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Danny Wilde
121 abonnés
502 critiques
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3,5
Publiée le 5 septembre 2014
Passé presque inaperçu, et vilipendé injustement par la critique, ce film n'est certes pas d'un très haut niveau, le scénario est peu original mais qu'importe, c'est un petit polar musclé très sympathique où Schwarzy s'énerve et flingue à tout va une armada de types qui avaient le tort de se trouver au mauvais endroit ; il passe la serpillière à mafieux en restant imperturbable et en balançant ses vannes, sur une B.O. au synthé très années 80 qui colle parfaitement à l'action. Avec en prime quelques bons seconds rôles comme l'excellent Robert Davi. Du vrai cinéma de plaisir.
Un schwarzie correct sans plus des années 80, arnold n'a jamais été un grand acteur , se jouant toujours de ses muscles et s'est toujours gamellé quand il voulait changer de registre, ça fait quand même du bien de revoir des films quand il tenait encore debout suite à ses ennuis de santé ( les anabolisants ça pardonne pas ), il faut quand même reconnaitre qu'il a eu un destin exceptionnel , parti de rien en arriver là , chapeau ,le film se laisse donc regarder tranquillement d'un oeil en pianotant sur internet
Scénario pas très étoffé et cousu de fil blanc. Schwarzy pas crédible en costard-cigare. Le pire est qu'on tente de nous faire croire à un polar assez classique dans son déroulement (infiltration, soupçon, la fille,...) mais qui soudain se noie dans un final "rambolien". Une explosion de testostérone aussi brusque que maladroit. Un exemple parfait du Arnold de base : bourrin et sans réel talent d'acteur.
Le contrat, un petit film d'action des années 80 avec Arnold Schwarzenegger, ce n'est pas le meilleur film du genre, ni un des meilleurs Schwarzy, mais ça ce regarde, ne serait-ce que pour la comédie d'action, les bagarres et le petit plaisir vintage.
Un bon polar des années 80, Schwarzi dans un rôle légèrement différend de ceux qu'on lui proposaient à l'époque, un peu plus de dialogue et de jeu d'acteur, il s'en sort très bien.
Bien sur que ce ce n'est pas du grand cinéma et même dans son genre il existe des films de meilleures qualités pourtant Le Contrat qui fait partie des flops d'Arnold Schwarzenegger (il a en plus joué dans ce film pour mettre fin à son contrat le liant au producteur Dino de Laurentiis) se laisse regarder sans problème. Un divertissement qui m'avait plu étant gamin, puis l'ayant revu une fois adulte m'avait paru médiocre et lors d'une récente revoyure m'a apparu tel qu'il est c'est-à-dire une sympathique série B à mater à la gloire du personnage principal incarnation du héros quasi parfait qui a lui seul mettra la pâtée aux méchants (dans le cas présent à un parrain et ses sbires de la mafia de Chicago dont certains sont incarnés par des gueules du cinéma dont Robert Davi). C'est vraiment pas déplaisant à mater sans prise de tête, c'est assez rythmé comme l'ouverture qui offre des scènes d'action efficaces (le début a même un côté assez sombre rappelant un peu les polars des années 70) puis le final nous offrira des fusillades assez explosives typiques des films d'action des années 80. Si le bodybuilder Autrichien a moins l'occasion ici de sortir des vannes d'autodérision, il est toujours convaincant dans la peau du personnage courageux et bagarreur, il incarne un flic aux méthodes particulièrement expéditives. Donc voilà un film pas désagréable à voir pour se divertir, la musique est sympa aussi.
Un classique d'Arnold. Simple, fort et efficace. On prend toujours du plaisir à le regarder et ce thème musical est juste jouissif. UN classique qui n'est pas le meilleur Schwarzy, mais un qui fait partie du haut du panier.
La réception d’un film dépend beaucoup de son état d’esprit quand on le découvre. Le soir où j ai lancé « le contrat » j étais fatigué et je voulais voir Schwarzenegger dessouder des méchants avec tous les types d’armes qui pourraient lui passer sous la main. Et bien j ai été ravi. Le contrat n est pas un grand film d’action, la mise en scène est quelconque, le scénario standard. Mais Schwazy sort les muscles et n est pas feignant sur la gâchette. Cela a suffit a mon bonheur pour un soir.
Je ne savais pas trop à quoi m'attendre en visionnant "Le Contrat". Je n'avais jamais rien vu de ce film sauf son affiche prometteuse avec sa tagline qui envoie du rêve : "Pour sauver sa peau, il doit d'abord mourir". J'ai donc profité de son passage à la télévision et de mon envie du moment de voir des films d'action simpliste pour pouvoir le découvrir.
Globalement, je n'ai pas été déçu. Ça ne sera sans doute pas mon film préféré avec Arnold Schwarzenegger mais ce scénario écrit par Gary DeVore et Norman Wexler a au moins eu le mérite de me donner le spectacle que j'attendais. C'est simple, très prévisible, ultra facile et bourré d'incohérences mais j'ai passé un bon moment devant.
Impossible en tout cas pour moi de prendre ce film au sérieux tant le personnage de Mark Kaminsky manque de crédibilité. On joue beaucoup sur l'humour, on met la finesse de côté et la subtilité est aux abonnés absent. C'est dommage car avec quelque chose de plus construit, on aurait pu avoir un résultat plus percutant, plus mémorable mais en l'état, cela se laisse regarder surtout si on est en condition.
