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Votre avis sur Les Coquillettes ?
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BeatJunky
Pour être original, c est original! Ca vole pas haut, on apprend rien mais c est au moins suffisamment fandard pour s attarder sur cette heure dix d échanges entre filles sur la même soirée de festival où Miss Letourneur présentait son film en espérant revoir son prince charmant: louis Garrell, tandis que les autres essayaient coûte que coûte de rouler des galoches! J ai eu l impression d être la petite souris qui écoutait ce qui se disait dans cette pyjama party! Ca fait pas un chef d oeuvre, ca c est sûr mais une bonne rigolade et c est déjà pas mal!
Des coquillettes, ce sont d'abord des nouilles. Des nanas un peu naïves, un peu niaises, tout ça à cause des garçons, qui font rien que les contrarier...
Dans son deuxième long-métrage, Sophie Letourneur nous fait suivre ces 3 meufs déphasées lors de leur périple au festival de Locarno, où l'une d'elles présente un film (Letourneur actrice dans son propre rôle).
Cette chronique d'un long week-end au sein d'un festival de cinéma est un petit régal d'humour noir et de second degré bienvenu, même si le sujet en lui-même risque de déconcerter voire rebuter une bonne partie du public, qui n'y verra qu'une œuvre nombriliste au thème auto-centré (cf les notes spectateurs sur allo-ciné).
Ce serait dommage, car même si le propos peut sembler creux et outrageusement girly, le discours sous-jacent nous en dit beaucoup sur notre époque, et Sophie Letourneur poursuit avec pertinence son portrait de la jeune femme du XXIème siècle, entamé dans le savoureux "La vie au ranch".
Le dispositif cinématographique est intéressant, puisqu'il s'agit d'une double narration, les 3 filles reparlant au passé de ce festival au cours d'une soirée pyjama, tout en le revivant en temps réel, ce qui crée d'amusants décalages entre la réalité et sa perception par chacune.
D'ailleurs ces 3 jeunes actrices débutantes ont un vrai talent, entre la blonde Camille, rêveuse et coincée, la sculpturale Carole, quelque peu en chaleur, et donc Sophie, âme de midinette tendance dépressive.
Un petit film très court (1H10), jubilatoire et réjouissant, qui ne parlera pas à tout le monde.
Dans son deuxième long-métrage, Sophie Letourneur nous fait suivre ces 3 meufs déphasées lors de leur périple au festival de Locarno, où l'une d'elles présente un film (Letourneur actrice dans son propre rôle).
Cette chronique d'un long week-end au sein d'un festival de cinéma est un petit régal d'humour noir et de second degré bienvenu, même si le sujet en lui-même risque de déconcerter voire rebuter une bonne partie du public, qui n'y verra qu'une œuvre nombriliste au thème auto-centré (cf les notes spectateurs sur allo-ciné).
Ce serait dommage, car même si le propos peut sembler creux et outrageusement girly, le discours sous-jacent nous en dit beaucoup sur notre époque, et Sophie Letourneur poursuit avec pertinence son portrait de la jeune femme du XXIème siècle, entamé dans le savoureux "La vie au ranch".
Le dispositif cinématographique est intéressant, puisqu'il s'agit d'une double narration, les 3 filles reparlant au passé de ce festival au cours d'une soirée pyjama, tout en le revivant en temps réel, ce qui crée d'amusants décalages entre la réalité et sa perception par chacune.
D'ailleurs ces 3 jeunes actrices débutantes ont un vrai talent, entre la blonde Camille, rêveuse et coincée, la sculpturale Carole, quelque peu en chaleur, et donc Sophie, âme de midinette tendance dépressive.
Un petit film très court (1H10), jubilatoire et réjouissant, qui ne parlera pas à tout le monde.
J'ai abandonné au bout d'une demi-heure. Des filles qui se racontent leur vies sans intérêt. Je m'attendais à autre chose qu'une soirée pyjama, un petit déj et une soirée en boîte... C'est très plat. Bof...
Yves G.
Sophie Letourneur est en train de faire son trou.
