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    Blade Runner
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    Votre avis sur Blade Runner ?

    1 199 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 4 mars 2014
    WOW!! enfin VU ce film tout simplement terrible..les derniers mots prononcé par RUTGER HAUER..valent leur pesant d'or. un moment incroyable..du grand cinéma..
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 27 février 2014
    Blade Runner est un film visuellement remarquable. Pour ses effets spéciaux et pour quelques prises de vue, ainsi que pour son côté « anticipation » pas convainquant mais imaginatif. Bon. Mais d’un point de vue scénaristique, j’ai pas dû tout comprendre en fait, parce que cette histoire de robots complètement humains, qui saignent et tout, et qui doivent mourir parce qu’ils sont interdits sur la terre parce qu’ils se sont rebellés –mais pas eux, des autres-, c’est complètement étrange. K. Dick a dû écrire autre chose, parce qu’on ne reconnaît pas vraiment sa pate dans cette histoire un peu facile de traque dans une ville énigmatique et sombre. Et pour cause, à côté de la logique (ou de l’illogisme) de Total Recall, Blade Runner fait pâle figure. J’ai donc été assez déçu par ce classique de la SF, même si le film se laisse regarder avec un plaisir certain, notamment grâce à une musique superbe.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 17 avril 2018
    Un chef d’œuvre incontournable de la SF ! Je l'ai vu à 12 ans seulement et depuis c'est un véritable culte que je voue à ce film. Tout semble avoir été touché par la grâce dans ce long métrage: les décors, la lumière, le jeu d'acteur, les personnages, l'histoire et bien sûr l'inimitable et magistrale musique de Vangelis qui reste gravé à jamais... Un monument dont seuls de rares films du même genre ont réussi à approcher la perfection (Ghost in the Shell de 1995 pour ne citer que lui). Par contre, n'en déplaise à ceux qui la défendent, mais je ne suis pas d'accord pour la Final Cut de 2007, la meilleure reste selon moi la VERSION CINÉMA international de 1982 ! La voix off rajoutait une touche de film noir comme dans les polars N&B se déroulant dans les années 30. Heureusement on la trouve aussi en Blu-ray dans les coffrets regroupant les 5 versions, car il en faut pour tous les goûts.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 3 février 2014
    De l’acharnement et du courage, c'est ce qu'il aura fallu à Scott et son équipe pour donner naissance à son film le plus intime, menacé par certaines productions sur les plateaux du tournage qu'un britannique puisse tout ce permettre sur le sol Américain, baisse de motivation, fatigue, angoisse, coups de gueules et tromperies, Blade Runner a eu un accouchement difficile mais pour un incroyable résultat ! Dès le début, vous voilà plongez dans un univers où tout vous sembles artificielles mais où l’esthétisme et l'atmosphère vous empêche d'y partir. Selon comment vous le vivrez, vous découvrirez peut-être que l’œuvre de Ridley Scott ne suscite pas de suivre une histoire, mais des émotions dont le but est de vous faire vivre à travers la mentalité du film et non de son personnage principale, perdu au milieu d'une image décadente et paradoxalement merveilleuse.

    Film à multiples facettes, spirituel, scientifique mais aussi et surtout, Nietzschéen, Blade Runner possède des références à " Humain, trop humain " œuvre du philosophe allemand paru en 1878 sur la prétention des valeurs humaines. Le film et le livre de Philip K. Dick remet en question le spectateur en l'incitant à flirter avec les conséquences du relativisme éthique et où le questionnement de la morale et de la mort sont remis en cause, Deckard l'anti-héros, n'est pas convaincu du bien-fondé de sa mission et ce retrouve face à un problème morale grave, prendre la vie d'une personne qu'il aime parce que la société en a décidé ainsi, la question de la morale et du choix est immédiatement posé mais ne semble pas atteindre le chef des réplicants Roy Batty, le surhomme aryen à l'esprit libre, puissant et intelligent, il ne parle à aucun moment de valeurs bonnes ou mauvaises, c'est un leader grâce à sa force et son mental, son espérance de vie courte sur terre est par intérêt personnel de son créateur et non de la morale, celui-ci apprenant l'impossibilité de son Dieu à prolongé sa vie, ce dernier réclame son indépendance par ses propres moyens et convictions.

    Les scènes sont empreintes de symbolismes et les dialogues intelligents, pouvant être analyser à la fois consciemment et inconsciemment à travers des mythes, il est possible que Roy sois le vrai protagoniste du film et dans son monologue final, ce dernier affirme " J'ai vue des choses que les gens ne croiront jamais " phrase qui le fait élever au dessus du rang du troupeau de mouton que Nietzsche méprisait tant, il ressort en héros et dans sa mort, emporte des valeurs essentiels, référence bibilique, la scène ou Roy s'enfonce un clou dans la main peut être interprété comme une représentation de la figure du Christ.

