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chrischambers86
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2,0
Publiée le 27 mai 2018
Pour John Irvin, "Le contrat" ètait avant tout un exercice de style! Le cinèaste a voulu faire une sorte de bande dessinèe cinèmatographique et parodier les films de Stallone et Chuck Norris en essayant de donner un peu plus de panache et d'intelligence au genre! Ce n'est pas vraiment le cas ici mais on sent que John Irvin s'est bien amusè en signant cette sèrie B bien ancrèe dans son èpoque! En ce qui concerne Schwarzenegger, il a eu d'abord beaucoup plus de dialogues à dire que d'habitude! Cela peut sembler sans grande importance pour un public europèen, mais, pour un public amèricain, entendre parler un autrichien aussi longtemps pouvait devenir lassant! Ensuite dans ce film, Schwarzy est vêtu! Costume, chemise, cravate...il ne peut plus compter sur son personnage de monsieur Muscle! il doit utiliser sa tête: c'est tout ce dont il dispose, le reste ètant cachè! Un polar au scènario très lèger mais qui reste efficace! Comme la scène sortie de nulle part où Arnold dèzingue du vilain dans une casse sur le tube "Satisfaction" des Rolling Stones...
Un peu plus qu'un film d'action, mais sans être un polar pour autant, Le Contrat, est un film un peu à part dans la filmo de Schwarzenegger, mais reste plaisant.
Autre film médiocre dans la filmographie d'Arnold. Scénario pas crédible pour un sou (l'indic qui débarque dans la mafia et qui s'y fait accepter sans problème), et jeu d'acteurs a minima, sauf celui de Sam Wanamaker, qui s'en sort à peu près. Les effets spéciaux sont nuls, la réalisation a l'air d'avoir été improvisée. Pourtant, on passe un bon moment, si on prend ça comme une série Z. Le charisme d'Arnold fait toujours du bien, il n'est jamais totalement sérieux dans ce qu'il fait. A noter la musique : un vieux heavy metal calibré pour la télé, signe des temps. Qui se souvient que le heavy vendait plus que Michaël Jackson à cette époque...
Un Schwarzy très mineur avec son intrigue poussive, son rythme saccadé et ses scènes d'action mollassonnes. Même les répliques sont en dessous, ça n'a clairement pas la même aura qu'un Commando par exemple et pour ne citer que lui. Très passable.
Avec Le Contrat, John Irvin réalise un film d'action peu fameux. L'histoire nous fait suivre un ancien agent du FBI devenu shérif d'une petite ville après avoir été renvoyé de l'agence suite à une bavure. Seulement, après la mort du fils de son ancien supérieur, il est missionné par son ex patron afin d'infiltrer une organisation mafieuse de Chicago. Ce scénario n'a malheureusement pas grand chose à offrir pendant un peu plus d'une heure et demie. L'intrigue est extrêmement convenue et ne raconte rien. On se retrouve devant un simple film d'action bête et méchant très quelconque. Mais le pire, c'est que même ses scènes d'actions ne sont pas à la hauteur malgré des explosions, des destructions et de nombreux échanges de coups de feux générant une bonne dose de violence. Cependant, tout cela est beaucoup trop classique et l'absence de propos intéressant et d'un véritable enjeu plombent ces séquences. De plus, le ton est beaucoup trop neutre pour procurer des émotions. La faute à des personnages manquant cruellement de développement, interprétés par une distribution loin d'être convaincante. Même la tête d'affiche Arnold Schwarzenegger ne parvient pas à donner de l'intérêt à tout cela. On ne le sent pas impliqué dans son rôle et il semble faire le stricte minimum. En même temps, difficile pour lui de s'en sortir autour d'autres comédiens aussi peu marquants. Résultat, les relations entretenues par tous ces individus ne procurent aucune réaction. La faute également à des dialogues peu inspirés. La forme n'est malheureusement pas beaucoup plus réjouissante puisque la réalisation de John Irvin est particulièrement banale et offre un rendu visuel sans charme. Heureusement, la b.o accompagnant l'ensemble est elle assez plaisante grâce à ses compositions. Tout cela s'achève une sur dernière partie riche en bourrinage avant de se conclure sur une fin insipide. Au final, Le Contrat est donc un film complètement dispensable et dont la seule présence à l'écran de sa tête d'affiche ne suffit pas à le rendre attractif.
