Au cas où je n'aurais pas la palme d'or : Critique presse
Au cas où je n'aurais pas la palme d'or
Note moyenne
2,3
8 titres de presse
TéléCinéObs
Le Monde
Les Fiches du Cinéma
La Croix
Studio Ciné Live
Télérama
Critikat.com
Libération
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Le film ressemble à l'entreprise de son héros miroir : bancal, mordant, caustique mais jamais amer, et surtout mû par une énergie audacieuse et un rien neurasthénique qui en parachève le charme.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Humour absurde, veine auto-référentielle, douceur saugrenue et colères épiques : tout ici renvoie aux deux figures tutélaires du cinéma de l'affabulation intimiste que sont Woody Allen et Nanni Moretti. Une référence qui honore le film mais qui en marque, du même coup, les limites.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Marguerite Debiesse
Sur un air de déjà-vu, cette tragi-comédie intime et foldingue transforme l'autofiction égotiste en joyeux délire.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
La Croix
par Arnaud Schwartz
Renaud Cohen fait le pari de l'autodérision et de la mise en abîme de son art. Las, en dépit de quelques bonnes idées, le ton n'y est pas.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Voir le site de Studio Ciné Live
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Anne Dessuant
A force de se regarder filmer et de tout commenter en direct, Renaud Cohen empêche le film de décoller.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Ursula Michel
Film inodore et inoffensif, "Au cas où je n'aurais pas la Palme d'Or" incarne à merveille le repli sur soi d'un certain cinéma français, qui à force de se regarder le nombril oublie le monde.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Libération
par La Rédaction
[Le film] patauge vite dans la complaisance d'un postulat égocentrique et hypocondriaque dont il ne parvient à trouver l'issue.
La critique complète est disponible sur le site Libération
TéléCinéObs
Le film ressemble à l'entreprise de son héros miroir : bancal, mordant, caustique mais jamais amer, et surtout mû par une énergie audacieuse et un rien neurasthénique qui en parachève le charme.
Le Monde
Humour absurde, veine auto-référentielle, douceur saugrenue et colères épiques : tout ici renvoie aux deux figures tutélaires du cinéma de l'affabulation intimiste que sont Woody Allen et Nanni Moretti. Une référence qui honore le film mais qui en marque, du même coup, les limites.
Les Fiches du Cinéma
Sur un air de déjà-vu, cette tragi-comédie intime et foldingue transforme l'autofiction égotiste en joyeux délire.
La Croix
Renaud Cohen fait le pari de l'autodérision et de la mise en abîme de son art. Las, en dépit de quelques bonnes idées, le ton n'y est pas.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live
Télérama
A force de se regarder filmer et de tout commenter en direct, Renaud Cohen empêche le film de décoller.
Critikat.com
Film inodore et inoffensif, "Au cas où je n'aurais pas la Palme d'Or" incarne à merveille le repli sur soi d'un certain cinéma français, qui à force de se regarder le nombril oublie le monde.
Libération
[Le film] patauge vite dans la complaisance d'un postulat égocentrique et hypocondriaque dont il ne parvient à trouver l'issue.