    Vangelis quant à lui, soutient cette superbe peinture, avec sa pluie et ses néons par une BO splendide, la rendant encore plus subtil, presque comme un rêve éveillé. (Et oui amis détracteurs, BR est assez lent c'est vraie, mais que voulez-vous, moi c'est en partie cela qui m'a captivité).

    Pour finir, je recommande ce chef d’œuvre riche et puissant du 7ème art, qui pour ma part, figure parmi mes films préférés de tous les temps.

    Ps : Optez plutôt pour la version final cut, qui possède une qualité de son et d'image magnifique, à voir absolument en VO et de préférence seul.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 23 janvier 2014
    Film de SF devenu culte au fil des années: un univers visuel rétro-futuriste inoubliable, une bande-son envoûtante, des emprunts aux films noirs.
    De nombreux thèmes explorés: l'influence culturelle (en particulier japonaise), l'omniprésence de la publicité, des questionnements métaphysiques ect...
    Petit bémol quelques incohérences de script, mais dans l'ensemble ce long-métrage vaut vraiment le détour.
    Kiwi98
    Kiwi98

    261 abonnés 238 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 octobre 2017
    L’Homme se prend pour Dieu. Il crée à son image. Il crée un reflet, qui ne fait que lui renvoyer sa propre nature, celle d’une espèce vouée à sa perte, dans les entrailles d’une cité tentaculaire, baignée dans l’obscurité, dans la brume d’un autre monde. Los Angeles, 2019, un ciel rougeoyant enveloppe les contours de constructions pharaoniques. Les lumières dansent. Les panaches de feu ondulent. Un œil se fait observateur impuissant de ce vertigineux théâtre. « Visionnaire », il est vrai que « Blade Runner » appartient à cette catégorie de films, ceux qui sont entrés à jamais dans l’inconscient collectif, par le biais d’une séquence, d’une réplique, d’une mélodie. Se hissant au delà de toute concurrence, Ridley Scott ne tarde pas à exploiter une atmosphère vertigineuse, touchant du bout des doigts la quintessence. Le réalisateur ne se contente pas de déployer benoitement sa virtuosité, il redéfinit le genre de l’anticipation au cinéma à travers une œuvre inédite.

    Œuvre de science-fiction matricielle et mnémonique, ce film polychrome, digne héritier des longs-métrages des années 20-40, opère un aggiornamento salvateur, avec une finesse inouïe, une imperceptible beauté. Le ton est donné dès le départ, un carton indique que l’homme a créé des androïdes parfaits, intelligents, indissociables d’un être humain organique, exclusivement réservé à la main d’œuvre, dotés d’émotions, de désirs. Ce sont les « Réplicants ». La première scène concrète de « Blade Runner » met face à face un homme et l’une de ces machines lors d’un interrogatoire sous forme de teste. Le locuteur pose alors des questions à son sujet, pour déterminer si il est un être humain ou non. Rapidement, l’allocataire, que l’on sait pertinemment être un Réplicant, devient nerveux, il fait mine de ne pas comprendre les questions en pointant leur absurdité. Face à lui, l’homme ne peut que souligner sa soumission au protocole en avouant qu’il n’a pas écrit les questions qu’il pose. Ainsi, aussitôt, le Réplicant se révèle plus sincère, plus humain, plus libre que son interrogateur.

    Débauche des formes et des couleurs, « Blade Runner » est, avant d’être un film de science fiction, un film noir atypique. Du genre, il en reprend le motif. Il le conjugue à sa forme en le plantant dans son contexte. Le héros du film, Rick Deckard, pourrait être un descendant de Marc Dixon, voire de Phillip Marlowe, en plus cynique et mélancolique. Il dispose d’une nonchalance à toute épreuve. C’est un policier fatigué, plongé dans une histoire dont il n’aurait jamais voulu entendre un mot. À ce titre, à voir le charisme et l’élégance d’Harrison Ford, il est difficile de ne pas songer à Humphrey Bogart. Toute la panoplie est là : un spectre imprévisible, inquiétant, dissimulé. Des indices cloisonnés. Un objet de fantasme, une brune mystérieuse. Le tout dans les ruelles en proie aux fumées des bouches d’aération, sur le trottoir mouillé, dans une ville de mille feux, splendide, mythique. Dessinée par Syd Mead, cette cité inspirée de villes européennes et asiatiques autant que par le baroque de la renaissance et le mouvement Art Déco, est l’un des plus beau joyaux que le cinéma nous ait offert, vivant grâce au trait du génie des effets spéciaux Douglas Trumbull et son équipe, qui rendent des matte painting offrant au film des images de synthèse d’une réalité encore aujourd’hui difficilement égalable.

