AlloCiné
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Votre avis sur Quartet ?
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Un petit bonbon, la salle à applaudi comme au théâtre , surtout restez jusqu'à la fin rendre hommage aux acteurs dans le générique , Dustin Hoffmann à parfaitement réussi son examen de passage, à voir absolument
Ce film n'aura sûrement pas d 'oscar, ni de césar mais il est bourré de tendresse et de bonne humeur et ça fait un bien fou !
pour une première réalisation,chapeau bas mr Hoffman.
un quatuor d'acteur exceptionnel, de la grande musique qui donne envie de l'écouter.
tout est magistral,quel pied.
un quatuor d'acteur exceptionnel, de la grande musique qui donne envie de l'écouter.
tout est magistral,quel pied.
Une comédie légère que l'on se farcira sans déplaisir mais qui laissera un goût de trop peu. Tout sonne juste mais manque cruellement du piquant requis pour nous faire bicher comme des poux.
film profondément humain, touchant ; le problème de la fin de vie est à la mode ; ici Dustin Hofmann le traite avec une douce amertume, que les références musicales soulignent
de plus, élément qui donne encore plus de sensibilité au film : les acteurs sont tous d'anciens musiciens qui jouent leur propre rôle, à l'exception du Quartet qui interprète le "libiamo" , le célébrissime air tiré de la "*Traviata"
de plus, élément qui donne encore plus de sensibilité au film : les acteurs sont tous d'anciens musiciens qui jouent leur propre rôle, à l'exception du Quartet qui interprète le "libiamo" , le célébrissime air tiré de la "*Traviata"
Quand on voit une oeuvre d'une telle beauté, on ne peut que regretter que Dustin Hoffman est attendu si longtemps pour passer à la réalisation.
Ce film est à la fois touchant et drôle. Touchants, ces vieux artistes à la gloire passée qui continuent à vivre leur passion malgré les handicaps de la vieillesse et leurs petites querelles, drôle par les dialogues à l'humour parfois ravageur, le tout dans un décor et une ambiance "so british".
Quand aux acteurs, ils sont tout simplement exceptionnels et les applaudissements à la fin de la séance (chose rare au cinéma) amplement mérités.
Ce film est à la fois touchant et drôle. Touchants, ces vieux artistes à la gloire passée qui continuent à vivre leur passion malgré les handicaps de la vieillesse et leurs petites querelles, drôle par les dialogues à l'humour parfois ravageur, le tout dans un décor et une ambiance "so british".
Quand aux acteurs, ils sont tout simplement exceptionnels et les applaudissements à la fin de la séance (chose rare au cinéma) amplement mérités.
Drôle, émouvant, mélodieux : un vrai bonheur! Il s'agit du genre de film qui fait apparaitre un sourire sur votre visage au début du film et en sortant de la salle ce sourire est encore la. Dans ce film la vieillesse est présenté avec tout l'humour et toute l'élégance anglaise, c'est une vision très positive et optimiste malgré les aléas. Les acteurs sont grandiose et la présence de vrai musicien donne encore plus d'authenticité au film.
A voir absolument!
A voir absolument!
Je suis sortie émue et la larme à l'oeil après ce merveilleux film rempli de tendresse, d'humour et servi par des comédiens, musiciens ou chanteurs d'opéra, de 75-80 ans, extraordinaires !
Un grand bravo à Dustin Hoffman de nous avoir offert ce grand moment d'Humanité.
Un grand bravo à Dustin Hoffman de nous avoir offert ce grand moment d'Humanité.
Délicieusement british et souvent émouvant. A voir aussi pour la grande Maggie Smith, en V.O. of course!
Fritz L
Un plaisir en évoque souvent un autre… Impossible de ne pas penser ici, à ce magnifique film de Fellini, aujourd’hui oublié, E la nave va, dont beaucoup de thèmes se recoupent avec Quartet : évanescence d’une élite, conflits et caprices de divas, amour de l’art lyrique, humour vachard… Passant outre cette comparaison, on peut s’attarder sur cette première mise en scène de Dustin Hoffman. On le savait acteur génial, on doit le reconnaître aujourd’hui comme un subtil réalisateur. Subtil le mot est lâché ! Car Quartet est constamment à la limite. Limite du mièvre, limite du pathos, limite de la correction… chaque fois on s’attend au pire, mais toujours Hoffman trouve la parade pour nous surprendre, nous émouvoir, nous divertir. Il nous gratifie même de deux ou trois très belles scènes (l’altercation entre Jean et Cissy, le clarinettiste cardiaque…) et distille un humour féroce (la Diva qui interprète Violetta comme si elle chantait Falstaff ). Petit à petit on ne voit plus Beechman House comme un mouroir pour artistes désoeuvrés, mais un vivier de belles personnes, qui malgré leur grand âge, ont encore tant à donner. Si ce n’est plus au niveau de leur talent (perdu), ce sont leurs âmes dans tous les états qu’il s’agit. Dans cet établissement rêvé, la roue tourne pour les résidents, et on espère pour longtemps… Si l'on ajoute à cela une Maggie Smith magistrale et le fait que les seconds rôles soient tous d'anciens du Lyrique, on tient non seulement une œuvre de qualité mais plus encore un adorable film !
