Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Entre amour et haine, entre fascination et répulsion, il nous entraîne dans une valse-hésitation envoûtante aux côtés de seconds rôles épatants interprétés par Eric Judor et William Fichtner.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Ce récit malade, qui progresse comme par métastases, se déploie sur une pente toujours plus inquiète et terrifiante (le film au fond n'est pas vraiment drôle, limite sinistre), qui est bien ce qui intéresse le plus chez Dupieux, et qui l'installe un peu mieux dans la lignée Buñuel-Resnais-Lynch à laquelle sans doute il prétend.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
"Wrong" fourmille de trouvailles visuelles et scénaristiques farfelues. Dupieux a semble t-il dévoré les restes de Buñuel au pti déj avant de s'enfuir au pays des fous. On en veut aussi !
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Tout cela constitue un petit univers délirant comme un cauchemar. Il lui manque juste un tout petit peu plus de nerf (à cet égard, la bande-annonce est un modèle épatant).
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Souvent Quentin Dupieux frôle le néant, le simple gag, tandis que le film effectue une opération étrange, souterraine : il nous manipule et nous surprend, nous bouleverse au premier degré.
Au fond, Dupieux se contente de partir de situations aberrantes, comme on lancerait les dés, puis de les développer avec une logique à toute épreuve jusqu'à ce qu'elles finissent pas s'assembler miraculeusement dans un ensemble cohérent.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
Supérieur à "Steak" et à "Rubber", ses deux précédents films aux arguments trop minces pour tenir la route, "Wrong" (...) dit tout, c'est "Alice au pays des merveilles" en mode déviant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Avec "Wrong", il enfonce le clou, et son sens de l'absurde prend une passionnante tournure existentielle (...) on reste tendus jusqu'à la dernière image, superbe.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
"Wrong" est en somme au cinéma ce que le sample est à la musique : l'absorption et la transformation par un artiste des oeuvres d'autrui. (...) Mais à force de prendre des chemins de traverse, le film s'égare, révélant à la longue plus de creux que de pleins.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Toujours soucieux de livrer un cinéma unique, Quentin Dupieux creuse encore et livre "Wrong" : les adorateurs du drôle d'Oizo adoreront, tandis que ses détracteurs continueront de détester.
Le seul souci, parce qu'il y en a un, c'est la capacité du spectateur à trouver une porte d'entrée, fût-elle étroite, dans ce "Wrong world" où les situations prosaïques (aller travailler, chercher son chien, commander une pizza, faire des travaux dans le jardin...) deviennent des tremplins en direction du plus proche hôpital psy.
La critique complète est disponible sur le site Libération
"Wrong" pousse le délire tellement loin qu'il risque de perdre encore plus de spectateurs en cours de route. (...) Peu importe au fond : on aimerait tant que d'autres réalisateurs osent emprunter cette voie punk et radicale, si difficilement compatible avec les contraintes de la grande consommation.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Si l'absurde et le surréalisme sont encore au rendez-vous, il eut été plus judicieux de les mettre au service d'un propos et non d'un grand n'importe quoi, au bout du compte franchement pénible.
La critique complète est disponible sur le site Metro
La machine tourne à vide, bien que très bruyamment. Ne nous laissons pas embobiner et appelons un chat un chat : "Wrong", c'est du toc et rien d'autre.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le petit univers absurde de Quentin Dupieux aurait-il déjà atteint ses limites ? C'est le sentiment que l'on a à la vision de "Wrong" où son surréalisme arty, son humour stagnant et son esthétique américanophile, si ludiques et iconoclastes dans "Steak" et "Rubber", tournent terriblement à vide.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
20 Minutes
Entre amour et haine, entre fascination et répulsion, il nous entraîne dans une valse-hésitation envoûtante aux côtés de seconds rôles épatants interprétés par Eric Judor et William Fichtner.
Cahiers du Cinéma
Une réflexion existentielle, à la manière d'un petit tableau accroché dans un boudoir, qui inviterait celui qui le regarde à la réflexion.