Son style est reconnaissable entre mille : "La vie au ranch" et "Le marin masqué" imposaient une nouvelle façon de filmer, guidée par le désir bienveillant de raconter l'amitié entre filles.
"Les coquillettes" ont du coup un goût de réchauffé.
La réalisatrice s'est mise en scène avec cette fois-ci deux copines. Les trois filles partent au festival de Locarno. Elles squattent un (vague) appartement, voient des films (quand elles n'ont rien de mieux à faire) et, surtout (car c'est là leur priorité) draguent les garçons.
Sophie Letourneur utilise la voix off pour créer un effet de distanciation entre une réalité fantasmée et une réalitée vécue, plus prosaïque.
Elles donnent des filles de 25 ans aujourd'hui une image à la fois très sincère et très tendre : des grandes filles un peu paumées, superficielles mais conscientes de l'être, drôles et auto-ironiques, romantiques et pétasses assumées.
Une sorte de "Damsels in Distress", la stylisation en moins. Une modestie revendiquée et sympathique, jusque dans la durée (1h15 seulement)
"Les coquillettes" est un film de filles, par des filles et pour les filles. Même si les garçons (surtout passés 40 ans) se sentent un peu exclus, on aime.
Son style est reconnaissable entre mille : "La vie au ranch" et "Le marin masqué" imposaient une nouvelle façon de filmer, guidée par le désir bienveillant de raconter l'amitié entre filles.
"Les coquillettes" ont du coup un goût de réchauffé.
La réalisatrice s'est mise en scène avec cette fois-ci deux copines. Les trois filles partent au festival de Locarno. Elles squattent un (vague) appartement, voient des films (quand elles n'ont rien de mieux à faire) et, surtout (car c'est là leur priorité) draguent les garçons.
Sophie Letourneur utilise la voix off pour créer un effet de distanciation entre une réalité fantasmée et une réalitée vécue, plus prosaïque.
Elles donnent des filles de 25 ans aujourd'hui une image à la fois très sincère et très tendre : des grandes filles un peu paumées, superficielles mais conscientes de l'être, drôles et auto-ironiques, romantiques et pétasses assumées.
Une sorte de "Damsels in Distress", la stylisation en moins. Une modestie revendiquée et sympathique, jusque dans la durée (1h15 seulement)
"Les coquillettes" est un film de filles, par des filles et pour les filles. Même si les garçons (surtout passés 40 ans) se sentent un peu exclus, on aime.
Le fil de l'histoire ne tient qu'à travers le récit de soirées, de rencontres superficielles où 4 jeunes femmes de 25 ans papillonnent et se perdent sans rêver. Le reflet même de la génération perdue, c'est triste et on attend qu'il se passe qqchose jusqu'au bout, en vain...
L’histoire de gourdasses de 30 ans qui on le QI de filles de 15 ans et qui s’habillent dans des rideaux. Elles se posent des questions existentielles de femmes adultes : “Quand tu embrasse ton mec, tu mets la langue ?“ Elles s’incrustent dans un festival et disent des phrases logiques et pleines de bon sens du genre “A qui je pourrais envoyer un texto ?“ Le festival se termine et elles rentrent. Voila c'est fini ! Sortis de ce film on ressent le même soulagement que quand on prend enfin le chemin de la maison après une soirée avec des gens creux et fades... Ouf !
Quand les coquillettes sont trop cuites, elles deviennent insipides et pâteuses comme ce film. Sans aucun intérêt... Un film tellement nul que nous étions quelques uns à ne pas rester jusqu'au bout...
En fait, le seul aspect positif de ce film c'est qu'il est court. Ennui, dialogues plats et histoire creuse.
Quand la génération SMS (1 toutes les 20 secondes dans le film, au pif....) sort de Loft Story pour faire du ciné.....Creux, vide, d'une nullité abyssale......
Je n'étais pas sorti au milieu d'une projection depuis prés de 20 ans mais je n'ai pas pu tenir devant cette médiocre farce inconsistante. Il n'y a ni fond ni forme, c'est laid, superficiel, nombriliste, sans poésie et avec un humour de cafétéria .
Pas la peine d'aller au ciné pour entendre des récits ineptes et totalement dépourvus de sens.
