Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Hélène Fillières offre des rôles en or à Benoît Poelvoorde et Lætitia Casta, impeccable, dans "Une histoire d'amour".
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Le Figaroscope
par Jean-Luc Wachthausen
Pas de vulgarité ni de voyeurisme dans cette approche feutrée d'un rapport amoureux effrayant, vertigineux. Pas de psychologie de bazar non plus. Rien que des images qui soulignent la souffrance et les noirceurs de l'âme humaine.
TéléCinéObs
par Sophie Grassin
Fillières, en assumant de vrais choix, fait indéniablement du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Paris Match
par Alain Spira
Pourtant, Poelvoorde est excellent dans le registre de la haine de soi et de l'arrogance, et Casta est meilleure de film en film. Reste que rarement "histoire d'amour" aura été si antipathique à regarder.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Studio Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Le film ne tient pas la route : son théâtre endimanché dans les habits du trouble a vite fait de le figer dans un folklore un peu ridicule, balourdement symbolique, emblématisé par les poses un brin embarrassantes d'un Richard Bohringer marmoréen en diable et confit dans ses silences-qui-en-disent-long.
Critikat.com
par Estelle Bayon
En appuyant sans cesse tout ce qui dans son film "fait cinéma", [Fillières] perd ce que justement elle ne cesse de chercher [...] : le trouble.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Express
par Eric Libiot
Voir le site de L'Express.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Vincent Ostria
Passant pour la première fois derrière la caméra, Hélène Fillières fait de cet imbroglio un drame pseudo-maso qui satisfera surtout les adeptes du design et des véhicules de luxe. Les autres compteront les minutes.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Arnaud Schwartz
(...) ce film au sujet très vénéneux ne parvient hélas pas à dépasser le stade de la fascination morbide.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Le film, pourtant ambitieux, passe à côté du sujet.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Nathalie Zimra
Hélène Fillières s'intéresse à la passion masochiste et funeste entre le banquier Stern et sa maîtresse : en faisant l'économie d'un minimum de mise en perspective psychologique, elle rate complètement sa cible.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jean-Marc Lalanne
(...) la stylisation non sans beauté de l'image (...) ne parvient pas à cacher que quelque chose de cette létale histoire d'amour n'arrive pas à s'inscrire à l'écran.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
par Danièle Heymann
(...) le premier film d'Hélène Fillières s'avère glacial et peu convaincant.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par La Rédaction
Laetitia Casta et Benoît Poelvoorde ne peuvent rien pour donner de la passion et de la chair à ce premier film très maniéré d'Hélène Fillières, installé dans une ambiance glaciale et sophistiquée.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Première
par Christophe Narbonne
(...) le premier essai d'Hélène Fillières derrière la caméra se présente comme un film d'atmosphère, noir à souhait (...) pourquoi pas, sauf qu'un tel sujet nécessitait aussi un minimum d'écriture.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Louis Séguin
Ce jeu pervers entre les deux amants se déroule sur un camaïeu de gris et de noir, dans des décors sans charme.
Télé 7 Jours
par Viviane Pescheux
(...) Hélène Fillières signe un premier film radical, stylisé (trop ?), qui peut dérouter.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Les agitations de Benoît Poelvoorde et l'impassibilité de Laetitia Casta se révèlent peu convaincantes, égarées dans l'observation clinique et vaine d'une liaison résolument déshumanisée.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
En ne développant rien de la psychologie des intéressés, en résumant les tenants et les aboutissants de cette relation sado-masochiste à une histoire floue d'armes et d'argent, Hélène Fillières rend un film qui manque singulièrement de liant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Didier Péron
D'accord mais le film, en l'état, en dépit de toutes les bonnes intentions qui le guident, et de l'intelligence qui le fonde, apparaît comme terriblement raté.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Metro
par Marilyne Letertre
Ni émotion, ni trouble, ni empathie.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Positif
par Fabien Baumann
Hélène Fillières, pour ses débuts comme réalisatrice, semble avoir surtout retenu le mot "riche". (...) On en reste donc à la Casta qui fait la gueule en pantalon chic, à des dialogues de téléfilm érotique de M6 et à une esthétique de pub pour voiture de sport.
La critique complète est disponible sur le site Positif
TF1 News
par Romain Le Vern
(...) Un salmigondis sursignifiant dans ses intentions, faussement sulfureux dans son traitement, impossible dans ses dialogues...