Chronic'art.com
Ce récit malade, qui progresse comme par métastases, se déploie sur une pente toujours plus inquiète et terrifiante (le film au fond n'est pas vraiment drôle, limite sinistre), qui est bien ce qui intéresse le plus chez Dupieux, et qui l'installe un peu mieux dans la lignée Buñuel-Resnais-Lynch à laquelle sans doute il prétend.
CinemaTeaser
Voici un autre cinéma, drôle et émouvant en son genre, de la part d'un réalisateur qui, en cinq ans, a développé un art à part, hautement sophistiqué.
Ecran Large
"Wrong" fourmille de trouvailles visuelles et scénaristiques farfelues. Dupieux a semble t-il dévoré les restes de Buñuel au pti déj avant de s'enfuir au pays des fous. On en veut aussi !
L'Humanité
Tout cela constitue un petit univers délirant comme un cauchemar. Il lui manque juste un tout petit peu plus de nerf (à cet égard, la bande-annonce est un modèle épatant).
Les Inrockuptibles
Souvent Quentin Dupieux frôle le néant, le simple gag, tandis que le film effectue une opération étrange, souterraine : il nous manipule et nous surprend, nous bouleverse au premier degré.
Mad Movies
Au fond, Dupieux se contente de partir de situations aberrantes, comme on lancerait les dés, puis de les développer avec une logique à toute épreuve jusqu'à ce qu'elles finissent pas s'assembler miraculeusement dans un ensemble cohérent.
Première
Supérieur à "Steak" et à "Rubber", ses deux précédents films aux arguments trop minces pour tenir la route, "Wrong" (...) dit tout, c'est "Alice au pays des merveilles" en mode déviant.
Télérama
Avec "Wrong", il enfonce le clou, et son sens de l'absurde prend une passionnante tournure existentielle (...) on reste tendus jusqu'à la dernière image, superbe.
Elle
Un objet filmique non identifié qui ne demande qu'à être regardé.
Le Monde
"Wrong" est en somme au cinéma ce que le sample est à la musique : l'absorption et la transformation par un artiste des oeuvres d'autrui. (...) Mais à force de prendre des chemins de traverse, le film s'égare, révélant à la longue plus de creux que de pleins.
Les Fiches du Cinéma
Toujours soucieux de livrer un cinéma unique, Quentin Dupieux creuse encore et livre "Wrong" : les adorateurs du drôle d'Oizo adoreront, tandis que ses détracteurs continueront de détester.
Libération
Le seul souci, parce qu'il y en a un, c'est la capacité du spectateur à trouver une porte d'entrée, fût-elle étroite, dans ce "Wrong world" où les situations prosaïques (aller travailler, chercher son chien, commander une pizza, faire des travaux dans le jardin...) deviennent des tremplins en direction du plus proche hôpital psy.
Positif
"Wrong", malgré son relatif enlisement scénaristique (mais plus abouti que "Rubber") nous donne envie de goûter au prochain titre de Quentin Dupieux.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
TF1 News
"Wrong" pousse le délire tellement loin qu'il risque de perdre encore plus de spectateurs en cours de route. (...) Peu importe au fond : on aimerait tant que d'autres réalisateurs osent emprunter cette voie punk et radicale, si difficilement compatible avec les contraintes de la grande consommation.
La Croix
Quelques plans surprenants, un sommet d'humour absurde... et d'ennui.
Metro
Si l'absurde et le surréalisme sont encore au rendez-vous, il eut été plus judicieux de les mettre au service d'un propos et non d'un grand n'importe quoi, au bout du compte franchement pénible.
Critikat.com
La machine tourne à vide, bien que très bruyamment. Ne nous laissons pas embobiner et appelons un chat un chat : "Wrong", c'est du toc et rien d'autre.
Première
Esthète surdoué, Dupieux s'enferme dans son soliloque, une pose arty égotiste dont il ne sort que pour violenter son spectateur.
TéléCinéObs
Le petit univers absurde de Quentin Dupieux aurait-il déjà atteint ses limites ? C'est le sentiment que l'on a à la vision de "Wrong" où son surréalisme arty, son humour stagnant et son esthétique américanophile, si ludiques et iconoclastes dans "Steak" et "Rubber", tournent terriblement à vide.