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chrischambers86
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2,0
Publiée le 27 mai 2018
Pour John Irvin, "Le contrat" ètait avant tout un exercice de style! Le cinèaste a voulu faire une sorte de bande dessinèe cinèmatographique et parodier les films de Stallone et Chuck Norris en essayant de donner un peu plus de panache et d'intelligence au genre! Ce n'est pas vraiment le cas ici mais on sent que John Irvin s'est bien amusè en signant cette sèrie B bien ancrèe dans son èpoque! En ce qui concerne Schwarzenegger, il a eu d'abord beaucoup plus de dialogues à dire que d'habitude! Cela peut sembler sans grande importance pour un public europèen, mais, pour un public amèricain, entendre parler un autrichien aussi longtemps pouvait devenir lassant! Ensuite dans ce film, Schwarzy est vêtu! Costume, chemise, cravate...il ne peut plus compter sur son personnage de monsieur Muscle! il doit utiliser sa tête: c'est tout ce dont il dispose, le reste ètant cachè! Un polar au scènario très lèger mais qui reste efficace! Comme la scène sortie de nulle part où Arnold dèzingue du vilain dans une casse sur le tube "Satisfaction" des Rolling Stones...
Scénario pas très étoffé et cousu de fil blanc. Schwarzy pas crédible en costard-cigare. Le pire est qu'on tente de nous faire croire à un polar assez classique dans son déroulement (infiltration, soupçon, la fille,...) mais qui soudain se noie dans un final "rambolien". Une explosion de testostérone aussi brusque que maladroit. Un exemple parfait du Arnold de base : bourrin et sans réel talent d'acteur.
John Irvin (Hamburger Hill - 1987) réalise ici une Série B d’action explosive dans laquelle Arnold Schwarzenegger, tout en muscles et en testostérone, venge la mort du fils d’un policier en infiltrant un gang de mafieux. Le Contrat (1986) est un film ultra conventionnel avec son lot de méchants très caricaturés, une histoire de vengeance comme on en a déjà maintes fois vu et revu. Arnold Schwarzenegger, égal à lui-même, aligne les bastons les unes après les autres, tout en y prenant un certain plaisir. Des scènes de fusillade comme on en a déjà vu, dénué d’originalité, si ce n’est celle dans la carrière, où Schwarzenegger dézingue tout ce qui bouge en écoutant "Satisfaction" des Rolling Stones. Bref, un film bourrin typique des années 80, divertissant sans plus, après tout, on ne s’attendait pas à autre chose.
Bien sur que ce ce n'est pas du grand cinéma et même dans son genre il existe des films de meilleures qualités pourtant Le Contrat qui fait partie des flops d'Arnold Schwarzenegger (il a en plus joué dans ce film pour mettre fin à son contrat le liant au producteur Dino de Laurentiis) se laisse regarder sans problème. Un divertissement qui m'avait plu étant gamin, puis l'ayant revu une fois adulte m'avait paru médiocre et lors d'une récente revoyure m'a apparu tel qu'il est c'est-à-dire une sympathique série B à mater à la gloire du personnage principal incarnation du héros quasi parfait qui a lui seul mettra la pâtée aux méchants (dans le cas présent à un parrain et ses sbires de la mafia de Chicago dont certains sont incarnés par des gueules du cinéma dont Robert Davi). C'est vraiment pas déplaisant à mater sans prise de tête, c'est assez rythmé comme l'ouverture qui offre des scènes d'action efficaces (le début a même un côté assez sombre rappelant un peu les polars des années 70) puis le final nous offrira des fusillades assez explosives typiques des films d'action des années 80. Si le bodybuilder Autrichien a moins l'occasion ici de sortir des vannes d'autodérision, il est toujours convaincant dans la peau du personnage courageux et bagarreur, il incarne un flic aux méthodes particulièrement expéditives. Donc voilà un film pas désagréable à voir pour se divertir, la musique est sympa aussi.
Contrat pas totalement rempli... Un Swarzy dans un film peut consistant, bon quart d'heure, un peu de violence, mais par la suite Le contrat ne rentre pas dans l'agréable comme Commando par exemple. Avec ce contrat on reste un peu flasque et déçu.
