et travaillée visuellement (montage poétique, couleurs contrastées...). Sans compter les nombreux costumes improbables que l'on voit à l'écran, et les quelques scènes de sexe homosexuelles, chose encre peu courante dans le cinéma mainstream... De plus, Taron Egerton est convaincant et très bien imprégné du personnage d'Elton John, pianiste rockeur tourmenté par son foyer d'enfance peu heureux, et sa solitude. Enfin, le film comporte une BO très riche en titres du chanteur, qui ravira sans doute ses amateurs.

Les deux biopics musicaux étant sortis sur une période assez proche j’ai beaucoup comparé ce Rocketman avec Bohemian Rhapsody. Et pour être clair la comparaison n’est pas du tout à l’avantage du second. Rocketman prend le contrepied parfait du film réalisé sur Brian May .. houps pardon sur Freddie Mercury en proposant une vraie vision, interprétation de son personnage et sa musique et pas une imitation aussi réussie soit elle. Tout le long du film la musique d’Elton John va servir de support à l’histoire pour raconter sa vie, son œuvre en offrant quelques très bons moments, je prendrais l’exemple du passage Saturday Night qui m’a vraiment attrapé vainquant ainsi mon aversion pour les comédies musicales ce qu’il est totalement sûr ce passage. Taron Egerton ne se lance pas dans une imitation parfaite du chanteur en fait une excellente interprétation, il ne fait pas Elton John il devient Elton John. Alors non le film n’est pas parfait, on peut trouver ici ou la quelques longueurs mais il faut quand même saluer le fait de faire un vrai film qui raconte une histoire plutôt que de se contenter d’accumuler les anecdotes. Je ne suis pas un grand admirateur de la musique d’Elton John contrairement à celle de Queen mais je reverrais avec bien plus de plaisir ce Rocketman que le très mauvais Bohemian Rhapsody.

Loin d’être une histoire de vengeance, c’est une histoire de justice. Justice pour un artiste qui a souffert sur scène comme en-dehors et justice pour l’humiliante proposition de biopic sur Freddie Mercury ou Queen, car même à ce jour le film reste indécis sur ses propos. Passons outre cette maladresse qui aura causé bien des soucis et regardons de plus près cette proposition de Dexter Fletcher, revenu pour les raisons énoncées précédemment. Après sa comédie musicale “Sunshine on Leith” et le biopic sur “Eddie The Eagle” un athlète olympique de ski, il y avait de quoi baliser son arrivée. Appuyé de près par un scénario de Lee Hall, il se fait plaisir de jouer sur une mise en scène décalée, propre et avec une dose correcte d’extravagance. Elton John est un personnage que l’on rend complexe par la dramaturgie, mais également par des faits, dont le récit s’inspire afin de s’envoler dans une intrigue fantaisiste, mais évocatrice du mal-être d’une star, homosexuel en passant.

Que l’on aime ou non le chanteur-compositeur de prestige, les fans de comédies musicales seront servis et c’est sans doute un parti-pris nécessaire afin de confronter Elton, depuis son enfance, à ses difficultés d’intégration. Il recherche d’une part, de l’affection maternelle et surtout paternelle, qu’il ne trouve évidemment pas, c’est pourquoi il s’offre un tremplin d’émancipation vers le succès. Taron Edgerton finit donc par camper un jeune, mais pas si ambitieux Elton, qui dérive au gré du chant et rencontre ainsi un frère spirituel, Berni Taupin (Jamie Bell). Leur relation est construite autour d’une aura conflictuelle, qui tient de la fantaisie, car il faut bien alimenter l’ascension de la star avec un peu de tension. Mais cela reflète surtout ses prises de risque qui l’ont condamné à sombrer dans l’alcoolisme et addiction de stupéfiant. Le plaisir de chanter se dissipe et on finit par mieux entendre les larmes couler dans ces dernières prestations.

