Do not Disturb ( ne pas déranger ) atteins son but par moment à savoir, le trouble que va semer l arrivée du vieux copain dans la vie bien rangée et cadrée du personnage d Yvan Attal. Par peur du conformisme, et pour faire quelque chose de différent ils vont se lancer dans cette histoire de porno amateur alors que ni l un ni l autre n en à réellement envie. D ailleurs la partie la plus réussie du film est la dernière avec la tension et l ambiguïté palpable dans la chambre d hôtel. Le film peut parfois paraître agaçant avec son côté branché forcé, il n empêche que je l ai trouvé intéressant.
Film sans aucun talent et totalement énervant. Comment le cinéma français peut-il tomber dans de pareilles aberrations qui obligent les spectateurs, nombreux, à quitter la salle et à perdre temps et argent???
Petite comédie agréable avec un sujet original. La vision de l'art au sens large, une amitié crédible, un enjeu risqué et osé, mais l'histoire nous emporte facilement et peut nous rappeler certains délires entre potes que l'on peut aventurer dans une discussion de soirée bien arrosée, à la différence que Cluzet et Attal tentent de réaliser leur projet loufoque... On regrette la scène de confrontation entre Attal et Casta sur le canapé où l'on aurait aimé savourer des dialogues plus percutants façon "Eyes Wide Shut", mais la scène de l’hôtel rattrape le coup en nous montrant des situations bien marrantes.
Ce film est sans conteste l'un des plus nuls que j'ai vu depuis bien longtemps. Même les films réalisés par Danièle Thompson ne sont pas aussi bobos de droite. Dès le départ on n'y croit pas, même pour un court métrage le scénario était faible. Je ne sais pas si Attal voulait quelques scènes pour nous faire sentir mal à l'aise, mais si c'est le cas, c'est raté. Les longueurs insupportables m'ont permis d'utiliser l'avance rapide. Inutile de parler des clichés gay, Joey Starr qui chante Paroles Paroles, c'est drôle mais tellement cliché. J'aurai compris en 1995, mais pas en 2013.
Seul point positif : la direction artistique avec de beaux plans, c'est ce qui lui donne 0,5
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2,5
Publiée le 22 septembre 2017
Remake de "Humpday" de Shelton, l'originalitè en moins! Pour son troisième long-mètrage derrière la camèra, Yvan Attal avait fort à faire pour ne pas tomber dans le ridicule et le scabreux! Heureusement, l'acteur-rèalisateur donne du rèalisme et du crèdit à cette histoire casse-gueule! Une comèdie chiadèe où tout n'est pas sacrifièe au rire! Ces deux rôles que sont Ben et Jeff, c'est une partition gèniale pour des acteurs comme Yvan Attal et François Cluzet! Avec Cluzet, Attal savait qu'il allait trouver autant l'humour que la sincèritè des choses! En tout cas, ça rentrait dans son cadre à lui et dans sa tonalitè de comèdie! Ça reste quand même un film, une histoire, un curieux pari où l'on suit les personnages pour savoir jusqu'où ils peuvent aller dans leur amitiè! Vulgaritè et tendresse dominent et dèparent ce "Do not disturb" qui contient pourtant quelques jolis moments de suspense grâce à la remarquable interprètation de Attal et Cluzet, notamment dans la scène finale de la chambre d'hôtel! Avec une très bonne comèdienne, Laetitia Casta, pour ne citer qu'elle, car Asia Argento et Charlotte Gainsbourg ne sont là que pour provoquer et cabotiner...
Dans l'absolu, je ne suis pas contre faire des remakes d'œuvres méconnues afin de les faire découvrir au grand public français. Mais franchement, n'y avait-il pas d'autres films à « remaker » avant ce « Humpday », long-métrage indépendant certes sympathique mais vraiment sans plus ? Du coup, il ne faut évidemment pas attendre d'étincelles concernant ce « Do Not Disturb », qui n'est pas un mauvais film pour autant. Quelques scènes sont bien senties, font « vrai », et plusieurs dialogues trouvent leur cible, soutenus par une interprétation qui n'est globalement pas à remettre en cause. Mais bon, en plus de proposer une version quand même assez proche de l'originale, Yvan Attal a bien du mal à injecter du rythme, des idées neuves, ne serait-ce qu'une poignée d'instants très drôles. On sent pourtant bien que le garçon a un certain talent, à l'image de plusieurs plans séduisants, voire une certaine audace, à l'image de cet étrange passage réunissant quelques minutes François Cluzet, Asia Argento et Charlotte Gainsbourg. Reste que celle-ci n'est vraiment que par intermittences, si bien que c'est sur une impression fort mitigée que ce « Do Not Disturb » nous laisse, à l'image d'une fin qui aurait pu être autrement moins consensuelle. Pas de quoi grimper aux rideaux...
