Derniers Avis : Adieu Berthe ou l'enterrement de mémé - Page 14

Quelques gags que l'on sent arriver de très loin. Un film d'un ennui abyssal. On se demande quand il va commencer,il est vraiment sans intérêt.

des sujets graves ( la mort, les rites funéraires, l'infidélité ) mais traités de façon complètement loufoque et décalé ... les acteurs sont très justes, quant à Pierre Arditi , brève apparition mais un régal! seul petit bémol: le discours de Podalydes ,à la fin, un peu trop solennel à mon goût... je reverrais le film avec grand plaisir!

Les frères Podalydès nous prouve que l'on peut rire de tout, et même d'un enterrement. Un rire sans honte devant l'humour noir présenté dans ce chef d'oeuvre.

A voir absolument.

Nul, ennuyeux, terriblement long, pas drôle... Je suis tombée de ma chaise en lisant les critiques ciné élogieuses, on a pas du voir le même film. Heureusement que Valérie Lemercier est là pour apporter un chouia de fraîcheur, malheureusement pas suffisante.

C était pas ce film que je voulais voir et en fait c est une comédie poétique avec plein de bonnes trouvailles, c est a voir 

D'excellentes répliques. Une Valérie Lemercier au top ! Un belle comédie à l'humour noir avec une légère référence à la série
Six Feet Hunder.

Film très drôle parfois un peu vulgaire sans l'être trop . Film servi par un casting excellent:

=> Lemercier est au top
=> Les frères Podalydès sont géniaux
=>A voir pour Isabelle Candelier que l'on voit si rarement au cinéma
=> Les seconds rôles sont parfaits: Hiegel en belle mère acariâtre et Arditi en Alzheimer
=> Vuillermoz hilarant en croque-mort

Certain moment un peu long sont peut-être discutable mais l'humour l'emporte: A voir !

un des meilleurs films que j'ai vu cette année. Humour d'une grande finesse. Beaucoup de poésie sur l'indécision et la relation humaine sans violence.

Bonne comédie française, malgré certaines longueurs et beaucoup de clichés ! Les acteurs sont plutôt bon, surtout Valérie Lemercier en maîtresse délaissée et assistante magicienne... Par contre comme dans beaucoup de film français on déplore l'incapacité des réalisateurs de faite une bonne fin ou tout du moins une fin claire et nette ! Le scénario n'est pas non plus celui du siècle c'est sur mais il se tient.

Adieu Berthe marque le grand retour du thriller à la française sur les écrans. L'intrigue est simple et ce n'est pas la moindre des qualités de ce genre qui connut ses heures de gloire avec Mon Oncle, honteusement plagié par Francis Ford Coppola sous le titre Le Parrain.
Sous le prétexte fallacieux, quoique hygiénique, d'enterrer une grand-mère aussi fanée qu'un coquelicot grillé par la canicule et les averses de lisier, Armand prépare l'élimination conjointe de sa femme et de sa maîtresse en mettant en concurrence deux entreprises de pompes funèbres. La vraie Mémé a depuis si longtemps disparu des mémoires que nul portrait n'en reste. Chaque croque-mort pourra donc se mettre sous la dent un cadavre faussement rebaptisé Berthe et tout le monde n'y verra que du feu lors de la crémation. Ou alors c'est à n'y rien comprendre. Ou que Berthe n'était pas celle qu'on croyait. Allez savoir avec les vieux, ils se ressemblent tous.
Indécis et influençable comme la plupart des héros des frères Podalydès, Armand devra faire face au machiavélisme d'une belle-mère acariâtre associée à l'un des margoulins de la finitude, et se dépasser pour trouver enfin la quiétude et, qui sait, la paix éternelle.
Tout est dit. Et pour une fois en peu de mots.
Le lente descente aux enfers du héros en proie à ses doutes métaphysiques, auxquels une nécessaire cruauté confère des accents Nietzschéens sur un air d'Emilio Bouglionne, n'est pas, en effet, le principal propos de cette œuvre ambigüe. La véritable intention des auteurs est de nous confronter à ce choix quotidiennement repoussé au nom de l'efficacité industrieuse de nos vies entièrement tournées vers la performance, financière le jour, sexuelle la nuit (sauf pour les prostituées, qui seules savent associer les deux dans une union charnelle du prolétariat et du sport de haut niveau) ; ce choix cornélien et néanmoins ubuesque qui se présente à nous dès notre premier hochet et reste pourtant une source infinie de procrastination tant le sujet nous effraie : Que choisir pour en finir ? La couche en chêne rouge ornée de bandes fluos avec un petit élastique là et des poignées invisibles comme sur les poubelles italiennes ? Ou l'urne thermostatée en inox brossé avec un anneau en latex rose pour les filles, bleu pour les garçons et jaune à paillettes pour les indécis ?
Autrement dit, doit-on préparer sa fin au risque de passer de mode avant de passer tout court ou bien laisser le mauvais goût des autres s'en emparer comme il le fit de chacun de nos anniversaires ?
Ni l'un ni l'autre, répondent les auteurs avec une détermination fraternelle, libertaire et égalitariste avant d'entonner le chant des anarchistes paillards : Vivons heureux en attendant la mort. [...] la suite et d'autres critiques absurdes sur http://ad-absurdum.eklablog.net/adieu-berthe-a47848694 [...]

Adieu Berthe ne laisse aucune envie au spectateur. Aucune envie de rigoler, aucune envie de penser, aucune envie de rester. Le jeu des spectateurs nous endormirait presque. Heureusement que le film nous offre 2 moments de 30 sec où nous pouvons esquisser un sourire... À quoi bon être venu sinon.

Film touchant avec de bons acteurs !le thème triste ne l'est pas trop. Cependant quelques longueurs et une fin qui n'en est pas une (j'ai un soucis avec ça) !

Bien sûr, la façon dont le film a été vendu est une escroquerie : ce n'est pas une comédie déjantée, ou alors elle est particulièrement ratée.
Evidemment, il s'agira avant tout d'un Podalydès : poésie décalée et douce-amère, nostalgie du temps béni de l'enfance, inéluctabilité de la mort et choix de vie dérisoires à l'approche des 50èmes rugissants. Le résultat ? Une mise en scène indigente, des gags (?) particulièrement poussifs, du cabotinage confinant au grotesque (mention spéciale à Arditi), d'interminables longueurs... Le problème, c'est qu'il ne suffit pas de se retrouver en bonne intelligence pour faire montre de sensibilité...si ce n'est, en l'occurrence, la plus convenue. De ce point de vue, un grand bravo aux critiques unanimes qui semblent, à l'aune d'une telle dithyrambe, avoir hiberné depuis 10 ans pour ne pas remarquer les trésors d'intelligence, de créativité et de sensibilité que l'on peut trouver aujourd'hui dans n'importe quel feuilleton anglo-saxon haut-de-gamme. Pour finir, je décerne le pompon au gag satirique sur le SMS, qui entame un combat courageux contre un mode de communication entré dans la plus extrême banalité depuis belle lurette. A quand une saillie poilante contre le facsimilé ?

Valérie Lemercier au top, comme toujours, mais un film qui tarde à démarrer et dont je n'ai toujours pas saisi le message. Dommage!

Excellent film, si on aime bien sûr l'univers des Podalydes. C'est leur film que j'ai le plus aimé : le mélange de tendresse, d'absurde et d'inattendu est particulièrement bien dosé (à déconseiller si on n'aime pas l'humour sur la mort). J'ai bien aimé la musique qui sous-tend l'ensemble; A voir.