    Vivre au moment et à l’endroit où la vie s’éteint progressivement, se débattre, survivre, comme les licornes dans leur existence illusoire. La vie intime de Deckard se réduit à une rêverie après qu’il se soit vu attribuer une tache qui ne lui offrira ni plaisir, ni satisfaction : celle de supprimer un groupe de Réplicants désespérément cachés dans l’ombre. Les divers montages du film ont également posé les curseurs sur une question ardue : Deckard est-il lui même un Réplicant ? « Blade Runner » sait se tenir ambigu à ce propos, cachant la vérité sur le personnage à travers des détails visibles à l’écran, apparemment anodins. À titre personnel, j'ai toujours pensé que Deckard est un Réplicant, et la preuve, à mes yeux, se trouve dans la séquence suivant le combat entre le Réplicant Léon Kowalski et Deckard, ce dernier sauver in extremis par un autre Réplicant : Racheal. Dans cette séquence, on voit Deckard ensanglanté, les lèvres totalement ouvertes. Il entame un verre d’alcool, un filet de sang s’y égare. Tout se lit sur son visage.
    (Voir l'extrait

    « Blade Runner » tourne le dos à l’action, pour épouser la poésie cybernétique, la grâce, le crépuscule du monde, tout en dévoilant un terrible miroir de la condition humaine, ainsi qu'un glaçant portrait de la relation entre l’homme et la technologie. Phillip K. Dick écrivait : « Qu’est-ce qui fait d’un être humain un humain ? ». Si il s’agit des sentiments, alors Deckard, ainsi que l’humanité n’en sont plus. D’un coté, les hommes se mécanisent, de l’autre, les androïdes s’humanisent, luttant pour leur survie. Ce simple argument, fondé sur l’empathie que l’on éprouve auprès de chaque personnage, transforme ce qui partait comme une enquête classique en véritable dessin existentiel. C’est à cet instant que l’on devine le génie des scénaristes, Hampton Fancher et David Webb Peoples, qui parviennent, avec une douceur naturelle, à glisser leurs questions métaphysiques dans une traque captivante et palpitante, délicieusement menée par la musique de Vangelis.

    Percutant les hallucinations et les pluies acides, le calvaire de l’oubli scintille sur les larmes du corps perdu de l’Aryen, dans ces abysses témoins de la résurrection d’un œil doré, cristallisant l'enfer urbain, les cadavres des voiles vaporeux, la fragilité de l’espoir. Cette histoire opaque entre dans une immense tristesse : celle d’un duel, entre un « homme » et un « surhomme ». « Blade Runner » obtient principalement sa richesse en mélangeant la grandeur visuelle et un intimisme transgressif, tout en causant une rupture à un classique manichéisme. Il est difficile, de ne pas s’extasier devant la finesse de ces plans vertigineux, devant cette mélancolie de tous les âges, cette puissance physiologique, ces images d’une noblesse infinie. « Blade Runner » est un conte opératique, se constituant d’une philosophie muette. Les images de Ridley Scott survolent la Terre, entament ces flammes astrales, subliment ces séquences fantasmées.

    Comment identifier l’humanité ? Enveloppé de formes et de sens, « Blade Runner » est aussi étincelant qu’il est lugubre. Au delà des formes, des idées et des mots, des pensées et des actes, tout semble avoir été conçu pour troubler la frontière entre le métal de le physique. Apparaît la vision du monde en proie à la transsubstantiation, stérile, vain, ces mures s’écoulant dans une limpidité inouïe. « Blade Runner » s’élève à la hauteur de notre relation avec cet environnement corrosif, représenté par une totale déliquescence, dans cette ville qui laisse couler ses larmes de sang. Ici, tous les gestes racontent une histoire, chaque lumière est un nid d’interrogations, chaque regard apporte son empreinte. Les visages tombent, dévastés par leurs visions éphémères. Rares sont ces films, parvenant à transcender à ce point le temps, paraissant toujours un peu plus intemporel, au fil des années. « Blade Runner » en est l’archétype, le film absolu, l’illustration d’un obscur paradis. Un chef d’œuvre du cinéma, auquel j’ai trop longtemps refusé une place dans mon top dix. Une rivière de beauté, où éclosent des questions sempiternelles.
     Kurosawa
    Kurosawa

    583 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 janvier 2014
    Visuellement époustouflant et doté d'un scénario original (pour sa sortie en salle), "Blade Runner" reste frustrant, principalement à cause de son abstraction qui m'a laissé perplexe. Je ne doute pas que le film comporte de nombreuses pistes d'analyse extrêmement passionnantes, mais elles sont peu perceptibles. R. Scott est donc parvenu à créer un imaginaire esthétiquement fort, mais n'a pas réussi à mettre en relief ses axes thématiques.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 3 janvier 2014
    - Tandis que La Guerre des Étoiles et Indiana Jones sont glorifiés, une nouvelle perle naît : Blade Runner, en 1982.

