Mon compte
    Une Histoire d'amour
    Note moyenne
    1,7
    459 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Une Histoire d'amour ?

    110 critiques spectateurs

    5
    8 critiques
    4
    7 critiques
    3
    19 critiques
    2
    22 critiques
    1
    32 critiques
    0
    22 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 29 janvier 2013
    On aura bien du mal à résumer de façon intéressante Une histoire d'amour, car celui-ci en effet ne raconte pas à proprement parler une histoire. Nous n'avons pas affaire à des personnages construits non plus, mais à des pantins peu caractérisés qui se débattent avec des phrases toutes faites concoctées par une scénariste égoïste dans ce faux-scénario. Égoïste oui, car si Hélène de Fillières (qui signe le scénario et la réalisation de cette adaptation hasardeuse) sait qui sont ses personnages, leur background, leurs désirs, etc., elle ne partage aucune info spoiler: ... La suite sur Plog Magazine, les critiques des ours http://lescritiquesdesours.blogspot.fr/2013/01/1h20-sortie-le-9-janvier-2013-un-film.html
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 3 février 2013
    J’ai adoré l’atmosphère du film, le décor épuré et froid. Ça crée une ambiance vraiment intéressante, du moins, à mon goût. Que se soit les meubles, les voitures, les maisons, les vêtements tout est dans cette ambiance. C’est inquiétant de simplicité, une impression de calme avant la tempête. Pourtant, on a un peu l’impression que cette tempête ne vient jamais. Le film ne décolle jamais vraiment, ce que je regrette vraiment. L’histoire et les acteurs auraient pu permettre un film puissant et prenant mais les dialogues sont trop épurés, ce qui crée certes, une certaine atmosphère mais du coup les personnages ne sont pas assez développés. On ne comprend ni la relation de Lætitia Casta avec son mari, ni celle qu’elle a avec Poulevoorde. (Preuve que les personnages ne sont pas assez développés, j’ai oublié leur nom). Un film qui se prend parfois trop au sérieux alors qu’il n’est pas abouti.
    max burton
    max burton