Une comédie sympa portée par un excellent duo d'acteurs . Par contre il est vrai que le scénario est très plat et tourne vite en rond . Aussitôt vu aussitôt oublié !
Je n’avais pas quitté la salle avant la fin depuis des lustres. Mais cette fois la stupidité du scénario, la dissertation bavarde et creuse sur la sexualité – homo et hétéro – l’indigence de dialogues mal écrits, la mise en scène mollassonne et le cabotinage insupportable du couple Cluzet-Attal, ont eu raison de ma patience. Un film consternant qui se croit branché et provocateur en nous proposant Charlotte Gainsbourg et Asia Argento en lesbiennes déjantées, mais qui n’est qu’un ramassis de poncifs soit disant à la mode.
Un remake de Humpday, qui n'est déjà pas le film du siècle, par Yvan Attal, mais quelle drôle d'idée ! Pour en faire quoi ? Une version franchouillarde d'une comédie scabreuse et faussement provocatrice ? Vu le casting brillant de Do not disturb, l'illusion d'avoir à faire à un vrai film peut ne pas sembler totalement idiote. Trois fois hélas, la tambouille ne prend jamais avec cette impression de voir un film de potes, sans scénario solide, reposant sur cette seule interrogation : les deux copains hétéros vont-ils oui ou non coucher ensemble pour le fun de la transgression ? L'intérêt est maigre car, hormis les quinze dernières minutes jouissives, avec Cluzet et Attal en roue libre, le reste du film enfile les platitudes et les vulgarités. Pour, en conclusion, se ranger du côté de la bonne vieille morale traditionnelle. Tout ça pour ça !
(...) Restera pour sauver l’ensemble de la noyade un François Cluzet une nouvelle fois excellent (quelle décontraction devant une caméra !), une bande-originale travaillée et un final attendu mais honnête et bien amené. Ce n’est pas grand-chose mais dès lors que le nom d’Attal est associé à un projet, on sait pertinemment qu’il ne faudra pas être trop exigeant. Ce n’est pas de la méchanceté, uniquement la triste réalité. Un conseil, contentez-vous de la bande-annonce.
Critique complète sur : http://www.lacritiquerie.com/critique-do-not-disturb/
Dégueulasse et sans intérêt. Tout cette histoire et ce blabla pour une sodomie ! Cette bande de bobos avec leur grande vision de l'art est insupportable. C'est à la fois long et court. Ils débattent pendant des heures sur les mêmes choses mais à la fin ça se termine sans qu'il ne se soit rien passé. Je ne comprends pas pourquoi Yvan Attal a voulu faire un remake d'un film américain tout aussi mauvais avec un scénario aussi bidon. Laetitia Casta joue aussi bien qu'une patate trop cuite (?). Le couple Gainsbourg/Argento est écœurant, enfin c'était peut être voulu ça. Et les deux bonhommes sont pas vraiment crédibles. Une seule bonne scène : la très et trop courte apparition de JoeyStarr.
Avec un pitch aussi sympathique, on aurait pu attendre de Do not disturb une comédie drôle, légère et décalé, ce qui n'est absolument pas le cas à l'arrivée. Car un premier constat s'impose Do not disturb n'est pas drôle du tout mais plutôt affreusement long, et chiant par la même occasion. Les scènes se succèdent ainsi sans grand intérêt, faisant de ce film un long-métrage lacunaire. On peut tout de même dire que les acteurs sont investis et réussissent à créer cette relation d'amitié avec beaucoup de naturel, même si ils sont plus touchants que drôle. Cependant, Laetitia Casta tire clairement son épingle du jeu grâce à une interprétation sincère en toute simplicité qui apporte à son personnage une dimension plus humaine et spontanée, dimension qui prendra tout son intérêt dans un face à face perturbant, seul élément appréciable du film. Au final Do not disturb est un film raté, sans réel but qui tente maladroitement d'innover sans rien apporter d'inédit.
Un film d'un longueur indescriptible tellement il ne se passe pas grand chose. J'ai eu du mal a entré dans l'histoire malgré les bons sentiments des acteurs.