Ici on retrouve l'ADN des films des années 80, sous l'air de Stallone et Schwarzenegger, mais ici on est au tout début de l'ascension de Mr Univers. On ne peut pas dire que le film fasse dans la finesse, ni que le scénario est un modèle de subtilité, le jeu de Mr gros muscle n'ai pas non plus sa meilleure interprétation, elle restera celle du robot de Terminator, mécanique et sans sentiment. Pour le reste, on est fasse à un bon téléfilm, heureusement que par la suite, d'autres réalisateurs ont su mettre à profit la notoriété de schwarzy, et nous donner des films avec plus de contenu.
John Irvin (Hamburger Hill - 1987) réalise ici une Série B d’action explosive dans laquelle Arnold Schwarzenegger, tout en muscles et en testostérone, venge la mort du fils d’un policier en infiltrant un gang de mafieux. Le Contrat (1986) est un film ultra conventionnel avec son lot de méchants très caricaturés, une histoire de vengeance comme on en a déjà maintes fois vu et revu. Arnold Schwarzenegger, égal à lui-même, aligne les bastons les unes après les autres, tout en y prenant un certain plaisir. Des scènes de fusillade comme on en a déjà vu, dénué d’originalité, si ce n’est celle dans la carrière, où Schwarzenegger dézingue tout ce qui bouge en écoutant "Satisfaction" des Rolling Stones. Bref, un film bourrin typique des années 80, divertissant sans plus, après tout, on ne s’attendait pas à autre chose.
C'est étonnant de voir Schwarzy dans un polar. Est-ce que les mafieux lui résisteront ? Non ! Quand il infiltre la mafia, c'est pour tous les buter, notamment dans une grande scène finale, pas très bien filmée et pas très bien reliée au reste (??), où les méchants ne montrent pas beaucoup de résistance et où Arnold ne reçoit pas une balle. 1 contre 30 dont le chef de Chicago !
C'est donc un film typiquement années 1980 où les muscles de la star prennent le pas sur le scénario, basique, incompréhensible voir tiré par les cheveux. Cependant, on ne s'ennuie pas, l'acteur assure le spectacle et c'est bien pour lui qu'on regarde ce long-métrage.
Ah, les films d'action des 80's à la gloire de leur tête d'affiche (généralement musclée), tout un poème. Ca commence par un carnage en règle puis on lance l'intrigue en introduisant le perso de Schwarzy (la meilleure scène du film) avant que le tout sombre dans le ridicule. Le héros est chargé d'infiltrer la mafia et là, inutile de préciser que ça n'a rien à voir avec Donnie Brasco. Scénario rempli de clichés, mou du genou et s'enfermant dans des schémas archi-rabattus (encore récemment, comme quoi). Rien à signaler nul part donc et même la fusillade finale, mal filmée et illisible, n'est pas le monument jouissif attendu. Reste un Schwarzy mitraillant tout un tas de méchants dans une voiture décapotable sans pare-brise, le tout sur fond de Rolling stones (histoire de montrer qu'on connaît la bonne zik' chez les bas du front) alors que le reste du film baigne dans une soupe électro typique de l'époque assez insupportable. Pas vraiment fun ni hyper violent, juste débile mais bon, ça se laisse voir sans trop bailler (encore que pendant ½ heure...). D'autres critiques sur
Bien que Schwarzenegger a souvent fait d'excellents films d'action (Conan le barbare, les Terminator, Predator, Total recall, Last action hero...), il y a également des points faibles dans sa filmographie. Le Contrat fait partie de ces films très moyens. Ce n'est pas un mauvais film, juste un film extrêmement banal où on ne s'intéresse pas spécialement à ce qui se passe à l'écran. Le seul élément attractif de ce film est la présence d'Arnold Schwarzenegger qui comme toujours possède beaucoup de charisme. Excepté cela, on pourrait comparer ce film à un épisode de série télévisée type Walker Texas ranger. Pas déplaisant mais peu passionnant et très oubliable.
Film le moins intéressant et passionnant de Schwarzi où les scènes s'enchaine sur un scénario incompréhensible mais le charisme d'Arnold réussi à faire passer la pilule.
Ni le meilleur, ni le moins bon de Scwharzy. Un divertissement correct car jamais brillant mais généreux. Et puis il y a ce badass motherfucker ultime de Robert Davi donc c'est forcémment à voir !
Un film qui ne vaut que pour le guignol qu'interprete Schwarzi et pour les dernieres scénes d'action bien bourrines et assez bien filmées.Le reste est bien ridicule et sans interet racontant une pauvre histoire d'infiltration à laquelle on ne croit pas du tout.