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Un visiteur
0,5
Publiée le 11 mars 2013
Ce film est sans conteste l'un des plus nuls que j'ai vu depuis bien longtemps. Même les films réalisés par Danièle Thompson ne sont pas aussi bobos de droite. Dès le départ on n'y croit pas, même pour un court métrage le scénario était faible. Je ne sais pas si Attal voulait quelques scènes pour nous faire sentir mal à l'aise, mais si c'est le cas, c'est raté. Les longueurs insupportables m'ont permis d'utiliser l'avance rapide. Inutile de parler des clichés gay, Joey Starr qui chante Paroles Paroles, c'est drôle mais tellement cliché. J'aurai compris en 1995, mais pas en 2013.
Seul point positif : la direction artistique avec de beaux plans, c'est ce qui lui donne 0,5
L'idée est originale... le reste est à l'avenant. En fait c'est creux, creux, creux. Y A s'en est d'ailleurs rendu compte en ajoutant des scènes sans intérêt (avec Joey Star par ex. ou du Mac Do). Si ce n'était notre GENEREUX système de financement des films, celui-ci n'aurait jamais dû voir le jour!
Une comédie sympa portée par un excellent duo d'acteurs . Par contre il est vrai que le scénario est très plat et tourne vite en rond . Aussitôt vu aussitôt oublié !
Attal enfile les clichés comme des perles avec "Do not Disturb" , le film n'a aucun but réel et est finalement très inintéressant , si je devais sauver quelque chose , je dirais Casta qui est vraiment bien et qui joue la partie finalement la plus intéressante . Attal s'est trompé de sujet .
Le sujet peut sembler percutant: Quelles sont les limites entre l'amour et l'amitié ? Malgré cela les limites sont à définir pour comprendre l'échec d'Yvan Attal. Le duo Cluzet/Attal n'est pas cohérent et beaucoup trop stéréotypé, deux amis des beaux arts se retrouvent 15 ans après. L'un a choisi une vie stable et familiale, l'autre a pris le chemin de l'aventure. Au fur et à mesure les rebondissements ne réveillent pas le spectateur et le film se bloque dans un scénario plat.
Film original, et particulièrement courageux dans son thème. De plus on ne s'y ennuie absolument pas. Ce n'est pas un encouragement de ma part, c'est vraiment un bon film sans défaut majeur. D'autant que le trio d'acteur est excellent, l'histoire est elle aussi très intéressante. On ne peut certainement pas les gratifier de plagia au moins.. Je rajoute même une demie étoile pour le très gros risque à produire un film si difficile à aborder. :)
Petite comédie agréable avec un sujet original. La vision de l'art au sens large, une amitié crédible, un enjeu risqué et osé, mais l'histoire nous emporte facilement et peut nous rappeler certains délires entre potes que l'on peut aventurer dans une discussion de soirée bien arrosée, à la différence que Cluzet et Attal tentent de réaliser leur projet loufoque... On regrette la scène de confrontation entre Attal et Casta sur le canapé où l'on aurait aimé savourer des dialogues plus percutants façon "Eyes Wide Shut", mais la scène de l’hôtel rattrape le coup en nous montrant des situations bien marrantes.
Cela partait pourtant bien, avec l' idée folle et décalé de deux amis dont on se demande jusqu'ou iront leur "pari'... Mais ce film ne tiens pas vraiment sa promesse de départ et se défile... Dommage car on s'attend à être étonné, mais aucun risque n'est pris et on ressort frustré. Do not disturb porte bien son nom !
Poussif depuis le début, ce qu'il l'a fait connaître lui colle à la peau. Un monde sans pitié: "reste pas comme ça au milieu du salon, accroché comme une moule..." Attal, depuis qu'il est devenu réal, court après sa meuf et sa légitimité, c'est l'impression qu'il donne. Depuis ma femme est une actrice à cette fausse provoc' qu'est Donotdistub, Attal semble courir comme Forrest Gump après sa meuf, lui hurlant, la toge à l'air:" Moi aussi je suis intéressant, moi aussi je suis hardcore comme Lars...." C'est sûr quand on a vu Antéchrist y a de quoi être jaloux façon l'enfer de Clouzot. La meuf s'excise en live... comment la surprendre après?!!! Il a du mérite la Attal, cette ténacité, cette incapacité à voir qu'il n'est pas à sa place, a quelque chose de touchant...
"Moi aussi je suis un déglingo! J'ai plein de choses à dire!..Moi aussi je peux me faire enculer par Balladur ou DSK, je suis hardcore je te dis Charlotte!! Alors tu m'aimes encore?."
Franchement même avec toute la non franchise du monde je ne peux pas conseiller ce film, même dans un avion...
Se cachant derrière l'aspect artistique du projet de ses personnages, Yvan Attal tente bien de penser que le rôle de l'artiste est d'aller là où il a peur mais s'exempt lui-même de cette tentative, passant à côté de tout ce que le sujet peut évoquer de sulfureux, de trivial ou d'existentiel. Le film n'est pas complètement raté (les fans de François Cluzet vont notamment y trouver leur compte) et, par quelques fulgurances çà et là, Attal nous laisse parfois entrevoir ce que "Do Not Disturb" aurait dû être. Dommage...
Un film mauvais. C'est clairement l'impression que l'on a après avoir gaspillé une heure et demi devant ce film. Do not Disturb distribue les clichés hétéros/homos et les rapports parfois ambiguë entre les deux. Beaucoup de plans qui ne servent à rien (même au niveau esthétique), un sens de l'humour bien téléphoné et "beaubeauf". On ne rigole que parce qu'on voit deux acteurs et amis en train de rire. Là dessus, Laetitia Casta (Anna), la femme d'Yvan Attal, spoiler: annonce qu'elle l'a trompé BUT WTF MEN est totalement hors sujet, dans le rôle de la femme insupportable à qui tout le monde aurait déjà dit aurevoir avant le début de l'intrigue. Voilà ainsi la recette idéale pour un film fort peu élogieux envers le milieu de l'art et tous les sujets qu'il était censé aborder. Yvan Attal a voulu "remaker" Humpday, un film indépendant américain qui est maintenant dans mon top 5 des films à regarder au plus vite pour ne pas rester sur ma dernière impression que je partage avec vous : "Quand je te vois, Do Not Disturb, je doute de pouvoir manger autant que je voudrais vomir".
Tres bon film. a la fois drole et derangeant et porte par un duo d acteurs tres convaincants. on ressent vraiment le malaise et l etrangete de leur projet pour le moins ose.
(...) Restera pour sauver l’ensemble de la noyade un François Cluzet une nouvelle fois excellent (quelle décontraction devant une caméra !), une bande-originale travaillée et un final attendu mais honnête et bien amené. Ce n’est pas grand-chose mais dès lors que le nom d’Attal est associé à un projet, on sait pertinemment qu’il ne faudra pas être trop exigeant. Ce n’est pas de la méchanceté, uniquement la triste réalité. Un conseil, contentez-vous de la bande-annonce.
Critique complète sur : http://www.lacritiquerie.com/critique-do-not-disturb/