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Rémy L.
4 abonnés
31 critiques
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5,0
Publiée le 26 novembre 2017
35 ans après toujours éblouissant visuellement Le rythme est inimaginable aujourd’hui : relativement lent, sans rapport avec la frénésie systématique des films actuels. La caméra prend le temps de balayer les décors et laissé le temps à l’imaginaire de se déployer. Il faut que je voie le nouveau. Il serait d’excellente facture...
e sais que je ne vais pas me faire d'ami ici, mais ce n'est pas le but. Blade Runner, considéré par beaucoup comme un Chef d'oeuvre n'est pas un film qui a bien vieilli. Vu lorsque j'étais (beaucoup) plus jeune, le film ne m'était pas resté dans la mémoire. revu il y a peu (un mois), le ressenti me fait un peu de peine. Je me suis décidé lorsque la suite est sortie au cinéma, pour éviter de passer à coté de certains sujets qui risquent d'être évoqués et passés dans le premier opus. Donc, doté d'un casting solide, Harisson Ford en tête, on se retrouve dans un univers cyber punk où se cotoie humains et répliquants. Les effets spéciaux sont datés mais font encore le travail, la ville où se déroule les évenements est "poisseuse" à souhaits et l'univers du film est probablement son point fort et pour moi le seul. Le reste est édifiant, l'histoire est neuneu au possible, si si, les dialoques risibles (notamment LA scène entre Harisson et Sean young) et désolé de le dire, la musique n'est pas du tout en adéquation avec ce qui se passe à l'écran, la BO passe à coté de son sujet. Tout a été dit sur BR, je ne vais pas m'étendre sur le sujet, à part pour son univers, BR ne m'a pas convaicu.
Je ne l'avais jamais vu et je n'ai pas vraiment adhéré, l'ensemble est un peu lent peut-être le film a t-il mal vieilli mais on s'attache peu à cet univers de science fiction qui ressemble à une cité destroy. Y-a -t-il une fin ?
J’ai pas du tout aimé, malgré la présence de très belles images, surtout que l’œuvre date des années 80. Harrison Ford est pas mal. Mais j’ai rien compris. Je le déconseille aux moins de 10 ans. 2/5
Dans les années 80, Ridley Scott imaginait un 2019 surpeuplé avec une humanité partie coloniser l’espace avec des réplicants, des esclaves humanoïdes de tout genre, travailleurs, combattants, prostituées… pour assister les humains. Des Blade Runners, sortes de policiers, sont alors chargés de retirer les plus évolués qui se sont enfuient. Blade Runner est un film sombre d’anticipation où l’intrigue se situe dans un Los Angeles futuriste fatigué et souillé par le temps. L’esthétisme est alors contemplatif et rarissime pour l’époque de réalisation, les autres productions préférant créer un nouveau monde. Les architectures, les costumes, même les musiques, datent de tous les âges et donnent ce sentiment dévoré par l’entassement des hommes sur la nature. Adapté du roman Les androïdes rêvent-ils de moutons électriques ? de Philippe K. Dick, Blade Runner dégage de nombreux thèmes comme l’acceptation de la différence où l’omniprésence du capitalisme. C’est d’ailleurs pour cela que de nombreuses publicités apparaissent à l’écran. Le projet sera considéré comme maudit par les multinationales du fait que la plupart des marques présentes auront fait faillites après le film. Une autre anecdote intéressante, pour la sortie du film, les producteurs ont imposé au cinéaste de tourner un happy end en nature. Scott, estimait que cette idée allait à l’encore de l’univers dystopique qu’il avait imaginé. C’est donc Stanley Kubrick qui offrit quelques chutes de son Shining à Ridley Scott pour lui éviter de reprendre le tournage. Ce qui n’apparaîtra bien entendu pas, dans sa version directors’cut qu’il souhaitait. C’est donc une chasse entre l’homme et le robot que traite Blade Runner et aujourd’hui, nous nous posons encore la question de l’identité réelle du Blade Runner qu’est Harrison Ford. D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
Ce qui me frappe aujourd’hui, c'est de me rendre compte que ce film n'a pas vieilli d'un iota ....Dire qu'il a 35 ans : Le scénario est béton, la musique de Vangelis est parfaite, la photo est très réussie. La réalisation et les acteurs sont excellents. Tout est réussi et l'ensemble n'a pas pris une ride :clairement l'un des meilleurs films de SF!
