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Votre avis sur Les Coquillettes ?
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J'ai réussi à tenir jusqu'au bout croyant que ce "film" se révélerait enfin, en vain.
Grosse daube mal filmée avec des gens qui fument clopes sur clopes du début jusqu' à la fin.
Sans aucun intérêt, passez votre chemin.
Grosse daube mal filmée avec des gens qui fument clopes sur clopes du début jusqu' à la fin.
Sans aucun intérêt, passez votre chemin.
Le synopsis laissait présager d'un film original, las ! Que de verbiage ! Tout ce petit monde se regarde le nombril, c'est d'un ennui ! A fuir !
Je l'ais trouvée vraiment vraiment mauvais. que ce soit la qualité de l'intrigue ou celle de de l'image et du son. Ca donne l'impression qu'on a filmé une bande d'ado dans leurs vies de tous les jours. Je ne le conseil vraiment pas !
Première fois de ma vie que j'arrête un film avant la fin, le film est vide, est ce bien utile?
L’histoire de gourdasses de 30 ans qui on le QI de filles de 15 ans et qui s’habillent dans des rideaux. Elles se posent des questions existentielles de femmes adultes : “Quand tu embrasse ton mec, tu mets la langue ?“ Elles s’incrustent dans un festival et disent des phrases logiques et pleines de bon sens du genre “A qui je pourrais envoyer un texto ?“ Le festival se termine et elles rentrent. Voila c'est fini ! Sortis de ce film on ressent le même soulagement que quand on prend enfin le chemin de la maison après une soirée avec des gens creux et fades... Ouf !
Quand la génération SMS (1 toutes les 20 secondes dans le film, au pif....) sort de Loft Story pour faire du ciné.....Creux, vide, d'une nullité abyssale......
J'ai abandonné au bout d'une demi-heure. Des filles qui se racontent leur vies sans intérêt. Je m'attendais à autre chose qu'une soirée pyjama, un petit déj et une soirée en boîte... C'est très plat. Bof...
un film de filles sans aucun intérêt et même pas drôle!
traversay1
D'un film à l'autre, Sophie Letourneur fait des progrès. La vie au ranch n'était vraiment pas fameux, Les coquillettes n'est que foncièrement anodin. On retrouve un fort aspect autobiographique dans cette aventure d'une réalisatrice en goguette au festival de Locarno (Suisse) en compagnie de ses deux copines. La quête amoureuse y est décrite et surtout abondamment commentée dans ce film de filles au coeur d'artichaut. Ce pourrait être frais et vif comme une petite brise, ça ne l'est que le temps de rares scènes, la majeure partie du film étant constituée de scènes répétitives mises en scène avec une paresse et un manque d'ambition criants. L'interprétation des trois "nouilles" en question est correcte ce qui n'est pas le cas des seconds rôles, particulièrement gratinés dans le style hagard. La tentative de "rohmerisation" moderne des dialogues, si elle est sous-jacente, donne un résultat global proche d'une (mauvaise) série pour ados. Des pâtes, oui, mais des Fadzani.
Yves G.
Sophie Letourneur est en train de faire son trou.
Son style est reconnaissable entre mille : "La vie au ranch" et "Le marin masqué" imposaient une nouvelle façon de filmer, guidée par le désir bienveillant de raconter l'amitié entre filles.
"Les coquillettes" ont du coup un goût de réchauffé.
La réalisatrice s'est mise en scène avec cette fois-ci deux copines. Les trois filles partent au festival de Locarno. Elles squattent un (vague) appartement, voient des films (quand elles n'ont rien de mieux à faire) et, surtout (car c'est là leur priorité) draguent les garçons.
Sophie Letourneur utilise la voix off pour créer un effet de distanciation entre une réalité fantasmée et une réalitée vécue, plus prosaïque.
Elles donnent des filles de 25 ans aujourd'hui une image à la fois très sincère et très tendre : des grandes filles un peu paumées, superficielles mais conscientes de l'être, drôles et auto-ironiques, romantiques et pétasses assumées.
Une sorte de "Damsels in Distress", la stylisation en moins. Une modestie revendiquée et sympathique, jusque dans la durée (1h15 seulement)
"Les coquillettes" est un film de filles, par des filles et pour les filles. Même si les garçons (surtout passés 40 ans) se sentent un peu exclus, on aime.
Son style est reconnaissable entre mille : "La vie au ranch" et "Le marin masqué" imposaient une nouvelle façon de filmer, guidée par le désir bienveillant de raconter l'amitié entre filles.
"Les coquillettes" ont du coup un goût de réchauffé.