Il suffit de tendre l'oreille dans le métro aux heures de pointes.
Du très très mauvais ciné en résumé, et une soirée sauvée in extremis en attrapant la projection suivante de "wadjda", véritable petite merveille qui nous rappelle que les cinéastes ne sont pas tous des artistes creux et sans talent, ego centrés sur leurs petits nombrils sans charme ni intérêt.
Une bonne raison de s'intéresser aux rouages du système de subvention à la française , ou règnent le copinage et l'intrigue .
Pas la peine d'aller au ciné pour entendre des récits ineptes et totalement dépourvus de sens.
Il suffit de tendre l'oreille dans le métro aux heures de pointes.
Du très très mauvais ciné en résumé, et une soirée sauvée in extremis en attrapant la projection suivante de "wadjda", véritable petite merveille qui nous rappelle que les cinéastes ne sont pas tous des artistes creux et sans talent, ego centrés sur leurs petits nombrils sans charme ni intérêt.
Une bonne raison de s'intéresser aux rouages du système de subvention à la française , ou règnent le copinage et l'intrigue .
J'ai réussi à tenir jusqu'au bout croyant que ce "film" se révélerait enfin, en vain.
Grosse daube mal filmée avec des gens qui fument clopes sur clopes du début jusqu' à la fin.
Sans aucun intérêt, passez votre chemin.
Grosse daube mal filmée avec des gens qui fument clopes sur clopes du début jusqu' à la fin.
Sans aucun intérêt, passez votre chemin.
Trois jeunes femmes, la trentaine, dont la réalisatrice, prennent le train pour le Festival de Locarno. Elles vont y faire un séjour consacré essentiellement à des dragues ratées, à des galères ridicules, frisant chacune un degré de préadolescence d’un niveau de crasse rare. Chacune s’épanchant auprès des deux autres sur leur envie de se faire un mec, de « baiser », Sophie faisant une fixation sur Louis Garrel. On y chasse successivement un bellâtre italien, un Suisse transparent, et cerise sur le gâteau, un Louis-Do de Lencquesaing peu sympathique. Comme c’est lors d’un diner à Paris, autour d’un plat de coquillette, qu’elles se remémorent leurs aventures, cela nous vaut une succession de retour en arrière, coupures hasardeuses et aussi mal venues que l’ensemble du film, ni fait ni à faire. L’image donnée par ce film du Festival de Locarno est tellement étroite, limitée, négative et fausse qu’on aimerait que la direction du festival demande que le distributeur soit obligé de faire précéder la projection d’un avertissement… Rien ne surnage sur ce bouillon indigeste : pas d’humour, les interprètes sont moches et mal fagotées, transpirent la vulgarité, les dialogues débiles. Zéro pointé. Il faut dire qu’amoureux que nous sommes depuis 40 ans de ce festival aux choix internationaux intelligents, pointus, dans un cadre exceptionnel, nous supportons mal qu’il soit ici, exclusivement, le terrain de jeu de trois nouilles indigestes.
Nuuuul!! je ne sors jamais d'une séance mais la, je n'ai pas pu rester. je ne comprends pas le code de jeu des acteurs. l'histoire aurait pu être intéressante mais c'est juste vide....ça n'a aucun intérêt! comment un tel film réussit à être produit et surtout diffusé quand tant de beaux projets ont du mal à exister en salle? Si je pouvais annuler l'entrée que j'ai donné à ce film!!!
Un court métrage un peu long, qui aurait mérité un meilleur traitement. Les vingt premières minutes assez amusantes et décalées laissent place à la lourdeur ..pour finir à la poubelle. Tout ça est un peu [ EN TROIS LETTRE COMMENCANT PAR C] pour faire un jeu de mot en ce qui concerne 99% des sujets de conversation du film...le sexe
Pensez à éteindre vos portables
Pensez à éteindre vos portables
Film sans aucun intérêt , brouillon, blabla .....
Ne voit aucunement la finalité du film
Les actrices ne sont pas mise à leur valeur en tant que tel
Ne voit aucunement la finalité du film
Les actrices ne sont pas mise à leur valeur en tant que tel
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