Une série B bourrine et explosive,typique de l'action US sans cervelle,mais tout de même pourvue d'un humour très bande dessinée. On se croirait presque dans un film de Chuck Norris ou de Steven Seagal. Mais il s'agit bien d'un Arnold Schwarzenegger,ici en ex-agent du FBI,qui s'infiltre dans un gang de mafieux ritals pour le démanteler de l'intérieur. Inutile de préciser que l'acteur ne fait pas dans la dentelle,notamment lorsqu'il dézingue une dizaine d'hommes de main sur un chantier,en roulant dans sa Cadillac,le "Satisfaction" des Rolling Stones à pleins tubes! Schwarzy a plus de dialogues qu'à l'accoutumée,son "enquête" l'y oblige et il joue moins de ses muscles. Il commençe déjà à se parodier lui-même dans "le Contrat"(1986),joue le séducteur de femmes à double visage et copine avec des crapules. L'esthétique du film de John Irvin est atroce,et le rock 80's complètement dépassé; Pas une once de psychologie,juste du défouralliage en règle avec un Schwarzy peu concerné(son but étant de rompre un contrat avec Dino de Laurentis).
Petit film d’action musclé bien sympa que ce Contrat, dans la veine de Commando sorti l’année précédente avec Schwarzie. Irvin orchestre un métrage violent et dynamique pour les amateurs du genre. Au casting donc Schwarzenegger très à l’aise, qui endosse un personnage musclé et sympa, intègre, comme il en a l’habitude. Pas vraiment un rôle de composition ou de subtilité, mais un rôle efficace qu’il mène avec sa maitrise du genre. Autour de lui quelques seconds rôles habitués aussi au genre, notamment Robert Davi, un méchant comme souvent. Globalement les acteurs sont bons, on regrettera un casting féminin faiblard malgré la présence pas désagréable de Kathryn Harrold. Le scénario repose essentiellement sur la nervosité et les scènes d’action. C’est du pur divertissement bourrin et jouissif, très généreux dans son registre, et qui ne lésine sur aucun artifice pour en mettre plein la vue. Percutant, l’ensemble a aussi l’intelligence de jouer une carte semi-parodique, et d’être conscient de ses limites intellectuelles. Clairement l’infiltration de Schwarzie dans ce milieu de truands n’est pas le point focal du film, c’est plutôt les dégâts qu’il peut faire, et si ce n’est pas finaud, c’est fun. Pour le reste Irvin orchestre très bien l’ensemble. Bon réalisateur d’action il est capable de faire de très bonnes choses dans le domaine à l’instar d’un Walter Hill et son film bénéficie de fusillades très clipesques, violentes, et d’une belle nervosité de mise en scène. Le Contrat est donc solidement emballé (excellente séquence finale ; celle sur les Stones…). Niveau décors, photographie, c’est tout à fait correct et on appréciera aussi une bande son qui n’a pas été laissé de côté. On retiendra bien sûr en particulier le morceau Satisfaction très bien exploité. En somme Le Contrat n’a rien d’un film d’auteur et beaucoup trouveront l’ensemble peu subtil et régressif. Mais c’est du vrai métrage d’action sans prétention qui se veut divertissant et généreux avec son spectateur, et à vrai dire c’est ce que j’attends d’une telle production. 4.
Un classique d'Arnold. Simple, fort et efficace. On prend toujours du plaisir à le regarder et ce thème musical est juste jouissif. UN classique qui n'est pas le meilleur Schwarzy, mais un qui fait partie du haut du panier.
Le Contrat : Un film d’action des années 80 vraiment regardable et appréciable pour les nostalgiques et les amateurs du genre film d’action des années 80, et pour les fans bien sur comme moi de Mr Muscle, j’ai nommé : Arnold Schwarzenegger. Ce film pourrait être qualifié de nanar, et bien je ne suis pas forcement d’accords. Il faut ce remettre dans le contexte, c’est un film d’époque, a petit budget, très année 80 et sert assez cliché dans l’action, le scénario, les répliques… : mai c’est le genre qui veux ça, et c’est l’époque et c’est ce que on aime dans ce genre de film. C’est de voir Arnold Schwarzenegger balancé des bonne vannes et joué les gros bras avec des armes… Et de ce point la, c’est réussit car il nous offre de bonne scène d’action assez bien foutu (pour l’époque) et il nous réserve un final bien bourrin, super fusillade digne de ce nom. Et on a le droit aussi à l’humour du genre avec de bonne réplique et des bonnes notes d’humour. De plus, la réalisation est efficace car elle est à l’ancienne, comme ils savaient bien filmer à l’époque. Avec une mise en scène et un montage très américain donc qui colle parfaitement au genre (le montage sur la scène avant la gros scène d’action final, quand Arnold Schwarzenegger ce prépare, juste extra). Et le scénario est ce qui est : rien d’exceptionnelle, c’est du classique de genre. L’histoire ce laisse quand même regardé sans ennuie et nous propose ce que on veut : de l’action et une point d’humour avec Arnold Schwarzenegger. Qui est d’ailleurs dans son élément donc il est forcement bon et convaincant : pas son meilleur rôle, loin de la mais il est sympa a suivre dans ce film. Voila, un bon petit film d’époque sympathique et plaisant à voir. Moi, je ne me suis pas ennuyer et j’ai trouvé mon compte avec ce film : pour les fans avant tout de Arnold Schwarzenegger ou ceux qui adore les bon vieux films d’action comme moi des années 80 : ne pas boudé son plaisir : sympathique divertissement.