    17 abonnés 3 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 octobre 2013
    Un Poelvoorde excellent mais peu de ressenti à la vision de ce film même si le parti pris de la froideur est volontaire.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 7 août 2013
    Une étoile pour les décors : jolies canapés blancs qui sentent le neuf, jolies parquets, jolies voitures aussi, nickel-chromes.
    Concernant le traitement du sujet et des personnages, on est dans la caricature par hypocrisie, refus de poser un point de vue sur cette histoire.
    La scénariste/ réalisatrice a bien insisté sur le fait qu'elle ne voulait pas juger les personnages et ce qu'ils vivent (très tendance de nos jours de "ne pas juger"). Mais il semble que pour elle, ne pas juger, se résume à dévitaliser l'intériorité de ces personnages de toute motivation pertinente et surtout dédouaner le personnage de la jeune femme de toute culpabilité dans le meurtre de son amant. Car que nous révèle-t-on de cette jeune femme : qu'elle n'a aucune pulsion de violence qui lui soit propre : les parties sado-maso, elle est pas pour, elle y va à reculons, et par AMOUR, bien sûr, elle s'y soumet par Amour, pour le satisfaire, lui ( il est dominateur, demande à être soumis dans l'acte sexuel, mais finalement, il reste dominateur dans l'acte sexuel, puisqu'elle se soumet à être dominatrice, alors qu'elle voudrait pas). On voit rapidement que va se créer un déséquilibre dans l'image des personnages, puisque le personnage du banquier sera le sale type du début à la fin, mais finalement, il aura ce qu'il mérite, n'est-ce pas ? Puisque la pulsion de violence qui aboutira au meurtre ne sera pas celle de la jeune femme mais celle du banquier, que le banquier aura imposé à la jeune femme !
    La preuve qu'elle n'a aucune violence en elle : même quand elle met des gifles au banquier (en dehors de leurs séances sado-maso) parce qu'il a vraiment été exécrable, et bien, là encore tout instinct de réelle violence du personnage est désamorcé par une mine affligée de remord. Elle est pas mauvaise, la bougresse, on vous le dit ! En fait, c'est mère Térésa ! Elle fait tout par AMOUR !
    La preuve, elle est pas vénale non plus. L'argent, elle en veut pas. D'ailleurs, c'est lui qui lui en parle, pas elle. C'est lui, le sale type qui veut tout acheter, qui lui promet un million alors qu'elle, elle a rien demandé. D'ailleurs, le personnage ne demande jamais rien, ne dis pas grand chose sur ses attentes et ne s'affirme pas dans quoi que se soit. Même quand il lui parle mariage, on sait pas si elle veut : mais elle doit surement vouloir, puisqu'elle refuse pas (alors que pour l'argent, on lui fait bien dire qu'elle en veut pas avec force de cris). Elle est pas vénale, si vous avez pas compris ! Donc c'est sûr qu'elle le tuera pas à cause de ça, et que ce meurtre sera moins sordide.
    Quand elle en a marre de ce type qui l'a fait souffrir, elle répond plus au téléphone, ce qui fait craquer le banquier et donne lieu à des scènes où il va au devant d'elle. La preuve qu'ils sont dans la passion : ils se font du mal, mais ils peuvent pas se séparer, ils finissent par revenir l'un vers l'autre !!! Pour pas tomber dans le mélodrame bidon, on plombe tout avec des acteurs qui font la gueule dans les beaux espaces vides ! Sauf que ça plombe aussi tout le ressenti passionnel qui serait censé émerger ! Mais c'est vrai que cette histoire, on n'est là pour la comprendre même pas en nous la faisant ressentir car "les histoires d'amour sont des planètes privées !" Alors finalement pourquoi faire un film sur une histoire qui est vouée d'avance rester hermétique car trop personnelle ?
    Le banquier de son côté, ben, c'est un type dominateur, sans humanité qui aime humilier, qui est "fort avec les faibles, et faibles avec les forts" d'après la jeune femme, sauf que ça dans le film, on nous le montre jamais : il est froid et exécrable avec tout le monde, même le ministre !!! Sa demande redondante à être "mis à mort" dans leurs ébats ? rien d'autre qu'une provocation pour humilier comme un jeu de "t'es pas cap !" Est-ce que tous ceux qui pratiquent le SM ont de telles demandes dans leurs jeux ? Sûrement pour la réalisatrice, puisqu'elle ne prend pas la peine de traiter cette demande, qui porte quand même l'enjeu dramatique du film, comme un élément singulier à interroger. Aucune interrogation non plus sur le désir masculin que la réalisatrice prétend questionner ! Ou alors il faut y comprendre que l'homme à une pulsion violente et la femme n'en a aucune ? Le pauvre Poelvoordre fait ce qu'il peut avec un personnage aussi grossièrement échafaudé.
    Pour finir, je voudrais revenir sur la scène finale : cette scène s'ouvre sur le personnage de la jeune femme qui propose une énième partie SM que l'on sent se profiler comme la dernière. En effet, pour une fois, c'est elle qui propose, elle est bien plus apprêtée que d'ordinaire, on sent qu'elle veut l’appâter avec des attitudes plus vénéneuses, elle qui les autres fois semblait y aller avec peu d'entrain. Tout contribue à nous suggérer qu'elle a déjà l'idée derrière la tête. Que Nenni ! Une fois, le banquier ficelé, elle ouvre un tiroir pour y prendre un objet et là, elle tombe fortuitement et malencontreusement nez à nez avec le révolver, qu'elle finit par prendre avec un mouvement d'hésitation apeurée. Et puis, elle se colle devant lui, le braque, il l'incite à en finir et elle tire, malgré elle, puisqu'on nous la montre le visage déchiré de douleur. Elle voulait pas mais il l'a obligé. C'est pas sa pulsion à elle, c'est la sienne à lui. Elle est pas coupable mais lui, il l'est. On juge pas, sauf le banquier, mais, là on peut, c'est un sale type !
    On pourrait aussi s'arrêter sur la scène précédente au resto, où le personnage de la jeune femme dégueule un déluge de menaces ridicules au banquier et qui la rend pitoyable d'impuissance et décrédibilise le personnage du banquier (comment peut-il être inquiété par quelques menaces verbales d'une maitresse humiliée, lui qui manie un cynisme autrement plus cinglant ?)
    Mais bon, tout le problème du film est là : la jeune femme est le "bon personnage", le banquier est le "mauvais" ... le film ne raconte rien d'autre qu'une pseudo histoire de cul enrubannée dans des grands airs dramatiques fatigants et vidés de toute passion et sur laquelle on a mis un titre bateau !
    Deux mots sur les lumières : y 'a des scènes où on distingue par grand chose !
    Par contre, la structure du scénario et le montage sont plutôt bien maîtrisé, on ne se perd pas dans les aller -retour entre les scènes.
    On sent la volonté de dialogues concis, je les ai trouvé poseurs pour certains et redondants pour d'autres (les "qu'est-ce que tu veux ? de Poevoorde), et le choix du chuchotage quasi permanent donne un côté artificiel à cette liaison qui se voudrait passionnelle.
    Poelvoorde s'en sort comme il peut, c'est pas sa meilleure prestation ! Casta (son personnage m'a plus agacée qui touchée) des mines justes quand elle joue le visage fermée, tire-gueule, moins crédible quand elle doit jouer sur l'émotionnel !
    galary
    galary