On trouve de la profondeur dans sa playlist réorchestrée et sous le charme d’un Edgerton impliqué et motivé. Dans son jeu, on ressent de l’angoisse et cette paralysie mentale qui le freine. Le film passe la majorité du temps à détailler la psyché du personnage, plutôt que de l’intégrer fidèlement dans un contexte historique. On ne voit qu’Elton, on n’entend qu’Elton se lamenter, mais combattre la maladie de la solitude et de la satisfaction. De ce côté-là, le film assume son décalage et il faudra l’accepter pour éviter d’être repoussé au fond de notre siège, voire en dehors de la salle. Oui, l’œuvre emprunte pas mal de facilités scénaristiques et flirte énormément avec des caricatures dignes des téléfilms, mais il serait intéressant d’étudier davantage l’envers du décor, car on aura vite fait le tour sur la sexualité décadente du personnage. Peut-être que cela manque d’enjeux sur l'influence des chansons sur le public, mais il semblerait que ce soit à nous d’interpréter les choses. Un jeu moins cinématographie, mais excitant, dès lors que l’on est captivé par l’énergie que dégagent le film et l’homme sous ses diverses carapaces plumées.

Les références sont donc nombreuses, mais les chansons parlent d’elles-mêmes, jusqu’à un point de rupture, auquel on donne le titre au film, “Rocketman”. À l’image de la star à son apogée, on imagine le délire narcissique et belliqueux d’une étoile montante. Rien de surprenant jusque-là, mais les nombreuses métaphores et paradoxes sont présents afin de nous inviter à une séance de guérison. La morale est en phase avec la bonne humeur, car on ne souhaite pas plus souiller l’image d’une star, sans doute traumatisée et qui rappelle ô combien les relations intimes les plus simples, sont les moins toxiques.

J'ai vu un film... qui surfe sur le thème éternel de la vie des stars, et là, c'est Elton John qui nous est présenté, et on est séduit par le talent unique de ce chanteur anglais fantasque qui rayonne sur la pop musique depuis près de 50 ans. Il y a une volonté d'onirisme dans la mise en scène et une ambition de créer des scènes avec un plan-séquence totalement maîtrisé. Certaines scènes sont un mélange de rêve, de jeux, de comédie musicale... Et en tant que spectateur, on est souvent emporté. Taron Egerton nous fait entrer dans la psychologie, la trajectoire et la dépendance de cette rock-star, avec un talent certain. Après, on sent bien aussi que la pudeur est de mise lorsque que l'on aborde le fameux triptyque de la période (Drug, Sex et Rock'n Roll).. Et les personnage qui gravitent autour d'Elton John sont vraiment intéressant. J'ai un faible pour Bryce Dallas Howard qui a un air de Sissy Spacek, Et les émotions contenues par Elton John dans les relations avec son père, sont vraiment émouvantes. Au final, c'est un film entier, touchant, et qui emporte l'adhésion...

Les biopics musicaux sont à la mode cette année, après notamment Bohemian Rhapsody que l'on peut être tenté de comparer. Tout comme ce dernier, Rocketman présente une facette relativement artificielle, peu étonnante lorsque l'artiste lui-meme fait partie de l'équipe de production. S'il n'y a rien à redire sur la réalisation et sur l'interpretation (excellentes), il faut lui reconnaître une prise de risque supérieure avec ses flashbacks et ses chorégraphies surréalistes. La recette, à la fois instructive, dramatique et entraînante, fonctionne parfaitement.

Une explosion savoureuse sur l'une des plus grand star de tous les temps. Sur fond de comédie musicale (brillante idée!), ce biopic certainement libre, je pense, n'en est pas moins passionnante et énergique comme à l'image de la rock star. Est ce que le choix de prendre Taron Egerton, pour l'incarner etait judicieux? Je pense que oui, sa jovialité et ses moments graves, il les maîtrisent assez bien. Acteur et chanteur (plutôt bon d'ailleurs!) habiller de tout les costumes cultes de la star. Certainement, accordé par Elton John, lui même. Et qui permet de révéler certain secret de sa vie personnel et artistique, comme le choix du nom de scènes. Jamie Bell pour incarné, son parolier, Bernie Taupin est aussi un bon choix. Michael Madden, en john Reid, cruel et méchant. Énormément d'humour et d'émotion, ce divertissement est jubilatoire.

Un biopic plaisant et bien construit sur la vie d'Elton John, sa vie, ses déboires, ses addictions, sa souffrance sur son manque d'amour parental. Le film, tourné en comédie musicale est bien rythmé et les différentes chansons du répertoire de "rocketman" se succèdent et nous entraînent dans un univers haut en couleur et en chanson. Taron Ederton est impeccable mais aussi Jamie Bell en fidèle compagnon et parolier. Le tout se suit avec vif intérêt et on passe un agréable moment.