    Adapté du roman éponyme de Philip K. Dick, ce thriller d'anticipation particulier est devenu en l'espace de trente ans un film culte, un véritable chef-d'oeuvre.

    Ridley Scott signe son troisième long-métrage : un coup de maître pour si peu d'expérience.
    Un film dont le manichéisme est complètement brouillé : une fable obscure, cruelle, qui reste impassible, dure, ne déterminant jamais le bien du mal. Qui sont vraiment les esclaves ? Les "répliquants" ? ou les hommes ? Car à force de vouloir s'améliorer on se détruit et on plonge dans la peur, l'angoisse, la folie... Dans Blade Runner soit nous exploitons, soit nous sommes exploités, soit nous nous battons, soit nous subissons la terreur. Le monde est tel qu'on a voulu qu'il soit, inégal et injuste. Et tout cela forme un thriller futuriste épatant, psychédélique mais réaliste. C'est intéressant de voir la vision que se faisaient les hommes du 21e siècle : ces voitures volantes, ces immeubles incroyablement hauts, ces nouvelles technologies, et ce monde dépourvu de vie. Deux heures de pure sorcellerie : la découverte d'un nouvel univers, pas si lointain qu'on ne le pense. Scott livre un cocktail explosif, dramatique et audacieux. On suit, intrigué, le parcours de Rick Deckard ( Harrison Ford, ébouriffant ), embarqué dans une aventure en apparence violente, mais mystérieusement romantique.

    Constamment, une comparaison est établie entre les hommes et les animaux : leurs créations sont le reflet de leur caractère. Rutger Hauer, qui interprète le chef des Nexus 6, s'animalise férocement au cours du récit et hurle même comme un loup lors du dénouement.

    Les combats ( rares sont-ils, excellents cependant ) se démarquent grâce à leur originalité, leur musicalité. C'est toute une chrorégraphie mise en place, exquise et déroutante.

    De plus, les effets visuels de ce très grand film de science-fiction impressionnent pour l'époque.

    Au fur et à mesure, le scénario, autrefois déguisé comme par une carapace, se dévoile et nous survolte. Autant de simplicité, que de travail acharné.

    Un enchaînement maîtrisé de bizarreries séduisantes et sombres, tantôt allegro, tantôt largo, haletantes, ne s'essouflant qu'au bout de 120 minutes, comme une libération : la mort.

    Vivez-le comme vous voulez : un ennui mortel, ou un grand moment de cinéma.
    Le Français Glacé
    Le Français Glacé

    29 abonnés 328 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 octobre 2017
    Blade Runner réalisé par Ridley Scott en 1982.
    *Les points que j'ai appréciés →
    • L'esthétique du film (décors, costumes, ...)
    • La musique
    • Harrison Ford (même s'il n'est pas vraiment mis en valeur

    *Les points que je n'ai pas appréciés →
    • Le rythme lent du film
    • La complexité attendue de l'histoire qui ne l'est en faite pas
    • Le manque d'action

    *Conclusion →
    Je suis neutre, c'est vrai pourtant le style visuel est sympa mais je m'attendais à bien mieux niveau histoire. 5/10.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 27 décembre 2013
    Techniquement Blade Runner est une immense claque. De la pure science fiction qui malgré les années ne prend pas une ride. Un gros travail a été fait sur la réalisation. Les effets spéciaux et les décors nous plongent dans un monde futuriste plausible pas très rassurant. La musique utilisée renforce cette ambiance oppressante et permet de dégager un certain suspense.
    Le scénario n'a rien de très recherché : une simple enquête policière pas très fascinante.
    Un film culte à voir, amateur de SF ou non.
    Mimit_le_vrai
    Mimit_le_vrai