Arnold Schwarzenegger (Mark Kaminsky / Joseph P. Brenner) ne se foule pas beaucoup. Ayant accepter ce rôle uniquement pour rompre le contrat qui le liait à l'époque avec le producteur Dino De Laurentiis, il livre le minimum syndical. Jouant beaucoup trop sur l'humour et manquant souvent de crédibilité dans son infiltration, ce n'est pas honteux pour autant, cela reste amusant même si j'ai quand même senti chez moi un brin de frustration. Cette frustration s'est d'ailleurs accentué dans le final de ce long métrage qui part en roue libre en faisant tout péter pour ma plus grande joie et me laisse davantage penser que l'on aurait vraiment pu avoir un film plus fun.
Derrière, le reste de la distribution fait surtout de la figuration. Kathryn Harrold (Monique) est totalement sous exploité même si j'ai aimé que l'on joue avec son personnage sur autre chose que l'habituelle romance. Darren McGavin (Harry Shannon) est lui aussi peu utilisé. C'est dommage car c'est un peu son personnage l’élément déclencheur de l'intrigue. Son retrait vis à vis du récit n'aide pas non plus à donner de la crédibilité au personnage de Mark Kaminsky.
Sam Wanamaker (Luigi Patrovita) est peu inspiré, on a connu des mafieux au cinéma plus efficace tandis que son bras droit Paul Shenar (Paulo Rocca) est un peu trop transparent à mon goût. Le seul qui parvient un peu à sortir du lot, c'est le charismatique Robert Davi (Max Keller) que j'ai une nouvelle fois beaucoup apprécié. Dans l'ensemble, la distribution reste quand même légère.
La mise en scène de John Irvin fait sinon sa part du boulot également. Il n'y a rien de nouveau mais le divertissement se laisse regarder. C'est pas trop brouillon mais il y a tellement de maladresses que l'on ne peut pas crier au génie non plus. C'est un film d'action des années 80 des plus classiques qui se regarde sans forcément avoir un gros impact sur le spectateur.
Le montage est un peu hâché, on n'aide pas à donner de la cohérence à ce sujet mais l'on ne s'ennuie pas pour autant. Visuellement, j'en ai quand même eu pour mon argent et voir Arnold Schwarzenegger en marcel m'a bien fait sourire. Encore une fois, c'est juste vraiment dommage que le long métrage ne se réveille réellement qu'à la fin tout comme la bande originale composée par Chris Boardman, Tom Bähler et Albhy Galuten.
Pour résumer, "Le Contrat" n'est pas le plus grand film d'action de tout les temps et l'on a déjà vu Arnold Schwarzenegger beaucoup plus efficace. Ce film se laisse néanmoins suivre avec un certain plaisir. J'ai passé un bon moment et je regrette juste qu'il ne se soit pas plus lâché à l'exception de son final. C'est typiquement le genre de film que je pourrais revoir du coin de l’œil avec plaisir sans pour autant ressentir le besoin de le revoir.
Ce film de série B comblera les amateurs d’action. Néanmoins selon moi, « Le contrat » est plus primaire et donc moins intéressant que les autres Schwarzy 100% action (« Commando », « Double détente » et « L’effaceur »). Avec ses cheveux gominés, l’acteur est plus rigide que jamais. Les méchants sont assez banals. Le suspense est inexistant. Mais ça, on a l’habitude avec ce genre de film musclé. Cette histoire de policier infiltrant la mafia tel un bulldozer manque certes de subtilité mais pas d’efficacité. A noter la BO pêchue (« Satisfaction » des Rolling Stones etc.).
Alors en plein essor dans sa carrière et officiellement star du cinéma d'action musclé, Arnold Schwarzenegger continue sur sa lancée en interprétant Mark Kaminsky, flic infiltré dans une organisation douteuse donnant tatanes et coups de boules à tout va, détruisant chaque lieu où il se trouve. Et si Le Contrat n'est pas le film le plus connu de l'acteur autrichien, il n'en demeure pas moins très distrayant malgré des défauts évidents... Car force est d'admettre que le long-métrage souffre hélas d'une réalisation certes explosive mais aussi très impersonnelle, transformant le tout en un film malheureusement rapidement oubliable, avec une musique rock à chaque baston et des dialogues à la limite de la débilité. Bien entendu, dans ce genre de productions, mieux vaut ne pas grogner et bouder son plaisir à voir notre grand gaillard démanteler avec fracas une énième organisation mafieuse dans laquelle il s'est ici infiltré. Notre flic de choc va donc user et abuser de répliques cinglantes, d'une arrogance à peine supportable et de coups de poings fracassants pour remettre de l'ordre dans la justice et venger par la même occasion un vieil ami dont le fils a été assassiné. Schwarzenegger continue donc sur sa lancée après un Commando mémorable qui le plaçait bel et bien au cœur du cinéma d'action des années 80 et signe par conséquent son dernier contrat avec Dino de Laurentiis, le producteur qui avait lancé sa carrière peu de temps auparavant mais qui hélas a un peu trop sous-estimé l'acteur (tout le monde se souvient du nanardesque Kalidor...). En ce qui concerne Le Contrat, nous n'aurons rien de bien mirobolant à nous mettre sous la dent ni même quelque chose de franchement original mais le film reste en soi un bon petit spectacle garni de scènes d'action sympathiques et de course-poursuites tonitruantes comme on en voyait des tas dans les années 80.