Alors en plein essor dans sa carrière et officiellement star du cinéma d'action musclé, Arnold Schwarzenegger continue sur sa lancée en interprétant Mark Kaminsky, flic infiltré dans une organisation douteuse donnant tatanes et coups de boules à tout va, détruisant chaque lieu où il se trouve. Et si Le Contrat n'est pas le film le plus connu de l'acteur autrichien, il n'en demeure pas moins très distrayant malgré des défauts évidents... Car force est d'admettre que le long-métrage souffre hélas d'une réalisation certes explosive mais aussi très impersonnelle, transformant le tout en un film malheureusement rapidement oubliable, avec une musique rock à chaque baston et des dialogues à la limite de la débilité. Bien entendu, dans ce genre de productions, mieux vaut ne pas grogner et bouder son plaisir à voir notre grand gaillard démanteler avec fracas une énième organisation mafieuse dans laquelle il s'est ici infiltré. Notre flic de choc va donc user et abuser de répliques cinglantes, d'une arrogance à peine supportable et de coups de poings fracassants pour remettre de l'ordre dans la justice et venger par la même occasion un vieil ami dont le fils a été assassiné. Schwarzenegger continue donc sur sa lancée après un Commando mémorable qui le plaçait bel et bien au cœur du cinéma d'action des années 80 et signe par conséquent son dernier contrat avec Dino de Laurentiis, le producteur qui avait lancé sa carrière peu de temps auparavant mais qui hélas a un peu trop sous-estimé l'acteur (tout le monde se souvient du nanardesque Kalidor...). En ce qui concerne Le Contrat, nous n'aurons rien de bien mirobolant à nous mettre sous la dent ni même quelque chose de franchement original mais le film reste en soi un bon petit spectacle garni de scènes d'action sympathiques et de course-poursuites tonitruantes comme on en voyait des tas dans les années 80.
Souhaitant venger la mort de son fils, le patron du FBI demande à un vieil ami de massacrer toute la mafia de Chicago. Voilà à quoi se résume l'histoire, faisant douteusement l'apologie de l'auto-justice. Pour la forme, "Raw Deal" manque cruellement de punch. Bien que naviguant de manière intéressante entre le polar et l'action, le scénario est assez prévisible et parfois vraiment gros. La BO très 80's a mal vieilli, et la mise en scène maladroite d'Irvin transforme ce qui auraient pu être des séquences épiques en scènes d'action violentes mais sans grande saveur. Schwarzy, imposant mais pas très bien dirigé, sauve les meubles (sans lui, on courait au nanar). "Raw Deal" est certainement son moins bon film d'action des 80's.
La réception d’un film dépend beaucoup de son état d’esprit quand on le découvre. Le soir où j ai lancé « le contrat » j étais fatigué et je voulais voir Schwarzenegger dessouder des méchants avec tous les types d’armes qui pourraient lui passer sous la main. Et bien j ai été ravi. Le contrat n est pas un grand film d’action, la mise en scène est quelconque, le scénario standard. Mais Schwazy sort les muscles et n est pas feignant sur la gâchette. Cela a suffit a mon bonheur pour un soir.
Ah, les films d'action des 80's à la gloire de leur tête d'affiche (généralement musclée), tout un poème. Ca commence par un carnage en règle puis on lance l'intrigue en introduisant le perso de Schwarzy (la meilleure scène du film) avant que le tout sombre dans le ridicule. Le héros est chargé d'infiltrer la mafia et là, inutile de préciser que ça n'a rien à voir avec Donnie Brasco. Scénario rempli de clichés, mou du genou et s'enfermant dans des schémas archi-rabattus (encore récemment, comme quoi). Rien à signaler nul part donc et même la fusillade finale, mal filmée et illisible, n'est pas le monument jouissif attendu. Reste un Schwarzy mitraillant tout un tas de méchants dans une voiture décapotable sans pare-brise, le tout sur fond de Rolling stones (histoire de montrer qu'on connaît la bonne zik' chez les bas du front) alors que le reste du film baigne dans une soupe électro typique de l'époque assez insupportable. Pas vraiment fun ni hyper violent, juste débile mais bon, ça se laisse voir sans trop bailler (encore que pendant ½ heure...). D'autres critiques sur
La mise en scène est ridicule, les dialogues sont dégueulasses, les scènes d'action ne provoque aucune extase, "Le contrat" est un Schwarzy parfaitement dispensable, même si légèrement culte (sûrement de par sa médiocrité) !