    32 abonnés 504 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 décembre 2013
    Un film avec une atmosphère très spéciale et un Harrison Ford toujours aussi bon. Je trouve qu'il y a quelques longueurs par moments. Une autre chose que j'ai beaucoup aimé : la bande son. 12/20
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 24 décembre 2013
    Blade Runner de Ridley Scott est un pur chef d'oeuvre dans son genre et le restera pour toujours . Pour commencer qu'est ce que raconte se film et que dit-il; le symbolisme religieux, le cogito de René Descartes, les stéréotype féminins, les Origamis, et enfin d’eugénisme. La vie serait-elle à ce point injuste au point de faire disparaître à jamais le vécu? L'histoire "synop"; un polar futuriste qui suit 6 répliquants, qui reviennent sur terre pour avoir des réponses face à la mort, et son en quête de leur cré delà de l'histoire, le film pose la question et parle de savoir si nos souvenirs sont vrais sachant que par essence même nos souvenirs étant une reproduction de notre vécu, il n'existe donc pas. Mais si ce vécu n'avait pas existé lui non plus et que tous vos souvenirs ne sont en réalité que des implants qui vous permettent de croire que vous existez en tant qu'être humain. A ce ce moment je me souvient d'hier mais d'hier que j'ai construit dans ma mémoire alors est-ce que hier à réellement bien existé, est-ce que mon âme a une réalité, suis je que boite qui sert finalement de support à une âme. L'âme existe t-elle si finalement je ne suis qu'une machine "un répliquant", qui, comme dans le film, suppose que vous ne le savez pas vous mê ne connaissez que des souvenirs qui sont d'un autre peut-être! Vos souvenirs seront-ils perdus à jamais; "j'ai vu tant de chose, que vous humains, ne pourriez pas croire. De grand navire en feu surgissant de l'épaule d'Orion. J'ai vu des rayons fabuleux, des rayons C, briller dans l'ombre de la porte de Tanahauser. Tout ces moments se perdront dans l'oublis comme les larmes dans la pluie. Il est temps de mourir". Quelques mots sur la réalisation. Des plans grandioses, jouant sur des contres jours sublimes. Des lumières parfois filtrées, fumées avec des teintes sombres et froides, chaleureuses dans une palette créant un milieu agressif "la pluie, le climat", le futurisme des rues, des figurants incroyables. Dans des lieux en huit clos magnifique, avec des personnages captivant au premier regard. l'appartement de J.F Sébastien spoiler: où vivent des personnages mécaniques qui se bousculent avec humour et d'une créativité ultra réaliste, avec des palettes de couleurs incroyables
    . La photographie est subtile et réveil des ambiances dans des lieux aussi différents que créatif. Les décors "des bâtiments gigantesques en forme de pyramide", des Spinners et autres utilitaires innovants digne d'un repère de geek "machine Voight Kampff, j'en passe et des meilleurs. Sans oublier la qualité de jeu des acteurs qui surpassent tout ce que vous pourriez imaginer. Roy et Pris forment un couple hallucinants et leur rôle leur cole à la peau. Sans parler de Rick qui approche l'interprétation parfaite. La bande son d'environnement conceptuel, avec en prime la musique de "Vangelis" qui vous plongera définitivement dans un monde futuriste magnifique et ultra réaliste. En ce qui me concerne un des dix plus grand film de tous les temps. Pour le reste ce film est indémodable, il parait avoir été réalisé cette année, alors que si vous comparez avec les films de l'époque, alors là vous comprendrez que la réalisation a été conduite de mains de maîtres, un coup de génie, et sans doute le meilleure film de Ridley Scott .
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 22 décembre 2013
    Plus de 30 ans...jamais innegalé...toujours copié...dans 30 ans il sera toujours d'actualité.
    Cissou P.
    Cissou P.

    13 abonnés 45 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 10 octobre 2014
    Film vraiment très longuet. J'ai failli m'endormir en le regardant. Vu la fin il semble qu'il y ai une lecture philosophique derrière ces évènements. J'étais clairement pas dans cet optique quand je l'ai visionné.
    Par contre pour un film de SF des années 80, Il a vraiment très bien vieilli.
    Tiger V.
    Tiger V.

    92 abonnés 1 248 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 décembre 2013
    Le premier film de Ridley Scott qui manque quelques petites choses pour que le film soit réellement bien, mais cela dit, ce reste un bon début pour le réalisateur. L'histoire est un peu banal ou déjà vu, puisque qu'il s'agit d'attraper des androïdes. Harrison Ford se débrouille pas mal du tout dans son rôle de policier et le reste du casting est convenable. Le film que je n'ai vraiment pas aimé, c'est l'ambiance qui est trop sombre ou les couleurs sortent à peine, cela aurait pu être bien mais c'est un peu trop exagéré. Les scènes de combat sont pas mal mais un peu lents. La plupart des décors ne sont pas terrible. Les costumes peuvent aller. Un film de science-fiction moyen.
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