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Redzing
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1,0
Publiée le 17 juillet 2011
Souhaitant venger la mort de son fils, le patron du FBI demande à un vieil ami de massacrer toute la mafia de Chicago. Voilà à quoi se résume l'histoire, faisant douteusement l'apologie de l'auto-justice. Pour la forme, "Raw Deal" manque cruellement de punch. Bien que naviguant de manière intéressante entre le polar et l'action, le scénario est assez prévisible et parfois vraiment gros. La BO très 80's a mal vieilli, et la mise en scène maladroite d'Irvin transforme ce qui auraient pu être des séquences épiques en scènes d'action violentes mais sans grande saveur. Schwarzy, imposant mais pas très bien dirigé, sauve les meubles (sans lui, on courait au nanar). "Raw Deal" est certainement son moins bon film d'action des 80's.
Une série B bourrine et explosive,typique de l'action US sans cervelle,mais tout de même pourvue d'un humour très bande dessinée. On se croirait presque dans un film de Chuck Norris ou de Steven Seagal. Mais il s'agit bien d'un Arnold Schwarzenegger,ici en ex-agent du FBI,qui s'infiltre dans un gang de mafieux ritals pour le démanteler de l'intérieur. Inutile de préciser que l'acteur ne fait pas dans la dentelle,notamment lorsqu'il dézingue une dizaine d'hommes de main sur un chantier,en roulant dans sa Cadillac,le "Satisfaction" des Rolling Stones à pleins tubes! Schwarzy a plus de dialogues qu'à l'accoutumée,son "enquête" l'y oblige et il joue moins de ses muscles. Il commençe déjà à se parodier lui-même dans "le Contrat"(1986),joue le séducteur de femmes à double visage et copine avec des crapules. L'esthétique du film de John Irvin est atroce,et le rock 80's complètement dépassé; Pas une once de psychologie,juste du défouralliage en règle avec un Schwarzy peu concerné(son but étant de rompre un contrat avec Dino de Laurentis).
Oulala, vraiment un gros navet, je me demande ce qu'il y a de bien dans ce film, je n'ai pas trouve, je n'ai pas tout comprit, a part qu'il va tuer tout le monde. Il n'a aucun interet ce nanard.
Ni original ni très recherché, ce film avec Schwarzy qui n'hésite pas à tourner en dérision son éternel rôle de "liquidateur" devrait contenter les amateurs du genre.
Un gros raté. Le scénario est totalement absent avec des personnages vides. Les dialogues sont soporifiques et le rythme invisible. Les rares scènes un peu grotesques des films d'action des années 80 n'y changerons rien. On ne peut même pas y voir un côté nanar.
Contrat pas totalement rempli... Un Swarzy dans un film peut consistant, bon quart d'heure, un peu de violence, mais par la suite Le contrat ne rentre pas dans l'agréable comme Commando par exemple. Avec ce contrat on reste un peu flasque et déçu.
La mise en scène est ridicule, les dialogues sont dégueulasses, les scènes d'action ne provoque aucune extase, "Le contrat" est un Schwarzy parfaitement dispensable, même si légèrement culte (sûrement de par sa médiocrité) !
Bon, c’est d’une banalité affligeante. Un des pire film de Schwarzy (avec Double Détente et Batman & Robin). Scénario nul, humour ridicule, scène de baston et de fusillade qui ferait passer Bud Spencer pour Bruce Lee. Ce film s’insère dans la filmographie de Schwarzy entre Commando et Predator, il aurais plutôt du prendre du repos.
Dans un premier temps, il faut savoir que le Gouvernator a été obligé de tourner ce film pour rompre un contrat signé avec De Laurentis. En bon professionnel qui se respecte, il a décidé de faire le minimum en se contentant seulement de lire son texte mécaniquement et de bâcler ses scènes d'actions. Mais rassurez vous il a touché son chèque même s'il se foutait complétement du résultat final. Derrière la camera, on retrouve John Irvin qui n'avait pas non plus envie de bosser ce qui explique la nullité de certaines scènes. Mais parfois, cette même nullité a du bon et il est assez fendart de voir Arnold tuer des méchants dans sa cadillac en écoutant les Rolling Stones et en faisant à peine l'effort de bouger son flingue. Bref un bon gros nanar 80's qui n'atteindra jamais l'extraordinaire Commando.
Peut-être ce film se voulait-il le remake du précédent tournage de Schwarzenegger, car on y retrouve un contexte tout à fait similaire et une intrigue ressemblante, où un ancien héros de la police aujourd’hui reconverti en simple shérif est rappelé sous les hauts ordres pour une mission compliquée qu’il mènera de toute manière à bien à coups de muscles et d’une ruse grossière. Contrairement au film précédent de Monsieur Muscles, pour rester dans le domaine comparatif, Schwarzenegger n’y a ici aucune classe. La scène où il s’équipe de tant d’armes est refaite elle aussi mais il ne s’en dégage aucune puissance qui pourrait faire dire au spectateur qu’il n’est pas blasé. Et comme tous les films avec lui, c’est une oeuvre très vieillotte : les moyens au service de l’ennui.
Film d'action... Cela veut tout dire et rien dire, mais colle parfaitement à ce contrat : de l'action. On ne s'encombre pas de subtilités scénaristiques ni d'ailleurs de jeu. Schwarzi est un roc, un bloc, que dis-je, un monolithe. C'est biensûr totalement caricatural et bancal. On a vu mieux dans le genre et même chez Irvin.
"Schwarzi" dans son moins bon film à mon avis, trop sérieux et pas assez bien réalisé pour nous faire oublier la mollesse et l'ineptie du scénario. Tout acteur a son petit nanar de parcours. En écrivant cette critique, je viens de remarquer une réédition en "Blu-ray" pour ce film, la misère. Uniquement pour les fans du colossal autrichien qui ne se respectent pas.
Un film bourrin sans saveur. La faute à un Schwarzie qui s'en fout, aux acteurs transparents, à l'histoire incompréhensible (c'est comme si les personnages ne savaient pas pourquoi ils faisaient ce qu'ils font), que sais-je encore...