Un film revu en 2017 qui reste un film excellent même si il a un tout petit peu veillit. Au delà de la magnifique esthétique tellement originale de ce New York japonisant aux avenues remplies de lumirèe aux néons et d'écrans géants , aux ombres qui démbulent , à cette ambiance de fin du mondre d'où les humains ont fuis pour des colonies lointaines, le thème de fonds est intéressant et reste d'actualité. Qu'adviendra -t- il de ces robots de plus en plus intelligent. Vont-ils découvirr l'angoisse de la mort ? Vont -ils accepter d'être détruit? Qu'est-ce que la vie. Le film savait poser ces questions avec beaucoup d'émotion. Le très bon jeu des acteurs et la qualité de la bande son en ont donc fait un film mythique et culte.
Film considéré comme culte. Globalement, le film est bien mais pas non plus extraordinaire. Le vrai gros soucis et sans doute dans la mise en scène qui rend par moment le film très figé, sans aucune émotion ou presque et donc cela rend le film non ils n’ont surtout pas le moment pour Harrison Ford est très juste dans son rôle est le casting globalement est bon lui aussi.
Après avoir vu la bande annonce du second opus, que j'avais très envie de découvrir, il me fallait découvrir le film de Ridley Scott avant tout. J'ai été pas mal déçus, ayant eu des difficultés à le visionner mes attentes ont peut-être été trop grandes. Les conditions de visionnages ont certainement jouées également et je n'exclue pas de le revoir. J'ai eu beaucoup de mal à rentrer dans l'histoire et à la comprendre, cherchant à tout prix la bête noir dans tout cela, voulant absolument trouver un grand méchant. Puis à un moment ça été le trou noir, comme si je m'étais endormie et je n'ai plus rien compris. Même si l'histoire ne m'a pas captivée, je reconnais que la réalisation de Ridley Scott est superbe, les décors toutefois posent question, car étant dans un film futuriste on retrouve un peu trop d'objets initiales des années 80. Le casting est plutôt bon, Harrison Ford se démarque très largement malgré de très bonnes prestations de ses collègues Sean Young, Daryl Hannah ou encore William Sanderson. La bande original est également sympathique même si je ne l'écouterais pas à longueur de journée. Je n'arrive pas à dépasser ma déception face à l'histoire qui m'a empêché d'apprécié pleinement le film.
Bienvenue dans le monde merveilleux de Ridley Scott... Sombre, froid, sans espoir. Ne chercher pas la moindre étincelle, ce serait peine perdue. Blade Runner est devenu culte avec le temps, mais seulement parce qu’il à été retravaillé afin de lui conférer plus de sens. Malheureusement, ça ne prend pas. Ce film est faussement complexe. C’est un tableau où on y a rajouté plusieurs couches, car à la base il n’y a rien sous la croûte. On a beau être dans les années 80, ça n’excuse en rien les décors en papier mâché et les effets spéciaux ratés, ni la bande son assourdissante. Librement inspiré du roman de Philip K.Dick, le scénario est mal ficelé, le jeu des acteurs est soit exagéré, soit creux et la réalisation est loin de nous offrir l’univers développé dans l’histoire originale. Bref, on est loin du chef d’œuvre.
