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Votre avis sur Au cas où je n'aurais pas la palme d'or ?
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Ne t'en fais pas, de toute façon tu ne l'auras jamais la Palme d'Or.
Tout est laid, l'ambiance, l'univers, les musiques, les prises de vue, décors, personnages..! il m'a fallut m'y reprendre à 3 fois pour venir à bout de cet ovni cinématographique tant il est difficile à accrocher. Il ne sert pas le cinéma français et le message véhiculé est tellement tricoté sous forme de caricature et de ridicule que l'ensemble devient difficile d'accès. C'est sur c'est pas avec ca qu'il aura la palme..
traversay1
Renaud Cohen, comme le cinéaste héros d'Au cas où je n'aurais pas la Palme d'Or, n'avait pas tourné depuis plus de dix ans. Le film est donc autobiographique à fond, jouant d'une part sur la difficulté d'écrire et de financer une fiction, et ensuite sur la part inquiète, schizophrène et hypocondriaque du créateur. Placé sous les mânes de ses maîtres, Woody Allen et Nanni Moretti, le film a l'ambition de mettre en abyme l'existence de Renaud Cohen, joué par ce même Renaud Cohen, entouré de ses propres enfants et de quelques amis comédiens. Si c'était drôle, on pardonnerait le côté narcissique de la chose, mais ça ne l'est absolument jamais. Les gags tombent à plat, la voix off est agaçante, la mise en scène quelconque. Un film pour rien, ou presque. Egocentrique et d'une extrême platitude.
Un petit film français indépendant, dont le titre et le pitch avaient attiré mon attention, mais qui n'aura guère tenu ses promesses, malgré la présence dans des seconds rôles de comédiens reconnus tels que Julie Gayet, Frédéric Pierrot, Samir Guesmi...
"Au cas où je n'aurais pas la palme d'or" (2012) cumule les principaux défauts du film d'auteur pseudo élitiste : propos nombriliste, scénario minimaliste, visuel tristounet...
Certes le ton est original et l'auteur a le mérite de ne pas se prendre au sérieux, mais les éléments de comédie légère et burlesque s'intègrent difficilement au propos général : on se retrouve finalement face à une œuvre qui risque de ne satisfaire ni le spectateur lambda, ni le cinéphile exigeant.
Renaud Cohen n'avait pas tourné depuis 2000, d'où la trame de son autofiction ; pas sûr que le prochain film arrive plus rapidement...
"Au cas où je n'aurais pas la palme d'or" (2012) cumule les principaux défauts du film d'auteur pseudo élitiste : propos nombriliste, scénario minimaliste, visuel tristounet...
Certes le ton est original et l'auteur a le mérite de ne pas se prendre au sérieux, mais les éléments de comédie légère et burlesque s'intègrent difficilement au propos général : on se retrouve finalement face à une œuvre qui risque de ne satisfaire ni le spectateur lambda, ni le cinéphile exigeant.
Renaud Cohen n'avait pas tourné depuis 2000, d'où la trame de son autofiction ; pas sûr que le prochain film arrive plus rapidement...
A la fois comédie légère et réflexion profonde sur le métier de cineaste en France aujourd'hui . un objet rare où l'autodérision joue avec notre intelligence . et c'est si bon qu'on ne nous prenne pas pour des C...
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