La réalisatrice s'est mise en scène avec cette fois-ci deux copines. Les trois filles partent au festival de Locarno. Elles squattent un (vague) appartement, voient des films (quand elles n'ont rien de mieux à faire) et, surtout (car c'est là leur priorité) draguent les garçons.
Sophie Letourneur utilise la voix off pour créer un effet de distanciation entre une réalité fantasmée et une réalitée vécue, plus prosaïque.
Elles donnent des filles de 25 ans aujourd'hui une image à la fois très sincère et très tendre : des grandes filles un peu paumées, superficielles mais conscientes de l'être, drôles et auto-ironiques, romantiques et pétasses assumées.
Une sorte de "Damsels in Distress", la stylisation en moins. Une modestie revendiquée et sympathique, jusque dans la durée (1h15 seulement)
"Les coquillettes" est un film de filles, par des filles et pour les filles. Même si les garçons (surtout passés 40 ans) se sentent un peu exclus, on aime.
Un court métrage un peu long, qui aurait mérité un meilleur traitement. Les vingt premières minutes assez amusantes et décalées laissent place à la lourdeur ..pour finir à la poubelle. Tout ça est un peu [ EN TROIS LETTRE COMMENCANT PAR C] pour faire un jeu de mot en ce qui concerne 99% des sujets de conversation du film...le sexe
Pensez à éteindre vos portables
Pensez à éteindre vos portables
Nuuuul!! je ne sors jamais d'une séance mais la, je n'ai pas pu rester. je ne comprends pas le code de jeu des acteurs. l'histoire aurait pu être intéressante mais c'est juste vide....ça n'a aucun intérêt! comment un tel film réussit à être produit et surtout diffusé quand tant de beaux projets ont du mal à exister en salle? Si je pouvais annuler l'entrée que j'ai donné à ce film!!!
Les Coquillettes à partir d'une trame plutôt racoleuse parvient à être délicat là où on s'y attend le moins. C'est tout l'art de sa réalisatrice de nous faire ressentir le désarroi du désir, la frénésie vaine de ses personnages avec ce qui se donne tout d'abord pour de la franche rigolade. Une sorte de "vanité" comme on appelait ces tableaux de la Renaissance dont l'exubérance recelait secrètement les signes d'une profonde mélancolie. Letourneur nous plonge dans l'errance de ses trois folle-dingues avec un appétit qui nous ravit tout en insinuant une mélodie plus triste qu'on ne découvrira réellement qu'en repensant au film après être sorti de la salle. Un coup de génie qui pousse un peu plus loin le paradoxe qu'elle avait déjà exploré dans La Vie au Ranch. Attention toutefois de ne pas tomber dans une complaisance qui ferait sombrer ce singulier équilibre. D'autres l'ont écrit, la bande annonce faisait redouter qu'elle n'y ait cédé, mais le film prouve heureusement le contraire. On attend ses futurs œuvres avec impatience, et un soupçon d'inquiétude.
J'aimais pas l'affiche, mais le film est super et m'a rappelé plein de souvenirs de virées avec des copines. Ce qui est fort c'est d'arriver à nous faire rire et nous toucher avec des choses banales, idiotes, ou même à première vue vulgaires. La bande son est très intéressante avec ses voix un peu décalées, comme nos souvenirs parfois.
Ah enfin vu les Coquillettes, qui divise sacrément on dirait! j'y suis allée un peu à reculons, la bande annonce est cheum, en effet. Je crois que ça titille entre autres pas mal les mecs: une histoire de filles plutôt délurées et jolies, mais qui ont un défaut... elles s'expriment, et surtout elles expriment leurs désirs. Et du coup elle ne rentrent plus tout à fait dans la case "fantasme" des mâles, qui préfèrent en général plutôt imaginer eux-mêmes ce qu'elles désirent que de l'entendre. Et surtout aussi crûment! Bref les Coquillettes l'air de rien c'est presque un film féministe!
Y'a un argument qui revient souvent: "mais ces nanas sont vraiment insupportables de débilité." Tiens, c'est marrant d'habitude ça vous dérange pas trop les gars que les filles soient un peu crétines. Y'aurait pas quelque chose d'autre qui vous énerverait par hasard?
Tu crois que t'es pas macho? Va donc tester ces Coquillettes, j'te dirai!
Y'a un argument qui revient souvent: "mais ces nanas sont vraiment insupportables de débilité." Tiens, c'est marrant d'habitude ça vous dérange pas trop les gars que les filles soient un peu crétines. Y'aurait pas quelque chose d'autre qui vous énerverait par hasard?
Tu crois que t'es pas macho? Va donc tester ces Coquillettes, j'te dirai!
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