    5 abonnés 49 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 janvier 2013
    Pour un premier film, Hélène filières fait fort. Un film glaçant, impressionnant de maîtrise formelle (ce qui fait du bien dans le cinéma français du moment). Alors oui, il est difficile d'être totalement touché par le film, mais la prestation des deux interprètes restera. Les 5 étoiles que je donne sont sans doute excessives mais devant le ton des critiques presse tellement à côté de la plaque, au moins cela fera une moyenne plus acceptable et proche de la réalité.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 17 août 2013
    Point positif : Très belle réalisation. Simple mais aux images splendides (merci Mr le directeur de la photo). Certains diront sûrement que ces images sont trop "classieuses", mais moi, je les ai trouvé superbes. Casta est splendide dans une grande simplicité (et pourtant en principe, je ne la bade pas !), Poelvoorde est classe et inquiétant à souhait...
    Point négatif : A force de suggestions et non d'explications, l'histoire devient nébuleuse...Si on ne connaît pas l'histoire source, on reste un peu dubitatif.
    Bref, belle surprise...mais film pas très clair.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 1 avril 2015
    Benoit t'es aller faire quoi dans cette galère!! Que dire si ce n'est qu'il n'y a ici aucun film, aucun personnage, aucune histoire. Anecdote. "Une histoire d'amour", titre mensonger puisqu'il n'y a absolument aucune trace d'amour dans ce film français et ne servira pas, hélas, en ces temps de remise en question par l'opinion, à le défendre.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 26 janvier 2013
    Un film se base sur un scénario, et ici c'est un problème ! Toute cette histoire reste bancal, parfois avec des béances, des éléments inexpliqués, et peu à peu on décroche du film...
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 8 janvier 2014
    [...]Les décors et les costumes, participent, à un parti pris, volontaire sans doute, à cette impression de froideur. On se croirait presque dans un film en noir et blanc. Heureusement que Benoît Poelvoorde en banquier arrogant et suffisant et Laetitia Casta en maîtresse dominatrice sont généralement de bons acteurs mais qui ne peuvent ici sauver ce désastre. La bande son anime honorablement l’ensemble.

    Il en résulte un climat malsain, dont l’issue, trop prévisible ne surprendra personne. Bref, je me suis ennuyée ferme et j’avoue que je me suis forcée pour regarder jusqu’au bout ce que je considère comme un non-film.

    Retrouvez la totalité de cette critique et bien d'autres sur:
    Scuba16
    Scuba16

    4 abonnés 13 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 13 juin 2013
    Mon dieux quelle nullité , comment peut on en arriver la ???? Le sujet est mal traiter , des acteurs pas a leur place , une ambiance glauque lourde et ennuyante , ne perdez pas votre temps ...
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 17 janvier 2013
    Très déçue, film sans intérêt, le scénario tourne en rond et il ne se passe presque rien !
    Film Glacial!

    Je tenais quand même à souligner les performances des deux acteurs Poelvoorde et Casta!
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 11 janvier 2013
    L’excitation sexuelle d’un point de vue psychiatrique vient d’une excitation physique. Cet insaisissable instant dérange la morale. On peut chercher des tas de raisons à son comportement dans l’enfance du personnage, mais ce qui compte, c’est qu’il éprouve une excitation quand il a mal. Les gens qui se raccrochent à la moralité sont ceux qui ont peur de leurs pulsions. Émettre un jugement moral sur cette histoire, c’est pouvoir se rassurer et se dire: « Je suis du bon côté. » Mais moi, dans le film, ce qui m’intéresse, c’est que l’on sente précisément la jouissance, les pics d’excitation de ce banquier.
    Stephane Lagleyse
    Stephane Lagleyse

    9 abonnés 2 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 janvier 2013
    Les acteurs sont justes tops !
    Une petite plongé dans la schizophrénie, l'Amour, et jusqu'où peut-il aller !
    Et une musique d’Étienne DAHO, superbe !
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 18 février 2013
    où est le scénario? Il n'y en a aucun. les scènes sans aucun enjeu, sans aucune émotion s'enchainent une à une dans une lumière atroce. On dirait que tout a été filmé en HI8. les comédiens? perdus, ils attendent leur cachet tranquillement en écoutant la réalisatrice les diriger en leur débitant des sornettes sur leur personnage...Cela se veut sulfureux, c'est juste petit bourgeois.
    Bref, à voir si l'on veut encore se faire une idée du cinéma français dans toute sa splendide nullité.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 10 janvier 2013
    Si votre supérieur hiérarchique vous dit que c'est inutile que vous assistiez à la prochaine réunion de "budgetisation des projets pharaoniques et relous" alors que vous l'animiez précedemment ou si votre compagne vous dit sèchement "je serai mieux quelques jours chez mes parents à Beauvais, j'emmène Guy-Foulques et Marie-Sixtine", aller voir "une histoire d'amour" d'Hélène Fillières ne vous rendra pas votre joie initiale. Benoît Poelvoorde et Laetitia Casta jouent admirablement leurs rôles, elle éprise pour de mauvaises raisons de ce banquier puant et arrogant appréciant de se faire claquer le beignet par madame, lors de jeux interdits à nos jeunes amis. L'ambiance est pesante, grise mais le film est esthétique, avec en plus le fond sonore Dahoesque qui sied à ces décors d'appartements minimalistes. On ne se marre pas mais l'on apprend que l'acteur de Namur sait aussi être grave.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top