En plein essor des films de science-fiction au début des années 1980, Blade Runner est un grand classique du genre dans une Los Angeles futuriste où la quasi-totalité de la faune a disparu et où des androïdes appelés réplicants remplacent de plus en plus d’humains, certains étant esclaves et d’autres se faisant traquer pour rébellion par les blade runners, portant leur nom de la dangerosité de leur statut « sur la lame du rasoir ». Le casting est notamment porté par Ridley Scott à la réalisation (qui avait déjà bien marqué avec Alien le huitième passager trois ans plus tôt), Harrison Ford (Star Wars, Apocalypse Now, Indiana Jones) et Sean Young (Dune, Ace Ventura). Très sérieux et au déroulement proche d’un policier saupoudré d’action, le film arbore une esthétique urbaine très marquée, avec un climat sombre et pluvieux, notamment lors du combat final qui s’étend sur plusieurs minutes avec des effets de lumière saisissants pour mieux faire ressentir la peur de la domination artificielle, Rutger Hauer atteignant un charisme magistral dont le jeu rappelle celui de Christopher Walken. Entre affrontements de qualité et musiques vacillant entre tristesse et mystère, le scénario appelle à une réflexion sur la condition humaine à travers la limite de vie à quatre ans des réplicants pour éviter qu’ils ne s’humanisent, ou encore à la réelle nature de Deckard compte tenu de sa manière d’agir. Un film culte !
J'aurais tellement aimé mettre une note plus élevée à ce film.
Je l'avais déjà vu quand je devais avoir une dizaine d'années mais rien de bien marquant en était sorti. Du coup j'ai voulu réessayer devant les critiques dithyrambiques de ce film devenu culte.
Le début me scotche littéralement. Une histoire passionnante des images superbes qui n'ont pas vieillies un harrison Ford au top bref cela s'annonce parfait.
De plus l'histoire de retrouver ses 6 repliquants fugitifs ne verse pas dans l'originalité mais au moins ça annonce de l'action.
Mais malheureusement pour moi le film perd clairement en consistance au fur et à mesure. On s'ennuie ferme les dialogues sont trop peu nombreux et peu profonds il manque cruellement d'action. Je ne demande pas à ce que tout saute de partout loin de là mais si on ne veut pas s'ennuyer il faut quand même une histoire avec des rebondissements des dialogues profonds ou savoureux mais la rien du tout.
La lenteur est trop présente trop pesante.
Dommage car le film a clairement des qualités et chose rare n'a quasiment pas vieilli depuis 1982 preuve de sa novation pour l'époque
Le Chef d'oeuvre incontournable du cinéma de Science Fiction des années 80, monument du cinéma comme l'est "2001 l'Odyssée de l'Espace", Blade Runner n'a pas pris une ride en raison d'une intelligence scénaristique et de mise en scène. Maintes fois copié, jamais égalé, pas même par le brillant Blade Runner 2049, ce film doit tout à une réalisation excellente. Pourquoi ? Parce qu'il invente un genre, celui du cyberpunk, et développe une impressionnante et terrifiante ambiance sombre et pessimiste. Ridley Scott signe, peu de temps après Alien (qui est un autre monument de la SF), un film d'anticipation intelligent, émouvant et captivant. Je dis anticipation, car la réflexion développée est d'une pertinence inouïe et possède des échos encore aujourd'hui. La réflexion menée sur la condition humaine, les rapports entre l'homme, la machine, la vie et la mort est vraiment très intelligente. La symbolique des décors, le bestiaire est très pertinent. Rajoutez à cela la bande son de Vangelis, qui est planante, l'utilisation de synthétiseurs viennent générer un paysage mental fait de réel et de virtuel. Blade Runner est le premier des films de son genre, mais le dernier à être aussi réussi. Son accession au titre de film culte est amplement mérité, et les multiples versions n'ont fait qu'accroître, au delà de l'aspect commercial, le mythe d'un film puissant et interrogateur... Peut-être cela provient aussi de l'imagination débordante de Philip K Dick à qui le cinéma doit beaucoup d'excellents films. L'oeuvre littéraire originale est une pépite. On ne ressort pas indemne de Blade Runner, et aucun des acteurs n'en est ressorti le même après un tournage atypique... Comme tout excellent film, de multiples interrogations et théories ont fleuri sur internet depuis bien des années, et elles sont toutes légitimes. Ridley Scott apporte sa pierre à l'édifice pour construire un monument de cinéma. Peu de réalisateurs ont réussi à faire des films "archétypes" d'un genre cinématographique. Indémodable, indétrônable. (2049 caractères...)