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Télérama
par Frédéric Strauss
Ce fait divers hors du commun retombe dans ce que le cinéma d'auteur français a de plus banal et qu'on croyait aujourd'hui dépassé : un petit univers replié sur lui-même.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
Hélène Fillières offre des rôles en or à Benoît Poelvoorde et Lætitia Casta, impeccable, dans "Une histoire d'amour".
Le Figaroscope
Pas de vulgarité ni de voyeurisme dans cette approche feutrée d'un rapport amoureux effrayant, vertigineux. Pas de psychologie de bazar non plus. Rien que des images qui soulignent la souffrance et les noirceurs de l'âme humaine.
TéléCinéObs
Fillières, en assumant de vrais choix, fait indéniablement du cinéma.
Paris Match
Pourtant, Poelvoorde est excellent dans le registre de la haine de soi et de l'arrogance, et Casta est meilleure de film en film. Reste que rarement "histoire d'amour" aura été si antipathique à regarder.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
Cahiers du Cinéma
Le film ne tient pas la route : son théâtre endimanché dans les habits du trouble a vite fait de le figer dans un folklore un peu ridicule, balourdement symbolique, emblématisé par les poses un brin embarrassantes d'un Richard Bohringer marmoréen en diable et confit dans ses silences-qui-en-disent-long.
Critikat.com
En appuyant sans cesse tout ce qui dans son film "fait cinéma", [Fillières] perd ce que justement elle ne cesse de chercher [...] : le trouble.
L'Express
Voir le site de L'Express.
L'Humanité
Passant pour la première fois derrière la caméra, Hélène Fillières fait de cet imbroglio un drame pseudo-maso qui satisfera surtout les adeptes du design et des véhicules de luxe. Les autres compteront les minutes.
La Croix
(...) ce film au sujet très vénéneux ne parvient hélas pas à dépasser le stade de la fascination morbide.
Le Monde
Le film, pourtant ambitieux, passe à côté du sujet.
Les Fiches du Cinéma
Hélène Fillières s'intéresse à la passion masochiste et funeste entre le banquier Stern et sa maîtresse : en faisant l'économie d'un minimum de mise en perspective psychologique, elle rate complètement sa cible.
Les Inrockuptibles
(...) la stylisation non sans beauté de l'image (...) ne parvient pas à cacher que quelque chose de cette létale histoire d'amour n'arrive pas à s'inscrire à l'écran.
Marianne
(...) le premier film d'Hélène Fillières s'avère glacial et peu convaincant.
Ouest France
Laetitia Casta et Benoît Poelvoorde ne peuvent rien pour donner de la passion et de la chair à ce premier film très maniéré d'Hélène Fillières, installé dans une ambiance glaciale et sophistiquée.
Première
(...) le premier essai d'Hélène Fillières derrière la caméra se présente comme un film d'atmosphère, noir à souhait (...) pourquoi pas, sauf qu'un tel sujet nécessitait aussi un minimum d'écriture.
Transfuge
Ce jeu pervers entre les deux amants se déroule sur un camaïeu de gris et de noir, dans des décors sans charme.
Télé 7 Jours
(...) Hélène Fillières signe un premier film radical, stylisé (trop ?), qui peut dérouter.
Le Journal du Dimanche
Les agitations de Benoît Poelvoorde et l'impassibilité de Laetitia Casta se révèlent peu convaincantes, égarées dans l'observation clinique et vaine d'une liaison résolument déshumanisée.
Le Parisien
En ne développant rien de la psychologie des intéressés, en résumant les tenants et les aboutissants de cette relation sado-masochiste à une histoire floue d'armes et d'argent, Hélène Fillières rend un film qui manque singulièrement de liant.
Libération
D'accord mais le film, en l'état, en dépit de toutes les bonnes intentions qui le guident, et de l'intelligence qui le fonde, apparaît comme terriblement raté.
Metro
Ni émotion, ni trouble, ni empathie.
Positif
Hélène Fillières, pour ses débuts comme réalisatrice, semble avoir surtout retenu le mot "riche". (...) On en reste donc à la Casta qui fait la gueule en pantalon chic, à des dialogues de téléfilm érotique de M6 et à une esthétique de pub pour voiture de sport.
TF1 News
(...) Un salmigondis sursignifiant dans ses intentions, faussement sulfureux dans son traitement, impossible dans ses dialogues...
Télérama
Ce fait divers hors du commun retombe dans ce que le cinéma d'auteur français a de plus banal et qu'on croyait aujourd'hui dépassé : un petit univers replié sur lui-même.