Dustin Hoffman fait de son mieux dans cette déclaration d'amour aux actrices et acteurs. Dans cette première réalisation, il s'amuse et se fait plaisir pour assurer le nôtre. Le sujet, déjà maintes fois traité, même si dans des lieux différents, bénéficie ici, d'un décor de rêve, d'un bon scénario, mais aussi de dialogues souvent savoureux et particulièrement bien choisis. Magnifique Maggie Smith, dès sa première apparition, dans le reflet d'une vitre. Un regard qui en dit long. Sans fard ou autres artifices et sans un mot, elle est magique. À la tête d'un incroyable casting qui rassemble ici toute la fine fleur de la scène et du cinéma anglais il convient de noter les grands acteurs que sont, entre autres, Tom Courtenay et Billy Connolly et la délicieuse Pauline Collins. Pour les amateurs d'opéra avec Verdi entre autres, la musique ne pourra que les satisfaire Pour les autres dont les goûts tendent vers de grands interprètes, ils seront comblés. "Quartet" démarre lentement mais n'en demeure pas moins un régal de simplicité et de justesse. Et puis un "fuck you" dans la bouche de Maggie Smith, n'est pas si courant. Anecdotique, certes. Toutes ces gloires, qui ont fait les beaux jours d'hier, réfugiés dans leurs souvenirs d'antan et faute de "mourir sur scène", restent malgré tout, encore aujourd'hui, incomparables de présence et de talent. Du cinéma sans aucune prétention, mais un joli moment qui fait du bien.
Un beau film, bien joué et bien filmé. Avec de jolies idées et de très belles lumières... qui donne la pêche. Contrairement à ce que le thème et surtout la moyenne d'âge des acteurs pourraient faire craindre. Ne pas hésiter à y aller à y aller.
tifdel13
Pour son premier film, Dustin Hoffman adapte la pièce de théâtre de Ronald Harwood (également scénariste sur le film), elle-même inspirée par un documentaire suisse qui décrit le quotidien d’une maison de repos fondée par le musicien Giuseppe Verdi. Une maison encore ouverte aujourd’hui aux artistes peu fortunés.
La diva Jean Horton arrive à Beecham House, paisible maison de retraite au cœur de la campagne anglaise qui accueille d’anciens musiciens et chanteurs d’opéra. Une nouvelle qui ravit Winlfred et Cissy mais qui n’est pas du tout du goût de Reginald, l’ex-mari de Jean qui voit de vieilles blessures se raviver.
Fan d’opéra, Dustin Hoffman s’est entouré de véritables professionnels comme la cantatrice Dame Gwyneth Jones qui incarne l’ennemie jurée de Jean. Il a par contre choisi de ne pas faire porter à ses acteurs des costumes typiques d’opérette. Son but : miser sur le réalisme et la simplicité afin de tourner le film le plus humaniste possible. Mission accomplie : Hoffman signe un feel-good movie très émouvant. De l’excentrique Michael Gambon, au très élégant Tom Courtenay (Reginald), en passant par la touchante Pauline Collins (Cissy, atteinte de la maladie d’Alzheimer), on adore tous les personnages. L’humanisme du réalisateur de 75 ans arrive à son paroxysme lors d’une...
La diva Jean Horton arrive à Beecham House, paisible maison de retraite au cœur de la campagne anglaise qui accueille d’anciens musiciens et chanteurs d’opéra. Une nouvelle qui ravit Winlfred et Cissy mais qui n’est pas du tout du goût de Reginald, l’ex-mari de Jean qui voit de vieilles blessures se raviver.
Fan d’opéra, Dustin Hoffman s’est entouré de véritables professionnels comme la cantatrice Dame Gwyneth Jones qui incarne l’ennemie jurée de Jean. Il a par contre choisi de ne pas faire porter à ses acteurs des costumes typiques d’opérette. Son but : miser sur le réalisme et la simplicité afin de tourner le film le plus humaniste possible. Mission accomplie : Hoffman signe un feel-good movie très émouvant. De l’excentrique Michael Gambon, au très élégant Tom Courtenay (Reginald), en passant par la touchante Pauline Collins (Cissy, atteinte de la maladie d’Alzheimer), on adore tous les personnages. L’humanisme du réalisateur de 75 ans arrive à son paroxysme lors d’une...
Un très beau. film sur une chorale britannique. Dustin Hoffman est un très bon réalisateur. Une belle hymne à la musique classique.
Un vrai régal d'humanité où la vieillesse permet enfin plus de sincérité, de spontanéité, de sagesse et d'humilité à ces personnages pour quelques-uns à l'égo surdimensionnée. Le film est rythmé, drôle, émouvant, la campagne anglaise est magnifique. A voir et à revoir.
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